Études et leçons sur la révolution françaiseF. Alcan, 1906 - France |
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2e éd 2e édit 2º éd affaires étrangères anglais août arrêté AULARD Autrichiens avril Barère baron Barthélemy Bonaparte brumaire Brun çaise chanter Chérin Cinq-Cents citoyen Cobourg Comité de salut Commission Conseil exécutif contemporaine Convention nationale Custine d'Esebeck Danemark Danton déclaration décret Deforgues demanda démocratie département Descorches despotisme détenus Deux-Ponts diplomatique Dumouriez écrivit ÉMILE BOREL ennemis Études février fran général Genève gouvernement gravures Grouvelle guerre Hambourg Histoire j'ai Jacobins janvier jours juillet juin Kaulek l'Angleterre l'Autriche l'Empire l'Europe l'histoire l'Institut lettre liberté lord Grenville Mannheim Marseillaise Matthews ment Ministère des affaires ministre mission Monaco Moniteur morale négociation neutralité Nice officiellement paix patriotes philos philosophie Pitt poignard politique prince professeur Prusse psychologie puissances rapport Répu républicains République française Réveil du peuple Révolution française Russie salut public science séance Sénat sentiments serait sion sociale Soulavie Sublime Porte Suède Suisse texte tion traité tutoiement Yves GUYOT
Popular passages
Page 55 - La Convention nationale déclare, au nom de la nation française, qu'elle accordera fraternité et secours à tous les peuples qui voudront recouvrer leur liberté , et charge le pouvoir exécutif de donner aux généraux les ordres nécessaires pour porter secours à ces peuples, et défendre les citoyens qui auraient été vexés ou qui pourraient l'être pour la cause de la liberté.
Page 62 - Les rois, les aristocrates, les tyrans quels qu'ils soient, sont des esclaves révoltés contre le souverain de la terre, qui est le genre humain, et contre le législateur de l'univers, qui est la nature...
Page 295 - Une commission de sept membres nommés par le Sénat et choisis dans son sein, est chargée de veiller à la liberté de la presse.
Page 62 - Ceux qui font la guerre à un peuple pour arrêter les progrès de la liberté et anéantir les droits de l'Homme, doivent être poursuivis par tous, non comme des ennemis ordinaires, mais comme des assassins...
Page 246 - Quelle est cette lenteur barbare? Hâte-toi, peuple souverain; De rendre aux monstres du Ténare Tous ces buveurs de sang humain! Guerre à tous les agens du crime! Poursuivons-les jusqu'au trépas; Partage l'horreur qui m'anime, Ils ne nous échapperont pas.
Page 273 - ... desseins ; je lui représente les maux de la Patrie qui les lui ont fait concevoir : il s'unit à moi par de nouveaux témoignages de sa constante volonté. Je me présente au Conseil des Cinq-Cents, seul, sans armes, la tête découverte, tel que les Anciens m'avaient reçu et applaudi ; je venais rappeler à la majorité ses volontés et l'assurer de son pouvoir. Les stylets qui menaçaient les Députés sont aussitôt levés sur leur libérateur ; vingt assassins se précipitent sur moi et...
Page 244 - Décèleraient bientôt leurs pas. Oui, nous jurons sur votre tombe, Par notre pays malheureux, De ne faire qu'une hécatombe De ces cannibales affreux.
Page 295 - Si, après trois invitations consécutives, renouvelées dans l'espace d'un mois, la personne détenue n'est pas mise en liberté ou renvoyée devant les tribunaux ordinaires, la commission demande une assemblée du sénat, qui est convoqué par le président, et qui rend, s'il ya lieu, la déclaration suivante : « II ya de fortes présomptions que N. est détenu arbitrairement.
Page 291 - Si le gouvernement est informé qu'il se trame quelque conspiration contre l'état, il peut décerner des mandats d'amener et des mandats d'arrêt contre les personnes qui en sont présumées les auteurs ou les complices; mais si, dans un délai de dix jours après leur arrestation , elles ne sont mises en liberté ou en justice réglée , il y a , de la part du ministre signataire du mandat, crime de détention arbitraire.
Page 295 - Les auteurs, imprimeurs ou libraires qui se croient fondés à se plaindre d'empêchement mis à l'impression ou à la circulation d'un ouvrage, peuvent recourir directement et par voie de pétition à la commission sénatoriale de la liberté de la presse.