Les chansons d'autrefois: vieux chants populaires de nos pères |
From inside the book
Results 1-5 of 48
Page vi
... pauvre , le paysan aux champs , la grande damne au salon , l'ouvrière dans sa mansarde , l'artiste à l'atelier , le soldat au camp , l'artisan à l'établi , l'ivrogne au cabaret , le poëte jusque dans les fers . Boileau n'a - t - il pas ...
... pauvre , le paysan aux champs , la grande damne au salon , l'ouvrière dans sa mansarde , l'artiste à l'atelier , le soldat au camp , l'artisan à l'établi , l'ivrogne au cabaret , le poëte jusque dans les fers . Boileau n'a - t - il pas ...
Page 21
... pauvres son bien , Et dit son bréviaire : Va - t'en voir , etc. Un magistrat curieux De jurisprudence , Et qui , devant deux beaux yeux , Tient bien la balance : Va - t'en voir , etc. Une fille de quinze ans , D'Agnès la pareille , Qui ...
... pauvres son bien , Et dit son bréviaire : Va - t'en voir , etc. Un magistrat curieux De jurisprudence , Et qui , devant deux beaux yeux , Tient bien la balance : Va - t'en voir , etc. Une fille de quinze ans , D'Agnès la pareille , Qui ...
Page 28
... pauvre plaideur par eux rançonné , Après l'avoir pateliné , Disent , le procès terminé : « J'ai du bon tabac dans ma tabatière , J'ai du bon tabac , tu n'en auras Pas . » D'un gros financier la coquette flaire Le beau bijou d'or , de ...
... pauvre plaideur par eux rançonné , Après l'avoir pateliné , Disent , le procès terminé : « J'ai du bon tabac dans ma tabatière , J'ai du bon tabac , tu n'en auras Pas . » D'un gros financier la coquette flaire Le beau bijou d'or , de ...
Page 34
... pauvre malade , D'argent n'ayant pas garde , On tomba sur ses hardes , Et rien ne lui resta . Ha ! ha ha ! ha ! En fermant la paupière , Ell ' finit sa carrière ; Et sans drap et sans bière En terre on l'emporta . Ha ha ha ! ha ha ! ha ...
... pauvre malade , D'argent n'ayant pas garde , On tomba sur ses hardes , Et rien ne lui resta . Ha ! ha ha ! ha ! En fermant la paupière , Ell ' finit sa carrière ; Et sans drap et sans bière En terre on l'emporta . Ha ha ha ! ha ha ! ha ...
Page 45
... - il rien sur la terre Qui soit plus surprenant Que la grande misère Du pauvre Juif errant ? Que son sort malheureux Parait triste et fâcheux ! A PISAN- Un jour , près de la ville De Bruxelles ,. CLIF DU CAVEAU : 1223 . 3 .
... - il rien sur la terre Qui soit plus surprenant Que la grande misère Du pauvre Juif errant ? Que son sort malheureux Parait triste et fâcheux ! A PISAN- Un jour , près de la ville De Bruxelles ,. CLIF DU CAVEAU : 1223 . 3 .
Other editions - View all
Common terms and phrases
aimable aime AIR connu ALEXANDRE DUVAL amant âme amour ANONYME Aspasie Bacchus baiser beau belle bergère boire bois bon roi Dagobert bon tabac bonheur BUVEUR buvons Cadet Rousselle Calpigi Carabi caresse chagrin chanson chansonnier chanter Chantons les matines charmant cher CLEF DU CAVEAU cœur Confiteor COUPLETS Cythère dame danser déplaise au dieu Désormais je serai douce doux enfant FABRE D'ÉGLANTINE faridondaine femme fille fleurs gloire hélas heureux Hippocrate J'ai du bon j'aime jeune jolie jour l'amour l'aurore l'échappe belle l'onde Lisette m'en Mainfroi maman Manon marmotte mère mirontaine Mironton mort Musique N'en déplaise nuit oiseaux PANARD pauvre père pinte plaire plaisir Plaisir d'amour plaisirs pleurs poëte printemps qu'un refrain rien ROMANCE rose Rousselle est bon saint Éloi serai sage soir soupire souvent t'aime tendre tendresse théâtre du Vaudeville Tircis tonton V'là Va-t'en veux Voilà la différence Voilà la ressemblance yeux
Popular passages
Page 169 - Combien j'ai douce souvenance Du joli lieu de ma naissance ! Ma sœur, qu'ils étaient beaux ces jours De France! O mon pays! sois mes amours Toujours ! Te souvient-il que notre mère, Au foyer de notre chaumière, Nous pressait sur son cœur joyeux, Ma chère? Et nous baisions ses blancs cheveux Tous deux. Ma sœur, te souvient-il encore Du château que baignait la Dore, Et de cette tant vieille tour Du Maure, Où l'airain sonnait le retour Du jour?
Page 316 - Nous entrerons dans la carrière Quand nos aînés n'y seront plus ; Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leurs vertus ! Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil, Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre ! .... Aux armes, citoyens ! etc.
Page 315 - Français, pour nous, ah ! quel outrage ! Quels transports il doit exciter ! C'est nous qu'on ose méditer De rendre à l'antique esclavage ! Aux armes, citoyens ! etc.
Page 316 - Amour sacré de la patrie, Conduis, soutiens nos bras vengeurs ! Liberté ! Liberté chérie, Combats avec tes défenseurs ! Sous nos drapeaux, que la victoire Accoure à tes mâles accents ! Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire ! Aux armes, etc.
Page 319 - Partez, vaillants époux, les combats sont vos fêtes ; Partez, modèles des guerriers ; Nous cueillerons des fleurs pour en ceindre vos têtes, Nos mains tresseront vos lauriers ! Et si le temple de Mémoire S'ouvrait à vos mânes vainqueurs, Nos voix chanteront votre gloire, Nos flancs porteront vos vengeurs. Chœur des épouses — La république, etc. UNE JEUNE FILLE. Et...
Page 169 - Nous pressait sur son cœur joyeux, Ma chère? Et nous baisions ses blancs cheveux Tous deux. . Ma sœur, te souvient-il encore Du château que baignait la Dore, Et de cette tant vieille tour Du Maure, Où l'airain sonnait le retour Du jour? Te souvient-il du lac tranquille Qu'effleurait l'hirondelle agile, Du vent qui courbait le roseau Mobile, Et du soleil couchant sur l'eau Si beau?
Page 230 - Elle aime à rire, elle aime à boire, elle aime à chanter comme nous ! dit-il à voix basse en citant la fameuse chanson de Béranger.
Page 7 - Charmante Gabrielle, Percé de mille dards, Quand la gloire m'appelle A la suite de Mars, Cruelle départie ! Malheureux jour ! Que ne suis-je sans vie Ou sans amour ! L'amour, sans nulle peine, M'a, par vos doux regards, Comme un grand capitaine, Mis sous ses étendards.
Page 398 - Elle fit un fromage, Et ron, ron, ron, petit patapon, Elle fit un fromage, Du lait de ses moutons, ron, ron, Du lait de ses moutons.
Page 329 - Rosette , pour un peu d'absence , Votre cœur vous avez changé ; Et moi sachant cette inconstance , Le mien autre part j'ai rangé. Jamais plus beauté si légère Sur moi tant de pouvoir n'aura : Nous verrons, volage bergère, Qui premier s'en repentira.