Les chansons d'autrefois: vieux chants populaires de nos pères |
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Page 176
... serai fidèle , Tant que l'épine armera les buissons , Que du caillou jaillira l'étincelle , Tant que l'écho répétera les sons . Je t'aimerai , je te serai fidèle Tant que l'épine armera les buissons . Je t'aimerai tant que dans la ...
... serai fidèle , Tant que l'épine armera les buissons , Que du caillou jaillira l'étincelle , Tant que l'écho répétera les sons . Je t'aimerai , je te serai fidèle Tant que l'épine armera les buissons . Je t'aimerai tant que dans la ...
Page 259
... serai fidèle , Comme on l'est à Paris . Du chant italien și vous êtes épris , Du ton le plus lamentable , Je vous peindrai mon ardeur Et l'excès de ma douleur , Qui , loin de vous , m'accable . Si l'amour espagnol vous paraît préférable ...
... serai fidèle , Comme on l'est à Paris . Du chant italien și vous êtes épris , Du ton le plus lamentable , Je vous peindrai mon ardeur Et l'excès de ma douleur , Qui , loin de vous , m'accable . Si l'amour espagnol vous paraît préférable ...
Page 268
... Serai - je toujours enchaînée ? Je ne sais quoi tout bas me dit Que pour le plaisir je suis née . Vous qui protégez les amours , Venez , venez à mon secours . Quelle voix enivre mon cœur ? Ah ! pour moi , quel heureux présage ...
... Serai - je toujours enchaînée ? Je ne sais quoi tout bas me dit Que pour le plaisir je suis née . Vous qui protégez les amours , Venez , venez à mon secours . Quelle voix enivre mon cœur ? Ah ! pour moi , quel heureux présage ...
Page 286
... serai sage ; Passons celui - là ! Je vis un académiste , Jeune et fait au tour , Qui me suivait à la piste Dans le Luxembourg ; C'est un oiseau de passage : Qu'importe cela ? Désormais je serai sage ; Encor celui - là ! Un Gascon me dit ...
... serai sage ; Passons celui - là ! Je vis un académiste , Jeune et fait au tour , Qui me suivait à la piste Dans le Luxembourg ; C'est un oiseau de passage : Qu'importe cela ? Désormais je serai sage ; Encor celui - là ! Un Gascon me dit ...
Page 287
... serai sage ; Encor celui - là ! Un coureur avec mystère Entre sans frapper : « Monseigneur ici va faire Porter à souper . » Rien ne flatte davantage Que cet honneur - là ! Désormais je serai sage ; Encor celui - là ! Demeurer au ...
... serai sage ; Encor celui - là ! Un coureur avec mystère Entre sans frapper : « Monseigneur ici va faire Porter à souper . » Rien ne flatte davantage Que cet honneur - là ! Désormais je serai sage ; Encor celui - là ! Demeurer au ...
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Common terms and phrases
aimable aime AIR connu ALEXANDRE DUVAL amant amour ANONYME Aspasie AUTEUR INCONNU Babet Bacchus baiser beau Bélisaire belle bergère boire bon roi Dagobert bon tabac bonheur BUVEUR buvons Cadet Rousselle Carabi caresse chagrin chanson chansonnier chanter charmant cher CLEF DU CAVEAU cœur Confiteor COUPLETS Cythère d'aller au bois dame danser déplaise au dieu Désormais je serai doux enfant FABRE D'ÉGLANTINE faridondaine femme fille fillette fleurs GENTIL-BERNARD gloire hélas Hippocrate J'ai du bon j'aime Javotte jeune jolie jour l'amour l'échappe belle Lisette m'en maman Manon marmotte mère mirontaine Mironton monsieur mort Musique N'en déplaise oiseau p'tit PANARD passe pauvre père Pierrot pinte plaire plaisir plaisirs pleurs poëte qu'un refrain ROMANCE RONDE rose Rousselle est bon saint Éloi saint Hubert serai sage soir soupire t'aime tendre tendresse Tircis Tontaine tonton tour V'là Va-t'en veux vieille Voilà la différence Voilà la ressemblance
Popular passages
Page 169 - Combien j'ai douce souvenance Du joli lieu de ma naissance ! Ma sœur, qu'ils étaient beaux ces jours De France! O mon pays! sois mes amours Toujours ! Te souvient-il que notre mère, Au foyer de notre chaumière, Nous pressait sur son cœur joyeux, Ma chère? Et nous baisions ses blancs cheveux Tous deux. Ma sœur, te souvient-il encore Du château que baignait la Dore, Et de cette tant vieille tour Du Maure, Où l'airain sonnait le retour Du jour?
Page 316 - Nous entrerons dans la carrière Quand nos aînés n'y seront plus ; Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leurs vertus ! Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil, Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre ! .... Aux armes, citoyens ! etc.
Page 315 - Français, pour nous, ah ! quel outrage ! Quels transports il doit exciter ! C'est nous qu'on ose méditer De rendre à l'antique esclavage ! Aux armes, citoyens ! etc.
Page 316 - Amour sacré de la patrie, Conduis, soutiens nos bras vengeurs ! Liberté ! Liberté chérie, Combats avec tes défenseurs ! Sous nos drapeaux, que la victoire Accoure à tes mâles accents ! Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire ! Aux armes, etc.
Page 319 - Partez, vaillants époux, les combats sont vos fêtes ; Partez, modèles des guerriers ; Nous cueillerons des fleurs pour en ceindre vos têtes, Nos mains tresseront vos lauriers ! Et si le temple de Mémoire S'ouvrait à vos mânes vainqueurs, Nos voix chanteront votre gloire, Nos flancs porteront vos vengeurs. Chœur des épouses — La république, etc. UNE JEUNE FILLE. Et...
Page 169 - Nous pressait sur son cœur joyeux, Ma chère? Et nous baisions ses blancs cheveux Tous deux. . Ma sœur, te souvient-il encore Du château que baignait la Dore, Et de cette tant vieille tour Du Maure, Où l'airain sonnait le retour Du jour? Te souvient-il du lac tranquille Qu'effleurait l'hirondelle agile, Du vent qui courbait le roseau Mobile, Et du soleil couchant sur l'eau Si beau?
Page 230 - Elle aime à rire, elle aime à boire, elle aime à chanter comme nous ! dit-il à voix basse en citant la fameuse chanson de Béranger.
Page 7 - Charmante Gabrielle, Percé de mille dards, Quand la gloire m'appelle A la suite de Mars, Cruelle départie ! Malheureux jour ! Que ne suis-je sans vie Ou sans amour ! L'amour, sans nulle peine, M'a, par vos doux regards, Comme un grand capitaine, Mis sous ses étendards.
Page 398 - Elle fit un fromage, Et ron, ron, ron, petit patapon, Elle fit un fromage, Du lait de ses moutons, ron, ron, Du lait de ses moutons.
Page 329 - Rosette , pour un peu d'absence , Votre cœur vous avez changé ; Et moi sachant cette inconstance , Le mien autre part j'ai rangé. Jamais plus beauté si légère Sur moi tant de pouvoir n'aura : Nous verrons, volage bergère, Qui premier s'en repentira.