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louanges, de respects, d'amour et de ser- | roïques vertus. Puisse cette lecture inspi

vices.

Nous avons dernièrement recommandé à la piété de nos lecteurs la Dissertation polémique de S. E. le cardinal Lambruschini, sur l'Immaculée Conception de Marie (1): ils voudront se procurer l'opuscule de l'illustre et pieux cardinal, et méditer avec ce prélat sur le privilége extraordinaire départi à la Reine des cieux, pendant le mois qui lui est consacré d'une manière spéciale. Ils puiseront dans ce livre, comme dans une source féconde, des sentimens de vénération et de tendre dévotion pour la Vierge conçue sans péché. Nul doute que l'ouvrage de Mgr Lambruschini, si promptement reproduit en Belgique, et que l'on s'occupe de traduire en allemand et en espagnol, ne se répande partout en France, et n'y anime de plus en plus la piété envers Marie.

En annonçant aujourd'hui un nouvel ouvrage composé en son honneur, nous croyons faire un véritable plaisir à ses serviteurs, à ses enfans. Un petit livre, écrit tout entier de la main d'un célèbre missionnaire (2), mort en odeur de saintelé au commencement du siècle dernier, a été récemment découvert, et vient d'être imprimé à Paris (3). Les personnes qui ont lu la Vie si intéressante du Vénérable Père de Montfort, ce prêtre si dévoué à la Reine du ciel, et l'on peut ajouter, si cher à son cœur, trouveront là le secret de sa dévotion et de ses hé

(1) In-8°, édit. de luxe. Prix: 2 fr. 50 c., et 3 fr. par la poste, au bureau de cé Journal.

(2) Louis-Marie Grignon de Montfort, missionnaire apostolique et instituteur de la congrégation des Missionnaires du Saint-Esprit, dite aussi Compagnie de Marie, et de celle des Filles de la Sagesse, à Saint-Laurent-sur-Sèvre (Vendée).

(3) Un beau petit volume in-18 de 250 pages, ayant pour titre: De la Vraie Dévotion à la sainte Vierge, se trouve au grand séminaire de Luçon, à la maison des Missionnaires du Saint-Esprit, à Saint-Laurent-sur-Sèvre, et chez MM. Gaume, libraires-éditeurs, à Paris.

rer à tous un nouveau zèle pour la gloire de l'auguste Marie! Puisse-t-elle l'inspirer surtout aux élèves du sanctuaire, destinés, comme Louis-Marie Grignon de Montfort, à prêcher, à faire connoître Jésus par Marie!

« C'est par la très-sainte Vierge que Jésus-Christ est venu au monde, c'est aussi par elle qu'il doit régner dans le monde. » Le Vénérable Louis-Marie Grignon de Montfort consacre au développement de cette vérité la première partie de son livre.

Il explique dans la seconde quelle est la plus parfaite dévotion à Marie, et fait voir qu'elle consiste dans une consécration totale à Jésus par les mains de sa divine Mère; il en expose ensuite les motifs les plus pressans, en décrit les effets admirables, puis en indique les pratiques intérieures et extérieures.

Quiconque lira ce petit traité, bénira la divine Providence de le lui avoir fait connoître, et regrettera qu'il n'ait pas été plus tôt imprimé. Après l'avoir lu, il aimera davantage Jésus et Marie : c'est là le seul but du pieux auteur; c'est aussi tout ce qu'on s'est proposé en livrant son travail à l'impression.

