L'Année littéraire et dramatique, ou, revue annuelle des principales productions de la littérature française et des traductions des œuvres les plus importantes des littératures étrangères, classées et étudiées par genres, avec l'indication des événements les plus remarquables appartenant à l'histoire littéraire, dramatique et bibliographique de l'année, Volume 1L. Hachette, 1859 - Books |
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... vive , légère , rapide , jusqu'à ces interminables compilations où , dans un cadre plus ou moins dramatique , l'auteur verse sans peine la science toute faite des encyclopédies . Ce que le roman fait vivre de familles par le papier et ...
... vive , légère , rapide , jusqu'à ces interminables compilations où , dans un cadre plus ou moins dramatique , l'auteur verse sans peine la science toute faite des encyclopédies . Ce que le roman fait vivre de familles par le papier et ...
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... vive et précise ; les épithètes et les mots caractéristiques abondent , moins pour peindre que pour déterminer et comme pour étiqueter les objets . Nous en donnerons quelques exemples entre mille . Voici à peu près toute l'impression ...
... vive et précise ; les épithètes et les mots caractéristiques abondent , moins pour peindre que pour déterminer et comme pour étiqueter les objets . Nous en donnerons quelques exemples entre mille . Voici à peu près toute l'impression ...
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... ; je baissais les rideaux de brocatelle rose , ramagés de grands bouquets , afin de tamiser doucement , en les colorant d'une tendre nuance , les éclats de la lumière trop vive ; je dressais savamment les tentures ROMAN . 67.
... ; je baissais les rideaux de brocatelle rose , ramagés de grands bouquets , afin de tamiser doucement , en les colorant d'une tendre nuance , les éclats de la lumière trop vive ; je dressais savamment les tentures ROMAN . 67.
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Gustave Vapereau. la lumière trop vive ; je dressais savamment les tentures de mousseline , et je lissais des mains le couvre - pied capitonné de mon lit .... Mon valet étant congédié par moi jusqu'au soir , je me trouvais enfin maître ...
Gustave Vapereau. la lumière trop vive ; je dressais savamment les tentures de mousseline , et je lissais des mains le couvre - pied capitonné de mon lit .... Mon valet étant congédié par moi jusqu'au soir , je me trouvais enfin maître ...
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... vive amitié . Le dévouement respectueux d'Alain pour lui égale celui qu'il a pour ses maîtres . Mlle Hélouin , qui surprend le secret de son nom , veut conquérir un mari dans ce marquis ruiné si capable de reprendre sa place dans le ...
... vive amitié . Le dévouement respectueux d'Alain pour lui égale celui qu'il a pour ses maîtres . Mlle Hélouin , qui surprend le secret de son nom , veut conquérir un mari dans ce marquis ruiné si capable de reprendre sa place dans le ...
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Popular passages
Page 284 - Nous devons l'apologue à l'ancienne Grèce : Mais ce champ ne se peut tellement moissonner Que les derniers venus n'y trouvent à glaner. La feinte est un pays plein de terres désertes; Tous les jours nos auteurs y font des découvertes.
Page 203 - En quatre points mortels a rimé les Saisons ; Et ce vain Beaumarchais, qui trois fois avec gloire Mit le mémoire en drame et le drame en mémoire ; Et ce lourd Diderot, docteur en style dur, Qui passe pour sublime à force d'être obscur ; Et ce froid...
Page 240 - Oubliez donc, comme tout à l'heure, l'immense entassement des détails innombrables. Possédant la formule, vous avez le reste. Ils tiennent au large dans une demi-ligne ; vous enfermez douze cents ans et la moitié du monde antique dans le creux de votre main.
Page 416 - Champmêlé pour vous réchauffer la pièce. Le personnage de Bajazet est glacé : les mœurs des Turcs y sont mal observées ; ils ne font point tant de façons pour se marier; le dénouement n'est point bien préparé : on n'entre point dans les raisons de cette grande tuerie.
Page 130 - Léandre, conduit par l'Amour, En nageant disait aux orages : Laissez-moi gagner les rivages, Ne me noyez qu'à mon retour.
Page 57 - ... était là, et les murailles de la maison semblaient garder son ombre. Elle ne pouvait détacher sa vue de ce tapis où il avait marché, de ces meubles vides où il s'était assis. La rivière coulait toujours, et poussait lentement ses petits flots le long de la berge glissante.
Page 386 - Vous m'excuserez, monsieur, si je parle si librement; mon naturel me contraint de chercher et aimer les choses bien ordonnées, fuyant la confusion, qui m'est aussi contraire et ennemie , comme est la lumière des obscures ténèbres.
Page 145 - N'en doutez pas, madame, et qu'un jour cette issue De tous les bons esprits ne doive être aperçue. Montrons-en le chemin à ce siècle emporté : C'est là qu'est le salut de la société. Remettez en honneur le soc de la charrue, Repeuplez la campagne aux dépens de la rue ; Grevez d'impôts la ville et dégrevez les champs, Ayez moins de bourgeois et plus de paysans ; Alors.
Page 474 - Il est désirable que tous les pays adoptent, pour la propriété des ouvrages de littérature et d'art, une législation reposant sur des bases uniformes.
Page 56 - ... il ouvrait sa fenêtre et s'accoudait. La rivière, qui fait de ce quartier de Rouen comme une ignoble petite Venise, coulait en bas, sous lui, jaune, violette ou bleue entre ses ponts et ses grilles. Des ouvriers, accroupis au bord, lavaient leurs bras dans l'eau. Sur des perches partant du haut des greniers, des écheveaux de coton séchaient à l'air.