Les chansons d'autrefois: vieux chants populaires de nos pères |
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Page 108
... buvons de la belle eau claire , Pour apaiser ce grand feu . Je mettons dans not ' salade Des herbes de tout ' façons ; J'n en sommes pas moins malade ; Ces r'mèd ' là sont pourtant bons . ANONYME . OH ! LE BON SIÈCLE , MES FRÈRES ! LES ...
... buvons de la belle eau claire , Pour apaiser ce grand feu . Je mettons dans not ' salade Des herbes de tout ' façons ; J'n en sommes pas moins malade ; Ces r'mèd ' là sont pourtant bons . ANONYME . OH ! LE BON SIÈCLE , MES FRÈRES ! LES ...
Page 203
... Et Bacchus ordonne qu'on aime . Aimons et buvons tour à tour , Pour plaire à Bacchus , à l'Amour . Le nectar que l'on verse aux dieux Le cède à ce jus délectable ; Et Vénus , la beauté des cieux , Près d'Iris CHANSONS A BOIRE . 203.
... Et Bacchus ordonne qu'on aime . Aimons et buvons tour à tour , Pour plaire à Bacchus , à l'Amour . Le nectar que l'on verse aux dieux Le cède à ce jus délectable ; Et Vénus , la beauté des cieux , Près d'Iris CHANSONS A BOIRE . 203.
Page 205
... Buvons de ce jus , Jus , jus , jus , jus , Jusqu'à la nuit close ; Puisqu'il est si doux , Dou , dou , dou , dou , Doublons tous la dose . Son goût exquis , qui , qui pénètre Jusqu'au fond de notre cœur , Au dessert , sert , sert , sert ...
... Buvons de ce jus , Jus , jus , jus , jus , Jusqu'à la nuit close ; Puisqu'il est si doux , Dou , dou , dou , dou , Doublons tous la dose . Son goût exquis , qui , qui pénètre Jusqu'au fond de notre cœur , Au dessert , sert , sert , sert ...
Page 211
... buvons jamais d'eau ; Des dieux c'est le plus grand fléau . Phaëton , ce jeune éventé Qui voulut éclairer le monde , Par la foudre précipité , Du Pô s'en alla boire l'onde . Amis , etc. Le modèle fameux des sots , Le fat et l ...
... buvons jamais d'eau ; Des dieux c'est le plus grand fléau . Phaëton , ce jeune éventé Qui voulut éclairer le monde , Par la foudre précipité , Du Pô s'en alla boire l'onde . Amis , etc. Le modèle fameux des sots , Le fat et l ...
Page 212
... Buvons de ce jus précieux ; C'est le plus beau présent des cieux . PANARD . PRECEPTE D'HIPPOCRATE CLEF DU CAVEAU 258 . Je cherche en vain la vérité , Si le vin n'aide à ma faiblesse ; Toute la docte antiquité Dans le vin puisa la ...
... Buvons de ce jus précieux ; C'est le plus beau présent des cieux . PANARD . PRECEPTE D'HIPPOCRATE CLEF DU CAVEAU 258 . Je cherche en vain la vérité , Si le vin n'aide à ma faiblesse ; Toute la docte antiquité Dans le vin puisa la ...
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Common terms and phrases
aimable aime AIR connu ALEXANDRE DUVAL amant amour ANONYME Aspasie AUTEUR INCONNU Babet Bacchus baiser beau Bélisaire belle bergère boire bon roi Dagobert bon tabac bonheur BUVEUR buvons Cadet Rousselle Carabi caresse chagrin chanson chansonnier chanter charmant cher CLEF DU CAVEAU cœur Confiteor COUPLETS Cythère d'aller au bois dame danser déplaise au dieu Désormais je serai doux enfant FABRE D'ÉGLANTINE faridondaine femme fille fillette fleurs GENTIL-BERNARD gloire hélas Hippocrate J'ai du bon j'aime Javotte jeune jolie jour l'amour l'échappe belle Lisette m'en maman Manon marmotte mère mirontaine Mironton monsieur mort Musique N'en déplaise oiseau p'tit PANARD passe pauvre père Pierrot pinte plaire plaisir plaisirs pleurs poëte qu'un refrain ROMANCE RONDE rose Rousselle est bon saint Éloi saint Hubert serai sage soir soupire t'aime tendre tendresse Tircis Tontaine tonton tour V'là Va-t'en veux vieille Voilà la différence Voilà la ressemblance
Popular passages
Page 169 - Combien j'ai douce souvenance Du joli lieu de ma naissance ! Ma sœur, qu'ils étaient beaux ces jours De France! O mon pays! sois mes amours Toujours ! Te souvient-il que notre mère, Au foyer de notre chaumière, Nous pressait sur son cœur joyeux, Ma chère? Et nous baisions ses blancs cheveux Tous deux. Ma sœur, te souvient-il encore Du château que baignait la Dore, Et de cette tant vieille tour Du Maure, Où l'airain sonnait le retour Du jour?
Page 316 - Nous entrerons dans la carrière Quand nos aînés n'y seront plus ; Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leurs vertus ! Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil, Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre ! .... Aux armes, citoyens ! etc.
Page 315 - Français, pour nous, ah ! quel outrage ! Quels transports il doit exciter ! C'est nous qu'on ose méditer De rendre à l'antique esclavage ! Aux armes, citoyens ! etc.
Page 316 - Amour sacré de la patrie, Conduis, soutiens nos bras vengeurs ! Liberté ! Liberté chérie, Combats avec tes défenseurs ! Sous nos drapeaux, que la victoire Accoure à tes mâles accents ! Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire ! Aux armes, etc.
Page 319 - Partez, vaillants époux, les combats sont vos fêtes ; Partez, modèles des guerriers ; Nous cueillerons des fleurs pour en ceindre vos têtes, Nos mains tresseront vos lauriers ! Et si le temple de Mémoire S'ouvrait à vos mânes vainqueurs, Nos voix chanteront votre gloire, Nos flancs porteront vos vengeurs. Chœur des épouses — La république, etc. UNE JEUNE FILLE. Et...
Page 169 - Nous pressait sur son cœur joyeux, Ma chère? Et nous baisions ses blancs cheveux Tous deux. . Ma sœur, te souvient-il encore Du château que baignait la Dore, Et de cette tant vieille tour Du Maure, Où l'airain sonnait le retour Du jour? Te souvient-il du lac tranquille Qu'effleurait l'hirondelle agile, Du vent qui courbait le roseau Mobile, Et du soleil couchant sur l'eau Si beau?
Page 230 - Elle aime à rire, elle aime à boire, elle aime à chanter comme nous ! dit-il à voix basse en citant la fameuse chanson de Béranger.
Page 7 - Charmante Gabrielle, Percé de mille dards, Quand la gloire m'appelle A la suite de Mars, Cruelle départie ! Malheureux jour ! Que ne suis-je sans vie Ou sans amour ! L'amour, sans nulle peine, M'a, par vos doux regards, Comme un grand capitaine, Mis sous ses étendards.
Page 398 - Elle fit un fromage, Et ron, ron, ron, petit patapon, Elle fit un fromage, Du lait de ses moutons, ron, ron, Du lait de ses moutons.
Page 329 - Rosette , pour un peu d'absence , Votre cœur vous avez changé ; Et moi sachant cette inconstance , Le mien autre part j'ai rangé. Jamais plus beauté si légère Sur moi tant de pouvoir n'aura : Nous verrons, volage bergère, Qui premier s'en repentira.