Enfin, sous le titre de La Fleur des Mois de Marie, ou Les Fleurs du Mois de Mai, M. l'abbé R., auteur de l'Abeille de Marie, vient de publier un choix de considérations, pour chaque jour de ce mois, sur les mystères de la sainte Vierge, sur les pèlerinages aux sanctuaires de Marie, et sur les autres dévotions en son honneur. Non-seulement

M. l'évêque d'Amiens, qui a fait exami– ner ce livre, n'y a rien trouvé que de conforme à la doctrine de l'Eglise, mais il l'a approuvé comme propre à accroître la dévotion à la sainte Vierge. Le lecteur respire, en effet, un doux parfum de piété. Nous y avons remarqué, d'ailleurs, des traits d'histoire heureusement choisis, et qui, en attestant les salutaires effets du recours à Marie, font naître ou fortifient des sentimens de confiance et de gratitude envers la Reine des cieux.

Librairie de POUSSIELGUE-RUSAND, rue Hautefeuille, 9.

LE COMTE DE LA FERRONNAYS

ET MARIE-ALPHONSE RATISBONNE.

Par le comte THEOBALD WALSH.

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Seconde édition, suivi de la RELATION de G. GOERRES, traduite de l'allemand. — Un volume in-12, papier vélin satiné. Prix: 2 fr.

CHANTS A MARIE, ou Cantiques pour chaque jour du mois de mai, paroles de M. l'abbé LEFEBVRE, musique de M. L. LAMBILLOTTE, avec accompagnement de piano. · In-12, prix net, 3 fr. 75 c.

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MOIS DE MARIE, par un Prêtre de Belley. Jolie édition, in−18, prix, 1 fr.
MOIS DE MARIE, par l'abbé OUDOUL. In-18, prix, 60 c.

MOIS DE MARIE PAROISSIAL, par M. l'abbé LADEN. In-12, prix net, 2 fr. 25 c.

LIBRAIRIE ECCLÉSIASTIQUE ANCIENNE ET MOderne de méQUIGNON-JI NIOR, Libraire de la Faculté de Théologie, rue des Grands-Augustins, 9, à Paris.

EN VENTE, LA NEUVIÈME ÉDITION

MANUEL de piété à l'usage des séminaires. Neuvième édition, revue, corrigée et augmentée. 1 vol. in-32. (Propriété.) · 1 fr. L'ordre établi dans les séminaires, les réglemens qui leur ont été donnés par leurs pieux fondateurs, les exercices journaliers qu'on y pratique, offrent sans doute aux élèves du sanctuaire les secours les plus abondans et les plus efficaces pour se préparer aux saints ordres, et pour avancer chaque jour dans la perfection de leur état; mais, quelque avantageux que soient par eux-mêmes tous ces moyens de sanctification, ils perdroient souvent une partie de leur efficacité, si l'on ne s'appliquoit, par de fréquentes et solides réflexions, à en bien comprendre l'importance, et surtout à entrer dans les dispositions intérieures, sans lesquelles les plus sages réglemens et les plus saints exercices ne servent de rien.

C'est dans cette vue qu'on a publié cet excellent recueil, fruit des travaux des pieux directeurs du séminaire de Saint-Sulpice, et qu'ils ont fait adopter dans leur séminaire.

Cet ouvrage, parvenu à la neuvième édition, vient d'être revu avec soin par les mêmes directeurs, afin de le rendre de plus en plus utile aux élèves des séminaires.

Chez le même Libraire :

RETRAITE selon l'esprit et la méthode de saint Ignace, pour les ECCLÉSIASTIQUES, par le R. P. NEPVEU, de la Compagnie de Jésus. 1 vol. in-12. 1 fr. 50 c. LA DOCTRINE SPIRITUELLE du P. LOUIS LALLEMANT, de la Compagnie de Jésus. 1 vol. in-12.

2 fr. SERMONS ET ENTRETIENS CHOISIS DE FÉNELON; précédés de ses Dialogues sur l'éloquence en général, et sur celle de la chaire en particulier. Seconde édition, revue et corrigée d'après les éditions les plus correctes, et ornée d'un fac-simile. In-12. 2 fr.

SERMONS CHOISIS DE BOSSUET; précédés du Discours préliminaire sur les Sermons du même prélat; par le cardinal Maury. Troisième édition, revue et augmentée. In-12.

