| Noël Antoine Pluche - Cosmogony - 1778 - 492 pages
...suppositions des Sceptiques . _ » n'étoieiît pas capables de l'éhranler, je >i jugeois que je pouvoîs la recevoir sans » scrupule pour le premier principe de la » philosophie que je cherchois. » Puis examinant avec attention ce que » j'étois, et voyant que je pohvois feindre »... | |
| Mathurin-Jacques Brisson - Aeronautics - 1800 - 554 pages
...peusois , » fusse quelque chose : et remarquant que cette vérité. » je pense, donc je. suis , éloit si ferme et si assurée » que toutes les plus extravagantes suppositions 'des » sceptiques n'étoient pas capables de l'ébranler j je •» jugeai que je pouvois la recevoir sans scrupule pour... | |
| 1798 - 420 pages
...pensois , fusse quelque chose ; » et remarquant que cette vérité, je pense, donc je » suis, étoit si ferme et si assurée, que toutes les plus » extravagantes suppositions des sceptiques n'étoient 33 pas capables de l'ébranler , je jugeai que je pouvois la » recevoir sans scrupule pour... | |
| René Descartes - 1824 - 518 pages
...le pensois fusse quelque chose ; et remarquant que cette vérité, je pense , donc je suis, étoit si ferme et si assurée , que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques n'étoient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvois la recevoir sans scrupule pour le... | |
| Louis Auguste Jean Francois Philippe Gruyer - Philosophy - 1832 - 424 pages
...le pensois fusse quelque chose ; et remarquant que cette vérité, je pense , donc je suis, étoit si ferme et si assurée, que toutes les plus extravagantes suppositions des sceptiques n'étoient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvois la recevoir sans scrupule pour le... | |
| René Descartes - Philosophy - 1835 - 656 pages
...moi qui le pensais fusse quelque chose ; et remarquant que cette vérité, je pense, donc je suis , était si ferme et si assurée, que toutes les plus...l'ébranler, je jugeai que je pouvais la recevoir sansscrupule pour le premierprincipe de la philosophie que je cherchais3. (a) Puis examinant avec attention... | |
| René Descartes - 1835 - 654 pages
...moi qui le pensais fusse quelque chose; et remarquant que cette vérité, je pense, donc je suis , était si ferme et si assurée, que toutes les plus...n'étaient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvaisla recevoir sansscrupule pour le premier principe de la philosophie que je cherchais3, (a) Puis... | |
| 1844 - 498 pages
...de son propre corps : ou s'arrêtera-t-il? Remarquant que cette vérité : Je pense, donc je suis, était si ferme et si assurée, que toutes les plus...sceptiques n'étaient pas capables de l'ébranler, ditil, je jugeai que je pourrais la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie... | |
| Amédée Gabourd - France - 1846 - 442 pages
...moi qui le pensai fusse quelque chose ; et , remarquant que cette vérité , je pense, donc je suis, était si ferme et si assurée, que toutes les plus...premier principe de la philosophie que je cherchais. » Et un peu plus loin il ajoute : « Faisant ensuite réflexion que je doutais, et que par conséquent... | |
| Philibert Damiron - Philosophy - 1846 - 614 pages
...extravagantes suppositions des sceptiques n'étoient pas capables de l'ébranler, je jugeai que je pouvois la recevoir sans scrupule pour le premier principe de la philosophie que je cherchois; » (Méthode, \V partie, § 1") et cependant la forme paraît accuser un raisonnement; Descartes... | |
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