Peuple; A quoi fe laiffe éblouir. I. 317. Quel Homme peut en braver les caprices. I. 342. Si fes fuffrages font à fouhaiter. I. 366. Peyrarède (Jean de ), Son Eloge. III. 375. Phalaris; Quelle maifon digne de lui; Ce qu'il êtoit. I. 207. Pharifiens; Par qui armés contre JESUS-CHRIST. I. 247. Phébus (Un certain), Patron des Ecrivains du tems. III. 5o. Phedre, Poëte Latin, Son Eloge; Trait de lui ridiculement enflé. IV. 228. Phenicie; Les Sciences y fleuriffoient du tems d'Homère. III. 509. Phérècide; En quel tems il vivoit. III. 250. Il êtoit inftruit des Sciences des Phéniciens. III. 25 1. Philippe, Roi de Macédoine; Mot remarquable de lui. I. 363. Philippe Augufte, Roi de France; Par qui tiré de danger à la Bataille de Bouvines. I. 88. Philippe V. Roi d'Espagne ; Fait chercher les Satires de Despréaux dans Madrid. V. 63. Philippe, Duc d'Orléans, Frère de Louis XIV. Remporte la Vic- Philofophe; Sa fupériorité fur le Poëte. IV. 79. Philofophie; Son analogie avec la Poësie. IV.73. Phifique Si elle forme le Langage de la Poefie. III. 51x. Les trai tés de Phifique. IV. 301. Remarques fur cet endroit du Texte de Longin. IV. 529. Phocion; Une de fes Paroles. III. 447. Phrafes, Embaraffées de vaines imaginations gâtent le Difcours. Piété; Servant de voile au Libertinage. I. 199. Selon quels Princi- IV. 398. Il est souvent obscur. III. 321. 325 - 6. En quel tems ✯ Pinffon, Avocat; Homme de mérite. III. 345. Pififtrate, Raffemble les Ouvrages d'Homère. III. 232, 235 -7. Pithagore, En quel tems il vivoit. III. 323. Défiguré dans Clélie. Pithon (Pierre), Célèbre Savant. V. 79. Pitié; L'une des Paffions Tragiques. II. 67. Corneille n'a pas tou- Plaideurs, caractérisés. I. 283. Par qui confumés en frais. Í. Plaifanterie Combien elle avoit d'attraits pour Defpréaux. t. 11. Règles, dont elle ne doit point s'écarter. II, 139. Plai fanteries peu refpectueufes pour le Roi, à l'occafion de la IV. Plaifirs; Sages quand aimés. 1. 322. Solides, achetés à peu * Plapiffon, Modèle du Mifanthrope de Molière. 1. 361. Platon; Par qui méprifé. I.. 129. Critiqué par Zoile, Hippoda mus, Démétrius, Denis d'Halicarnaffe, &c. III. 265-6. Le nom mer, c'eft le louer. III. 314. Sa réponse aux Habitans de Ci- rene. III. 327. Caractère de fon Stile. IV. 121. 302. Longin & Le Febvre lui reprochent des. Expreffions froides & puériles. IV. 236-7. Autre Expreffion critiquée par Longin; Si c'est avec raifon. IV. 378. Trait Sublime de lui. IV. 374. Sa Defcription dis Corps Humain; Jugement fur ce Morceau. IV. 388-92. Re- marques fur la Traduction de cet endroit de Longin. IV. 556. Pourquoi Cécilius le mettoit au dessus de Lifias. IV. 393. Re- marques fur cet endroit du Texte. IV. 393. 557. Longin le met au-deffous de Lifas. IV. 466. Ce qu'il penfoit de Diogène le Cinique; Il a fait des Vers amoureux. V. 32. Plante. Jugemens fur ce Poëte. 11. 325. V. 35-6. Son Amphis 359. 362. Pline: L'Ancien, S'eft trompé plus d'une fois. III. 256. Ce qu'il cro ere comparé aux nôtres. III. 379. Où il dit que l'on recueilloit l'Ambre. V. 188. Le Jeune; Son Efprit, fupérieur à celui de Voiture, qui le critiquoit fans raison. III. 161. La meilleure chofe qu'il ait dite. III. 198. Pluie; Ses inconvéniens à Paris. I. ioi. Plume du Chapeau de Louis XIV. comparée à un Aftre. ÌI. 317. Plumier (Charles), Minime, Difciple du P. Maignan. III. 139% Pluriels, pour les Singuliers & réciproquement, Figure de Rhétorique. IV. 240. Les Pluriels plus emphatiques que les Singuliers Exemples. IV. 361-3. Réduits en Singuliers. IV. 364. Correcà tion du Texte de Longin en cet endroit. IV. 544. Plutarque, Une de fes Maximes adoptée par Defpréaux. I. 363-43 Corneille lui doit les plus beaux de les traits. III. 371. Pourquoi Longin n'eft pas à blâmer de ne l'avoir pas critiqué; & s'il devoit l'être. IV. 224. 