2 fr.

Le Gérant, Adrien Le Clere. PARIS-IMPRIMERIE D'AD. LE CLERE ET C°,

rue Cassette, 29.

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Histoire impartiale et critique du Rigo- | les auteurs de bons ouvrages n'ont

risme moderne en matière de pret de commerce, ou la législation française et la doctrine de l'Eglise catholique sur le prêt à intérêt, justifiées des impulations de la plupart des séminaires de France. Refutation des erreurs de M. l'abbé Combalot, sur l'autorité du Pape et sur l'indépendance des rois, quant au temporel, par M. l'abbé Baronnat, prêtre du diocèse de Lyon, prédicateur et chanoine honoraire

d'Autun.

Ce titre, je l'avoue, m'a trompé. Puisque l'auteur promettoit une listoire impartiale et critique du rigorisme, je n'imaginois qu'il auroit retracé l'origine de cette controverse, exposé les modifications qu'elle a subies, discuté les preuves qu'on allègue de part et d'autre, et enfin qu'il auroit fait connoître les motifs qui l'inclinoient à rejeter ou à embrasser le rigorisme moderne. Tel n'a pas été le but principal de M. l'abbé Baronnat, et l'analyse de son ouvrage prouvera au lecteur qu'il s'agit ici de tout autre chose que de ce que le titre sembloit annoncer.

guère à se louer de leurs complaisans diteurs; ou ceux-ci leur donnent des éloges dont leur modestie s'alarme à bon droit, ou ils leur supposent des idées, des intentions et des pensées dont ils ne se doutoient même pas. L'éditeur de M. l'abbé Barounat est à l'abri de ce reproche; ses vues, sa manière, son style coïncident parfaitement avec la tournure habituelle d'esprit de l'auteur. Ce sont les mêmes affections, les mêmes aversions, le même goût belliqueux. His amor unus erat pariterque in bella [ruebant.

Après la préface de l'éditeur vient le discours préliminaire où M. l'abbé Barounat expose les motifs qui lui ont mis la plume à la main, et le but principal qu'il s'est proposé; il y fait aussi l'apologie des terines énergiques et durs dont il s'est servi en réfutant les anciens et les nouveaux rigoristes.

M. Pagès, dit-il, loin d'avoir rétracté les erreurs et les impostures dont on l'a convaincu, met encore aujourd'hui sa gloire à les propager, Une préface de l'éditeur précède et à soutenir, avec l'opiniâtreté d'un le discours préliminaire. On y lit sectaire, de nouveaux et d'horribles que l'ouvrage de M. l'abbé Baron- mensonges, comme un autre soutiennat, sur la legitimité du prêt à intérêt, droit d'incontestables vérités; et je est sans contredit un livre d'une très-me crois obligé de le réfuter une segrande importance à raison de son sujet, et d'une utilité non-seulement particulière, mais publique; qu'il fournit des armes triomphantes aux hommes consciencieux contre les attaques d'un zèle indiscret et aveugle qui confond le prêt de commerce avec l'usure, et qu'il venge des accusations calomnieuses de l'ignorance les deux principales puissances qui gouvernent le monde : celle des pontifes et celle des rois. En général

L'Ami de la Religion. Tome CXVII.

conde fois pour justifier les défenses réitérées, qu'ont faites les derniers papes, d'inquiéter ceux qu'il se plaît à dénigrer comme usuriers et impies. C'est donc une réfutation de M. Pagès et de ceux qui pensent comme lui, que nous offre notre auteur, plutôt qu'une histoire critique et impartiale du rigorisme moderne. H veut bien convenir que la manière dont il parle des rigoristes ne lui conciliera pas ceux qui font encore

