Les chansons d'autrefois: vieux chants populaires de nos pères |
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... pleurs , je soupire , Je sens de cuisants remords : Je sens un cruel martyre De cœur , d'esprit et de corps . Je meurs même ici de faim , Faute d'un morceau de pain ; Tandis que chez mon cher père , Où jamais rien ne défaut , Le plus ...
... pleurs , je soupire , Je sens de cuisants remords : Je sens un cruel martyre De cœur , d'esprit et de corps . Je meurs même ici de faim , Faute d'un morceau de pain ; Tandis que chez mon cher père , Où jamais rien ne défaut , Le plus ...
Page 57
... pleurs . Après que ce saint homme Eut assez souffert Sous l'habit solitaire , Et pour qu'on le renomme , Un ange du ciel lui fut envoyé , Lui donna la sainte étole et la clé Qui fera préserver Tous les chrétiens d'animaux enragés ...
... pleurs . Après que ce saint homme Eut assez souffert Sous l'habit solitaire , Et pour qu'on le renomme , Un ange du ciel lui fut envoyé , Lui donna la sainte étole et la clé Qui fera préserver Tous les chrétiens d'animaux enragés ...
Page 69
... pleurs amères , Pour apaiser son courroux ; Avec transport il l'embrasse , En la serrant tendrement , La prie de lui faire grâce , Au nom de son cher enfant . Le major vint en personne Pour savoir exactement Si Manon était un homme , Ce ...
... pleurs amères , Pour apaiser son courroux ; Avec transport il l'embrasse , En la serrant tendrement , La prie de lui faire grâce , Au nom de son cher enfant . Le major vint en personne Pour savoir exactement Si Manon était un homme , Ce ...
Page 80
... pleurs ! Mon père était un savetier Fort estimé dans son métier , Et ma mère était blanchisseuse ; Moi , déjà j'étais ravaudeuse , Gagnant jusqu'à dix sols par jour ; Mais qu'est l'or sans un peu d'amour ? Sur le même carré que nous ...
... pleurs ! Mon père était un savetier Fort estimé dans son métier , Et ma mère était blanchisseuse ; Moi , déjà j'étais ravaudeuse , Gagnant jusqu'à dix sols par jour ; Mais qu'est l'or sans un peu d'amour ? Sur le même carré que nous ...
Page 104
... pleurs toute inondée J'ai rempli mon baquet ; Je suis abandonnée , Mais pour comble d'ennuis , Ma fille de journée Est sa femme de nuit . Il avait la semaine Deux fois du linge blanc Et comme un capitaine La toquante d'argent ; Le fin ...
... pleurs toute inondée J'ai rempli mon baquet ; Je suis abandonnée , Mais pour comble d'ennuis , Ma fille de journée Est sa femme de nuit . Il avait la semaine Deux fois du linge blanc Et comme un capitaine La toquante d'argent ; Le fin ...
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Common terms and phrases
aimable aime AIR connu ALEXANDRE DUVAL amant amour ANONYME Aspasie AUTEUR INCONNU Babet Bacchus baiser beau Bélisaire belle bergère boire bon roi Dagobert bon tabac bonheur BUVEUR buvons Cadet Rousselle Carabi caresse chagrin chanson chansonnier chanter charmant cher CLEF DU CAVEAU cœur Confiteor COUPLETS Cythère d'aller au bois dame danser déplaise au dieu Désormais je serai doux enfant FABRE D'ÉGLANTINE faridondaine femme fille fillette fleurs GENTIL-BERNARD gloire hélas Hippocrate J'ai du bon j'aime Javotte jeune jolie jour l'amour l'échappe belle Lisette m'en maman Manon marmotte mère mirontaine Mironton monsieur mort Musique N'en déplaise oiseau p'tit PANARD passe pauvre père Pierrot pinte plaire plaisir plaisirs pleurs poëte qu'un refrain ROMANCE RONDE rose Rousselle est bon saint Éloi saint Hubert serai sage soir soupire t'aime tendre tendresse Tircis Tontaine tonton tour V'là Va-t'en veux vieille Voilà la différence Voilà la ressemblance
Popular passages
Page 169 - Combien j'ai douce souvenance Du joli lieu de ma naissance ! Ma sœur, qu'ils étaient beaux ces jours De France! O mon pays! sois mes amours Toujours ! Te souvient-il que notre mère, Au foyer de notre chaumière, Nous pressait sur son cœur joyeux, Ma chère? Et nous baisions ses blancs cheveux Tous deux. Ma sœur, te souvient-il encore Du château que baignait la Dore, Et de cette tant vieille tour Du Maure, Où l'airain sonnait le retour Du jour?
Page 316 - Nous entrerons dans la carrière Quand nos aînés n'y seront plus ; Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leurs vertus ! Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil, Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre ! .... Aux armes, citoyens ! etc.
Page 315 - Français, pour nous, ah ! quel outrage ! Quels transports il doit exciter ! C'est nous qu'on ose méditer De rendre à l'antique esclavage ! Aux armes, citoyens ! etc.
Page 316 - Amour sacré de la patrie, Conduis, soutiens nos bras vengeurs ! Liberté ! Liberté chérie, Combats avec tes défenseurs ! Sous nos drapeaux, que la victoire Accoure à tes mâles accents ! Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire ! Aux armes, etc.
Page 319 - Partez, vaillants époux, les combats sont vos fêtes ; Partez, modèles des guerriers ; Nous cueillerons des fleurs pour en ceindre vos têtes, Nos mains tresseront vos lauriers ! Et si le temple de Mémoire S'ouvrait à vos mânes vainqueurs, Nos voix chanteront votre gloire, Nos flancs porteront vos vengeurs. Chœur des épouses — La république, etc. UNE JEUNE FILLE. Et...
Page 169 - Nous pressait sur son cœur joyeux, Ma chère? Et nous baisions ses blancs cheveux Tous deux. . Ma sœur, te souvient-il encore Du château que baignait la Dore, Et de cette tant vieille tour Du Maure, Où l'airain sonnait le retour Du jour? Te souvient-il du lac tranquille Qu'effleurait l'hirondelle agile, Du vent qui courbait le roseau Mobile, Et du soleil couchant sur l'eau Si beau?
Page 230 - Elle aime à rire, elle aime à boire, elle aime à chanter comme nous ! dit-il à voix basse en citant la fameuse chanson de Béranger.
Page 7 - Charmante Gabrielle, Percé de mille dards, Quand la gloire m'appelle A la suite de Mars, Cruelle départie ! Malheureux jour ! Que ne suis-je sans vie Ou sans amour ! L'amour, sans nulle peine, M'a, par vos doux regards, Comme un grand capitaine, Mis sous ses étendards.
Page 398 - Elle fit un fromage, Et ron, ron, ron, petit patapon, Elle fit un fromage, Du lait de ses moutons, ron, ron, Du lait de ses moutons.
Page 329 - Rosette , pour un peu d'absence , Votre cœur vous avez changé ; Et moi sachant cette inconstance , Le mien autre part j'ai rangé. Jamais plus beauté si légère Sur moi tant de pouvoir n'aura : Nous verrons, volage bergère, Qui premier s'en repentira.