| Georges Louis Leclerc comte de Buffon - Natural history - 1826 - 396 pages
...mesurés avec précision , ni les résultats d'être calculés avec exactitude ; elles finissent lorsqu'il n'ya plus à considérer que les opérations de l'esprit et leur influence sur la volonté. L'espace entre ces deux limites est aussi vaste que fertile , et appelle de toute part les travailleurs... | |
| Aristotle - 1846 - 532 pages
...faut que les physiologistes se résignent à reconnaître avec Cuvier (Rapport historique, page 6,) « que les sciences naturelles finissent là où il n'ya...yeux, laisser la physiologie à l'observation des phénos mènes de la vie, ne pas la pousser jusqu'à l'observation des phénomènes de l'esprit , c'est... | |
| Aristotle - Psychology - 1846 - 528 pages
...faut que les physiologistes se résignent à reconnaître avec Cuvier (Rapport historique, page 6,) « que les sciences naturelles finissent là où il n'ya...yeux, laisser la physiologie à l'observation des phénoa mènes de la vie, ne pas la pousser jusqu'à l'observation des phénomènes de l'esprit , c'est... | |
| Aristotle - 1846 - 538 pages
...faut que les physiologistes se résignent à reconnaître avec Guvier (Rapport historique, page 6,) « que les sciences naturelles finissent là où il n'ya...yeux, laisser la physiologie à l'observation des phénos mènes de la vie, ne pas la pousser jusqu'à l'observation des phénomènes de l'esprit , c'est... | |
| George Barker (of the Theatre royal, Drury lane.) - 1846 - 532 pages
...faut que les physiologistes se résignent à reconnaître avec Cuvier (Rapport historique, page 6,) « que les sciences naturelles finissent là où il n'ya...yeux, laisser la physiologie à l'observation des phénoa mènes de la vie, ne pas la pousser jusqu'à l'observation des phénomènes de l'esprit, c'est... | |
| Aristóteles - 1846 - 536 pages
...faut que les physiologistes se résignent à reconnaître avec Cuvier (Kapport historique, page 6,) « que les sciences naturelles finissent là où il n'ya...physiologistes auxquels nous faisons allusion. A leurs >eux, laisser la physiologie à l'observation des phénomènes de la vie, ne pas la pousser jusqu'à... | |
| Aristotle, Jules Barthélemy Saint-Hilaire - Psychology - 1846 - 532 pages
...faut que les physiologistes se résignent à reconnaître avec Cuvier (liapport historique, page 6,) «que les sciences naturelles finissent là où il...la volonté. » Avec lui encore, il faut qu'ils se résignerai à reconnaître « cet hiatus infranchissable » dont il parle en réfutant Gall, « et... | |
| Georges baron Cuvier - Science - 1864 - 496 pages
...mesurés avec précision , ni les résultats d'être calculés avec exactitude ; elles finissent lorsqu'il n'ya plus à considérer que les opérations de l'esprit et leur influence sur la volonté. L'espace entre ces deux limites est aussi vaste que fertile, et appelle de toute part les travailleurs... | |
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