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quelque cas de la politesse, des convenances, et de l'urbanité; mais il cède à l'empire de la nécessité, et c'est à ce titre qu'il ose se promettre de la part du public des lettres d'abolition. Il est profondément convaincu, qu'on ne sauroit dire cent fois à un homme qu'il est un menteur fieffé, et le prouver au lecteur sans se servir du mot propre ou d'un terme équivalent; aussi on peut être assuré d'avance qu'il n'aura pas recours à des palliatifs, à des équivalens ou à des circonlocutions. D'ailleurs, il ne se fût pas servi de termes durs, s'il eût eu affaire à des gens d'esprit; mais il y a été contraint, par rapport aux esprits communs compliinent gracieux, comme on voit, qu'il décoche à l'adresse des trois quarts de ses lecteurs.

croyant que les principes opposés aux leurs étoient l'altération de la saine morale, ont traité leurs adversaires avec une amertume très-peu chrétienne, les appelant usuriers, usuristes, et leur donnant d'autres qualifications injurieuses. De l'autre côté, quelques partisans du prêt de commerce ont pris vis-à-vis des docteurs qu'ils combatioient un ton de mépris et de sarcasme, plus insultant encore que l'injure. Je suis bien éloigné de me faire un mérite d'avoir évité une manière d'écrire aussi contraire à mon caractère, à mon état, et à mon estime pour les docteurs que je combats. Mais, prévoyant que la matière actuelle pourra encore être le sujet de débats entre les théologiens, je ne puis m'empêcher de les exhorter à cette modération si précieuse, surtout dans les discussions qui concernent la religion. Qu'ils considèrent que la force des raisons n'est pas dans la violence des expressions; que les inté

M. l'abbé Baronnat appelle rigorisme le sentiment de ceux qui soutiennent qu'un confesseur est obligérêts de la vérité qu'ils cherchent, qu'ils d'interroger ses pénitens sur l'emploi qu'ils font de leurs deniers, quand il les soupçonne de les faire valoir par le prêt de commerce, afin de les en détourner par le refus de l'absolution, et de les forcer, par la crainte des châtimens de Dieu, à suivre les ordres du directeur de leur conscience, et non pas leur propre volonté, en dépit des lois et du sens commun. Il réfute cette opinion, etil s'applaudit de s'être toujours rencontré

avec le cardinal de la Luzerne sur le

croient défendre, ne peuvent pas être en opposition avec ceux de la charité; que c'est même mal servir la vérité et éloigaer d'elle ceux qu'ils veulent y ramener, que de la leur présenter sous une forme qui les révolte; que, loin d'édifier les fidèles et de les porter au respect pour la doctrine qu'ils croient véritable, ils les scandalisont, en employant pour la soutenir le langage des passions humaines,

M. l'abbé Baronnat n'ont pas touIl est vrai que les adversaires de fond des questions controversées. dération dont les théologiens, plus jours observé à son égard cette moQue ne s'est-il aussi rencontré avec le savant cardinal sur la modération que les autres, ne devroient jamais - dont celui-ci lui avoit donné un si se départir. Mais ils n'ont rien bel exemple! Avoit-il laissé échapper

de sa mémoire ces sages réflexions. que je lis dans l'avant-propos des Dissertations sur le prêt du commerce?

«Je dois parler d'un vice bien grave qu'on a souvent reproché avec trop de raison aux disputes théologiques, et que j'ai remarqué avec peine, spécialement dans les écrits publiés sur la matière que je traite. Plusieurs des docteurs sévères,

perdu, et ils ont été payés avec

usure.

