Revue des deux mondes, Volume 11François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, René Doumic, Francis Charmes, André Chaumeix Au Bureau de la Revue des deux mondes, 1857 - France |
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Page 9
... Dieu , ne mangeant pas tous les jours , dormant la nuit sous les genêts , s'aventurant jusque dans les villes , traqué parfois comme une bête fauve , demandant la fille du marquis à toutes les métairies , à tous les buissons et à tous ...
... Dieu , ne mangeant pas tous les jours , dormant la nuit sous les genêts , s'aventurant jusque dans les villes , traqué parfois comme une bête fauve , demandant la fille du marquis à toutes les métairies , à tous les buissons et à tous ...
Page 12
... Dieu puissant qui avait rallumé le flambeau de David . Plus d'une fois déjà cette illustre maison s'était vue au penchant de sa ruine : la droite du Seigneur l'avait toujours relevée à temps . Pour n'en citer qu'un seul exemple , le ...
... Dieu puissant qui avait rallumé le flambeau de David . Plus d'une fois déjà cette illustre maison s'était vue au penchant de sa ruine : la droite du Seigneur l'avait toujours relevée à temps . Pour n'en citer qu'un seul exemple , le ...
Page 14
... Dieu aidant , nous y réus- sirons . Je le répète , monsieur l'abbé , vous avez eu là une heureuse pensée . J'en suis touchée , je vous en remercie , nous vous remercions tous , ajouta - t - elle en étendant la main vers les portraits de ...
... Dieu aidant , nous y réus- sirons . Je le répète , monsieur l'abbé , vous avez eu là une heureuse pensée . J'en suis touchée , je vous en remercie , nous vous remercions tous , ajouta - t - elle en étendant la main vers les portraits de ...
Page 19
... Dieu ne l'avait pas créée uniquement pour veiller des morts . A Tiffauges , elle tomba au milieu d'une noce villageoise : si durs que soient les temps , on s'aime , on se marie . Les tables étaient dres- sées en plein air , au pied des ...
... Dieu ne l'avait pas créée uniquement pour veiller des morts . A Tiffauges , elle tomba au milieu d'une noce villageoise : si durs que soient les temps , on s'aime , on se marie . Les tables étaient dres- sées en plein air , au pied des ...
Page 20
... Dieu ! monsieur l'abbé , qu'avez - vous ? L'abbé s'était laissé tomber sur une chaise et s'épongeait avec son mouchoir , pendant que Me Renée , debout contre la cheminée , le considérait avec stupeur . -Ce qui se passe , mademoiselle ...
... Dieu ! monsieur l'abbé , qu'avez - vous ? L'abbé s'était laissé tomber sur une chaise et s'épongeait avec son mouchoir , pendant que Me Renée , debout contre la cheminée , le considérait avec stupeur . -Ce qui se passe , mademoiselle ...
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Common terms and phrases
Agassiz anglais Angleterre animaux assez aujourd'hui avaient beau belle Brigazière Bussy Butterfly c'était câble choses civilisation cœur comte de Kilkenny Cora côté devant Dieu dire donner doute Dryden Égypte Ernest Renan esprit eût événemens femme fille force forme général géologiques George Borrow glaciers goût gouvernement guerre Gustave Planche Hegel hommes idées j'ai jamais jeune jour l'abbé l'Angleterre l'argent l'église l'Égypte l'esprit l'Europe l'histoire l'Inde l'or laissé Lavengro législation liberté livre lord lord Hardinge main Méhémet-Ali ment métal millions mines monde monétaire monnaie monsieur n'avait n'était nature palais parler passé Paul Paul Véronèse pauvre pays pays de Galles Penarvan pensée peuple philosophie pièces d'or Piémont politique population premier propriété Pyrmil qu'un question race raison religieuse Renan Renée reste révolution rien Rochester Roquebrune s'est s'était s'il saint Scioto semble sentiment serait seul siècle silurien sorte surtout système terre tion Titien travail trève trouve vieux Voilà vrai yeux
Popular passages
Page 450 - Et qu'il me fallût quitter L'amour de ma mie; Je dirais au roi Henri : Reprenez votre Paris, J'aime mieux ma mie, au gué, J'aime mieux ma mie.
Page 533 - Puisque l'existence du monde n'est qu'un passage continuel de la vie à la mort, et de la mort à la vie, loin que tout soit, rien n'est.
Page 270 - Jésus-Christ, sans biens et sans aucune production au dehors de science, est dans son ordre de sainteté. Il n'a point donné d'invention, il n'a point régné; mais il a été humble, patient, saint, saint à Dieu, terrible aux démons, sans aucun péché. Oh! qu'il est venu en grande pompe et en une prodigieuse- magnificence, aux yeux du cœur, qui voient la sagesse ! Il eût été inutile à Archimède de faire le prince dans ses livres de géométrie, quoiqu'il le fût.
Page 270 - La distance infinie des corps aux esprits figure la distance infiniment plus infinie des esprits à la charité, car elle est surnaturelle. Tout l'éclat des grandeurs n'a point de lustre pour les gens qui sont dans les recherches de l'esprit. La grandeur des gens d'esprit est invisible aux rois, aux riches, aux capitaines, à tous ces grands de chair.
Page 836 - On convint de donner et de recevoir dans les échanges une matière qui , utile par elle-même , fût aisément maniable dans les usages habituels de la vie ; ce fut du fer, par exemple, de l'argent, ou telle autre substance analogue, dont on détermina d'abord la dimension et le poids , et qu'enfin , pour se délivrer des embarras de continuels mesurages, on marqua d'une empreinte particulière, signe de sa valeur.
Page 702 - Rochelle en homme qui se sauve, vous n'y trouverez que des reproches et du mépris. Je ne puis croire que vous deviez plutôt fier votre personne à l'inconstance des flots et à...
Page 261 - Depuis qu'il ya de l'être, tout ce qui s'est passé dans le monde des phénomènes a été le développement régulier des lois de l'être, lois qui ne constituent qu'un seul ordre de gouvernement, la nature, soit physique, soit morale. Qui dit au-dessus ou en dehors de la nature dans l'ordre des faits, dit une contradiction, comme qui dirait surdivin dans l'ordre des substances.
Page 624 - Lorsque, dans le cours des événements humains, il devient nécessaire, pour un peuple, de dissoudre les liens politiques qui l'ont attaché à un autre, et de prendre, parmi les puissances de la terre, la place séparée et égale à laquelle les lois de la nature et du Dieu de la nature lui donnent droit, le respect dû à l'opinion de l'humanité l'oblige à déclarer les causes qui le déterminent à la séparation.
Page 674 - Je dis que si l'intérêt commun et la justice sont les deux fondemens de la propriété, l'intérêt commun ni l'équité n'exigent pas que les mines soient des accessoires de la surface. Je dis que l'intérieur de la terre n'est pas susceptible d'un partage ; que les mines...
Page 702 - Quoi ! Sire , on vous confeille de monter » fur mer , comme s'il n'y avait pas d'autre » moyen de conferver votre royaume que de » le quitter ! Si vous n'étiez pas en France, » il faudrait percer au travers de tous les » hafards et de tous les obftacles pour y 5...