234. En quoi il faut l'imiter. V. 33. Poème; Toutes les parties en doivent être liées. II. 31. Effet d'un mauvais Poème. 1. 143. Epique, Décrit par Defpréaux & La Frefnaie-Vauquelin. II. 93. - 4. Excellent, eft le Chef-d'œuvre de l'Art. 11. 120. Si la Fable, la Fiction & le Merveil leux y font effentiel. II. 94. 101. III. 11. Choix du Héros. I. 107. du Sujet. I, 108. S'il eft néceffaire que Action en foit heureufe & lonable; Le Sujet doit être peu chargé d'Incidens, & dégagé des petits détails. II. 109. Durée de fon Action. II. 71. Admet des Figures fans nombre. 11. 115. Tout y doit tendre à l'Evènement. II. 119. Il doit joindre par-tout l'Agréable à l'Utile. II. 154. Son début doit être fimple; Auteurs qui ont péché contre cette Règle. II, 110. 111. III. 224. Ce qu'Horace & La Frefnaie-Vauquelin en difent. II. 111. Virgile a obfervé cette règle. II. 112. Diftin&tion né ceffaire entre le Poëme Epique & le Poëme Héroïque. II, 122. Poëmes Epiques François, peu eftimés. I. 375. III. 371. Si l'on peut faire des Poëmes Epiques en Profe. II. 121. Si nos Romans méritent ce nom. III. 284. Pourquoi la IV. Epître tient beaucoup du Poeme Epique. I. 317. Poëme Didactique. Ses Règles. II. 120. Pocfie. Sa Définition. II. 315. Son Hiftoire. II. 159. Ses Effets, II. 442. Elle eft un mêtier peu propre à s'enrichir. I. 330. Sa Difficulté. I. 420-1. Accufée d'être un Amusement frivole; & juftifiée. 1. 424. Pourquoi elle doit plaire à l'oreille. 1. 441. En quoi elle confifte proprement. III. 185. 305. Quel eft fon Langage ordinaire. III. 507. Caractère de la Poëfe Epique ou Héroïque. III. so8. Ne peut pas prendre certaines Libertes. V. 157. Première chofe néceffaire pour réuffir en Pocfie. V. 154. Son Privilége à l'égard des Figures. V. 194 Et des Etres inanimés. V. 155. En quoi elle eft admirable. V. 38. Délicateflè exceffive,& peu raifonnable de la Poëfie Françoifss Tome V V. 47. 52. Hiftoire de fa Naiffance. II. 21. Poëte; Néceffité de l'être pour juftifier certaines hardieffes de la Poësie. 1. 7. Ne doit point écrire contre la Raifon & la Sageffe. I, 137. A quoi l'on reconnoît qu'on l'eft. I. 140. En quoi il met l'Honneur. I. 216. Peinture d'un Poëte qui compofe. I. 418. Il doit orner les chofes les plus fèches. I. 420-1. Si le Génie fuffit feul pour l'être. II. 9. Il doit se fixer au Genre pour lequel il est né. II. 11. Prendre garde, en évitant un défaut, de tomber dans un autre. II. 14. S'afsujètir aux règles de fa Langue. II. 28. Ne pas fe piquer de faire beaucoup de Vers en peu de tems. II. 28 -9. Polir & repolir fans ceffe. II. 29. 30. Ne pas fe croire Poëte, pour quelques petits effais. II. 64. Etre honnête Homme & fociable. II. 158. Par quelle voie il parvient à fe faire goûter. II. 153. Il fe peint toujours dans fes Ouvrages. II. 155.157. Dans qui cette qualité eft méprifable. V. 132. Les Poëtes ne doivent pas être pris à la Lettre, & foutiennent les contraires. I. 208. Ils font efclaves des Lecteurs, & obligés d'aller toujours en augmentant. I. 342. Ils ne connoiffent point de Héros audeffus de ceux à qui ils adreffent leurs Vers. I. 391. Pourquoi ils peuvent fe permettre des Paradoxes. V. 167. A quelles conditions ils peuvent donner carrière à leur Imagi nation. III. 86. Grands, s'efforcent d'adoucir les Tranfpofitions trop dures. 1. 