| René Descartes - Philosophy - 1835 - 656 pages
...remarquer quelles sont celles que nous concevons distinctement 2. (4) Ensuite de quoi, faisant réflexion sur ce que je doutais, et que par conséquent mon...évidemment que ce devait être de quelque nature qui fût eu effet plus parfaite 3. Pour ce qui est des pensées que j'avais de plusieurs autres choses hors... | |
| René Descartes - 1835 - 654 pages
...remarquer Quelles îont celles que nous concevons distinctement a. (4) Ensuite de quoi, faisant réflexion sur ce que je doutais, et que par conséquent mon...perfection de connaître que de douter, je m'avisai iJe chercher d'où j'avais appris à penser à quelque chose de plus parfait que je n'étais; et je... | |
| Heinrich Ahrens - Psychology - 1838 - 344 pages
...Ensuite de quoi faisant réflexion sur ce , que je doutais et que par conséquent tnon être n'était pas parfait, car je voyais clairement, que c'était une...j'avais appris à penser à quelque chose de plus pariait que je n'étais ; et je connus évidemment que ce devait être de quelque nature qui fût en... | |
| René Descartes - Philosophy - 1842 - 626 pages
...remarquer quelles sont celles que nous concevons distinctement. Ensuite de quoi, faisant réflexion sur ce que je doutais, et que, par conséquent, mon...clairement que c'était une plus grande perfection de connaitre que de douter, je m'avisai de chercher d'où j'avais appris à penser à quelque chose de... | |
| Pierre Laromiguière - Philosophy - 1844 - 532 pages
...remarquer quelles sont celles que nous concevons distinctement. Ensuite de quoi, faisant réflexion sur ce que je doutais, et que par conséquent mon...douter, je m'avisai de chercher d'où j'avais appris a penser a quelque chose de plus parfait que je n'étais ; et je connus évidemment que ce devait être... | |
| Amédée Gabourd - France - 1846 - 442 pages
...grande perfection de connaître que de douter, je m'avisai de chercher d'où j'avais appris à penser quelque chose de plus parfait que je n'étais , et...évidemment que ce devait être de quelque nature qui fût plus parfaite. » Tel est le célèbre doute de Descartes, et c'est ainsi qu'il passe sans intermédiaire... | |
| Periodicals - 1849 - 464 pages
...de quoi, faisant réflexion sur ce que je doutais, et que par con» séquent mon tire n'était pat tout parfait, car je voyais clairement que c'était...perfection de connaître que de douter, je m'avisai de cher" cher d'où j'avaisappris à penser à quelque chose de plus purfiiitqiic je n'étais; » et je... | |
| René Descartes - Filosofia - 1850 - 700 pages
...remarquer quelles sont celles que nous concevons distinctement. Ensuite de quoi, faisant réflexion sur ce que je doutais, et que, par conséquent, mon...clairement que c'était une plus grande perfection de counaître que de douter, je m'avisai de chercher d'où j'avais appris à penser à quelque chose de... | |
| Charles Jourdain - Scholasticism - 1858 - 512 pages
...exprimée dans le Discours sur la méthode* avec une précision supérieure : « Faisant réflexion sur ce que je doutais et que par conséquent mon être...m'avisai de chercher d'où j'avais appris à penser quelque chose de plus parfait que je n'étais; et je connus évidemment que ce devait être de quelque... | |
| René Descartes - Philosophy, Modern - 1863 - 108 pages
...remarquer quelles sont celles que nous concevons distinctement 7. Ensuite de quoi, faisant réflexion sur ce que je doutais, et que par conséquent mon...chercher d'où j'avais appris à penser à quelque chose do plus parfait que je n'étais; et je connus évidemment que ce devait être de quelque nature qui... | |
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