Notre auteur fait remonter l'ori

gine du rigorisme moderne à l'année 1799, et il lui donne pour créateur M. d'Aviau, archevêque de Bordeaux. M. de la Luzerne avoit répondu aux objections de son respectable collègue; toutefois, M. Pagès voulant s'en prévaloir, osa attaquer M. Nolhac, qui avoit reproduit les

raisons du savant cardinal. M. Baron- | 1817 contre le prêt de commerce et

nat venge sou honorable ami, aussi recommandable, dit-il, par ses vertus que par son rare savoir.

contre la Déclaration du clergé de France de 1682. L'auteur s'attaque tour à tour aux Jésuites, aux missionnaires, à M. de Maistre, à M. Lanennais, à M. Burgué, supérieur du séminaire de Bayonne, à la compagnie des prêtres de Saint-Sulpice, qui défendit, par un arrêté du 9 sep tembre 1818, de soutenir en public ou en particulier des sentimens favorables au prêt de commerce. Mais le

Il est persuadé qu'il y a prescription des anciennes lois canoniques sur le prèt à intérêt. Ces lois sont anciennes, elles datent de cinq ou six siècles, et aucun concile des derniers temps ne les a renouvelées. Les papes Pie VIII et Grégoire XVI out défendu d'inquiéter les infracteurs de ces vieilles lois qu'on invoque en-grand coupable est toujours M. Pacore dans les écoles. Le motif de ces gès, qui s'est établi le représentant lois étoit puissant en apparence, de l'école rigoriste, et c'est confre lui parce qu'on croyoit aller au secours que M. Baronnat dirige toute des pauvres en prohibant le prêt à l'artillerie de sa logique foudroyante. intérêt, mais illusoire au fond, parce « Loin d'être ennuyeux et rebattu que, moins on gagnoit, moins on fai-dit-il, comme on a pu se l'imaginer soit l'aumône, et qu'il faut un ap- au premier coup d'oeil, le sujet de pât aux prêteurs, pour qu'ils se dé-mon livre est neuf, et traité, j'ose le cident à céder la jouissauce de leurs dire, d'une manière neuve. » En efcapitaux. De bonnes raisons sollici fet, il établit un dialogue bien gai' toient l'abrogation de ces lois, comme entre M. Pagès et lui sur le sens de l'impossibilité de soutenir le com- ce mot impia opinioni. Le théolomerce dans l'état de splendeur où gien de Lyon prétendoit que Bel'industrie et la circulation de l'ar- noit XIV avoit traité d'opinion impie gent l'ont élevé, depuis la découverte le sentiment de Calvin et de Charles de l'Amérique, si l'on ferme la bourse Dumoulin, qui autorisoient l'intérêt des prêteurs. La prudence du légis-à l'égard des marchands et des lateur lui conseilloit de ne pas déclarer ouvertement son abrogation, « Doucement, je vous prie, lui répond pour ne pas choquer l'honneur des notre rude jouteur, ne vous échauffez docteurs sévères, et pour contenir pas... écoutez-moi sans m'interrompre, dans les bornes les plus étroites de vous parlerez à votre tour... Vous auriez la justice ceux que leur inclination dû suivre l'exemple de M. d'Aviau, et et trop de condescendance porte-vous interdire, comme lui, la traduction roient à abuser des permissions. Une infinité de voix s'élèvent pour protester hautement, ou que la loi n'a jamais obligé, ou qu'elle n'oblige plus; et les papes et les évêques se taisent! Donc, point de désobéissance: donc la loi est prescrite. Enfin, le nombre des coupables est prodigieux, et ce nombre, en voyant la conduite des papes, ira' en augmen

tant.

Nous ne suivrons pas notre auteur dans l'historique qu'il trace de tous les écrits qui parurent en France eu

riches.

d'un texte que vous n'entendiez pas ou que vous avez voulu falsifier. - Ce ne sont point là mes affaires, répliquerezvous; M. de Bordeaux peut avoir eu ses raisons; mais, après tout, je ne réponds que de moi, et, Benoît XIV eût-il tort, ce que je suis bien loin de penser, je n'en puis mais. Pour être littérale, ma version n'en est pas moins exacte. Impia opinioni ne veut-il pas dire opinion impie? Ainsi, que voulez-vous de plus? - Ce que je veux, monsieur? que vous traduisiez fidèlement... Quand Tacite écrivoit : Impios Deos invocare, vouloit-il dire :'

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