 | Gustave Flaubert - 1857 - 506 pages
...ne l'avait pas quittée, il était là, et les murailles de la maison semblaient garder son ombre. Elle ne pouvait détacher sa vue de ce tapis où il...ondes, sur les cailloux couverts de mousse. Quels bons soleils ils avaient eus! quelles bonnes après-midi, seuls, à l'ombre, dans le fond du jardin... | |
 | Gustave Flaubert - 1862 - 500 pages
...murailles de la maison semblaient garder son ombre. Elle ne pouvait détacher sa vue de ce tapis ou il avait marché, de ces meubles vides où il s'était...toujours, et poussait lentement ses petits flots le lorig de la berge glissante. Ils s'y étaient promenés bien des fois, à ce même murmure des ondes,... | |
 | Gustave Flaubert - 1862 - 446 pages
...murailles__de la maison semblaient garder son ombre. Elle ne pouvait détacher sa vue de ce tapis oùTTâvait marché, de ces meubles vides où il s'était assis. La rivière coulait toujours, et poussait lenterhent ses petits flots le long de la berge glissante. Ils s'y étaient promenés bien des fois,... | |
 | Jean-Jacques Weiss - French literature - 1865 - 416 pages
...passions plus vives, M. Flaubert rencontrera des pages tout imprégnées de douceur et d'intimité. « Elle ne pouvait détacher sa vue de ce tapis où il...même murmure des ondes, sur les cailloux couverts de mousses. Quels bons soleils ils avaient eus ! Quelles bonnes après-midi, seuls, à l'ombre, dans le... | |
 | Jean-Jacques Weiss - French literature - 1865 - 416 pages
...passions plus vives, M. Flaubert rencontrera des pages tout imprégnées de douceur et d'intimité. « Elle ne pouvait détacher sa vue de ce tapis où il...même murmure des ondes, sur les cailloux couverts de mousses. Quels bons soleils ils avaient eus ! Quelles bonnes après-midi, seuls, à l'ombre, dans le... | |
 | Gustave Flaubert - 1885 - 468 pages
...ne l'avait pas quittée, il était là, et les murailles de la maison semblaient garder son ombre. Elle ne pouvait détacher sa vue de ce tapis où il...ondes , sur les cailloux couverts de mousse. Quels bons soleils ils avaient eus ! quelles bonnes après-midi, seuls, à l'ombre, dans le fond du jardin!... | |
 | Jean-Jacques Weiss - French literature - 1891 - 426 pages
...passions plus vives, M. Flaubert rencontrera des pages tout imprégnées de douceur et d'intimité. « Elle ne pouvait détacher sa vue de ce tapis où il...même murmure des ondes, sur les cailloux couverts de mousses. Quels bons soleils ils avaient eus! Quelles bonnes après-midi, seuls, à l'ombre, dans le... | |
 | Gustave Flaubert - 1910 - 674 pages
...ne l'avait pas quittée, il était là, et les murailles de la maison semblaient garder son ombre. Elle ne pouvait détacher sa vue de ce tapis où il...des ondes sur les cailloux couverts de mousse. Quels bons soleils ils avaient eus! quelles bonnes après-midi, seuls, à l'ombre, dans le fond du jardin!... | |
 | Gustave Flaubert - 1911 - 486 pages
...ne l'avait pas quittée, il était là, et les murailles de la maison semblaient garder son ombre. Elle ne pouvait détacher sa vue de ce tapis où il...où il s'était assis. La rivière coulait toujours ,etpoussait lentement ses petits flots lelong dela berge glissante. Ils s'y étaient promenés bien... | |
 | Gustave Flaubert - 1912 - 488 pages
...il ne l'avait pas quittée, il était là, et les murailles de lamaison semblaient garder son ombre. Elle ne pouvait détacher sa vue de ce tapis où il...où il s'était assis. La rivière coulait toujours ,etpoussàit lentement ses petits flots lelong delà berge glissante. Ils s'y étaient promenés bien... | |
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... était là, et les murailles de la maison semblaient garder son ombre. Elle ne pouvait détacher sa vue de ce tapis où il avait marché, de ces meubles vides où il s'était assis. La rivière coulait toujours, et poussait lentement ses petits flots... 