385. Ne doivent point ignorer les Sciences & les Arts. I. 438. A quoi les plus Grands des Nôtres font redevables de la beauté de leurs Ouvrages. III. 371. Mauvais; Nation farouche & ne pardonnant pas; A quoi condamnés autrefois à Lion. I. 12. Comment traités dans la Chambre du Sublime. IV. 135. Médiocres; incapables du Poëme Epique. II. 120. Se donnent l'encens, qu'on leur refufe. II. 123. Ńe méritent pas d'être lus. II. 145. Chretiens; S'ils doivent faire des ers Galans. V. 172. Liriques; Leur devoir. III. 491. Liriques Anciens: Allégorie à leur fujet. V. 197-9. Inférieurs tous à Quinault. V. 195. Caractère des Odes Grecques, imité par Horace. V. 217.Tragiques; doivent être en garde contre l'Enflure. III. 491. Tragiques Grecs, y êtoient fujets, de l'aveu de Longin. IV. 135-7. Satiriques; D'où ils tirent la matière de leurs Ecrits. I. 7. 8. Pourquoi redoutés. I. 8. 149. 157. Comment ils peuvent nommer, fans offenfer la Religion. I. 13. Les Anciens ne fe contraignoient point à cet égard. I. 20. Inconvéniens de leur mêtier. I. 107-8. 144. 146. Ils fe croient en droit de règler le Parnasse. I. 147. Ne font à l'égard des mauvais Ecrivains, que ce que font les Lecteurs. 1. 150-1. Leur rendent fervice. I. 153.& à la Raifon. I. 159.Ils font nés pour être mécontens. I. 273. Poids de leurs Eloges. 1. 279. Deffein, qu'on doit fuppofer, qu'ils fe propofeat. I. 436. Se croient tout permis. III. 28. Qualité, qui leur eft néceffaire. V. 96. Les François inférieurs aux Latins. II, 376. Défaut effentiel de la plupart des Poètes François. III. 185-6. Aucun plus figuré ni plus hardi pour l'Expreffion,que Defpréaux. V. 205. Poëtique (La); Ariftote en a donné les vraies Règles. IV. 74. Dejpréaux en avoit fait fa principale étude, & fe flatoit d'en avoir écrit avec fuccès. V. 7. Origine de la Langue Poetique. III. 509. Pointes; Aimées de Voiture. I. 241. D'où elles nous font venues ; Leur progrès; Peuvent paffer dans l'Epigramme. II. so - 2. Leur Goût eft un mauvais Goût. III. 501. Autrefois à la Mode; Où réléguées. V. 209. Auffi méprifables que faciles à trouver. V. 210, Pourquoi il ne faut pas toujours témoigner tout le mépris que l'on en fait V. 212, Poiffon, Comédien célèbre, haï de M. Colbert. II. 139. Politeffe; S'apprend des Femmes, I. 450. Politien (Ange); Pourquoi il ne lifoit pas l'Ecriture Sainte. III. 397. Polycrate, Orateur Grec; Son Caractère, III. 265-6. Il fait une accufation contre Socrate; Zoïle êtoit fon Difciple. III. 269. Polyptotes, Figure de Rhétorique. IV. 318-9. Pompée (La mort de); Jugement fur cette Tragédie. V. 88-9. Pomponne) Simon-Arnauld, Marquis de); Son Eloge; Son fuffrage à fouhaiter. I. 367. Despréaux, lui lit fon Art Poëtique: V. 183. Pontifes; Par qui armés contre JESUS-CHRIST. I. 247. Pontchartrain (Le Chancelier de), Visitoit Defpréaux dans fa retraite. I. 414. Plaifanterie de ce Magiftrat"; Honneur que Louis XV. lui fait; Son Eloge V. 110-1. Ponteuil, Comédien célèbre. V. 86. Porcelaine; D'où elle fe tire. I. 222. Porphyre; Philofophe Platonicien; Eloge qu'il fait de Longit IV. 7. Portraits en Versen Profe; Quand à la mode. I. 382. Portugais ; Aiment les Pointes & les Faux-Brillans. III, 169. Poftérité; En quel cas fon eftime eft inutile. I. 14f. Penfées fur fa croïance. I. 279. 336-7. Doit décider du mérite des Auteurs. III. 197. 302. Mais non feule, V. 202-3. Despréaux n'a rien à craindre à fon Tribunal. III. 197. Il faut l'envisager comme Juge des Ouvrages; que l'on fait. HII. 312. IV. 311. Poudre à Canon. Ses effets décrits. 1. 315-6. Si Defpréaux les décrits le premier. V. 53 −7. |