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Evandre fert mal-à- propos de modèle au Théramène de Racine. III. 496. V. 513-5.

Evangile, de quel genre eft ce Mot. I. 222, Ce que l'Evangile ordonne aux Chretiens. 1. 222. Prêché par-tout. I. 248. Où, & quand paroît vaincu par le Menfonge. I. 429.

Euchariftie; Foi & Subftance de ce Mistère. III. 134-5.

Eve Crue fincère par Adam. 1,291. Comment fut reçue d'Adam. I. 452.

Evènement; Tout doit y mener dans le Poëme Epique. II. 119. Evêques; De France, députent à Rome pour la défense de la Doctrine de S. Auguftin. 1. 174. De Cour; inutilité de leur

prêcher la réfidence. I. 273.

Eunapius: Eloges hiperboliques qu'il fait de Longin. IV. 7. Eupolis, Poëte Comique Grec. IV. 331. Trait de ce Poëte imité & rendu Sublime par Démosthène. IV. 332.

Evrard; Qui caché fous ce nom dans le Lutrin; Son Difcours. II. 242. Obligé de quitter la Table. II. 255. Comment il fe vange de Boirude. II. 256.

Euripide; Propre à exprimer l'Amour & la Fureur. IV. 315. Remarq. fur la Traduction de cet endroit de Longin. IV. 529. N'êtoit pas né pour le Grand. IV. 316. 422. Belle Image de lui, imitée par Ovide. IV. 317. Il imite fouvent Efchile dans fes défauts. IV. 320. Remarq. fur cet endroit du Texte de Longin. IV. 531. Cité pour exemple du Sublime de la Compofition. IV. 423-4. Jugement qu'en portent Quintilien & Denis d'Halicarnaffe. II. 77. Critiqué par Perrault; vangé par Racine. III. 223. Ce que Racine lui a emprunté pour sa Phédre. I. 349. Il a formé Racine. III. 372..

Europe, Par qui remplie de Maffacres & d'Horreur. I. 25 1.—Entière, trop foible contre Louis XIV. feul. III. 69. D'où le Luxe lui eft venu. III. 356.

Eufebe; Ouvrage contre les Stoïciens, qu'il attribue à Longin. IV.

4.

Eufthate; Dans quel fens il entend un Terme d'Homère. III. 251. Une de fes Remarques fuivie mal-à- propos par Defpréaux ; Eft le feul bon Commentateur d'Homère. III. 254. Adopte une Interprétation de Didyme. III. 255. Ce qu'il dit des Comparaifons d'Homère. III. 289. Ce qu'il dit fur Vliffe, comparé à un Homme impatient de fe raffafier d'un Ventre de Truie. III. 301.

Exagération de l'Image, fupplée à l'abfence de la chose décrite.
III. 491.

Excellence des Ouvrages d'Efprit; En quoi confifte. II. 295.
Excufe (L'), rarement foufferte en Poëfie. III. 490.

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Exorde; Quel il doit être. III. 225 6. Si un Poëme Epique peut s'en paffer. III. 226.

Expreffion; Proprement dite, C'eft en elle que le Sublime confifte. iv. 82-4. Elle diffère de l'Elocution, & n'eft autre chofe que le Tour de la Penfée. II. 82. Ce qu'elle eft à la Penfee. IV. 82-3. Prife dans le fens ordinaire; Sa jufteffe préférable à l'exactitude fcrupuleufe du Vers; A qui l'on doit cette règle de goût. 1. 82. Tourmens qu'elle caufe aux Poëtes. I. 421. S'il y a un Sublime d'Expreffion. III. 480. Convenable au sujet ; eft une fource du Sublime. IV. 104. 247. Elle fait néceffairement partie de la Penfée. IV. 106. Dépend de l'Art autant que de la Nature. IV. 109. Nouvelle; Quand & à quelle condition elle peut être hafardée. V. 206. Louche; Ce qui la rend telle. 11. 28. Expreffions confacrées, ne peuvent jamais être alté rées. I. 205. V. 306. 314.

Expérience: Autrefois fans crédit dans les Ecoles. III. 146-7. Extraits; Prefque point, qui faffent fufhfamment connoître les Ouvrages. III, 212.

F.

ABLE; Elle eft l'âme de la Poësie Epique. II. 47. Le Vrai

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bles Paiennes doivent trouver place dans un Sujet Chretien. II. 104.473. 475. III. 511.

Fabri (Le Père); Editeur de Richelet. V. 65.

Fabri (Honoré), Jéfuite; Son Eloge. III. 137.

Fabri; Qui caché fous ce nom dans le Lutrin. II. 263. Lance un Infortiat à Boisrude & à Brontin. II. 265.

Fabricius; Grandeur d'âme de ce Romain. IV. 242.

Faculté de bien parler, nécessaire pour arriver au Sublime. IV. 246.

Fadaife difficile; excufable à quelque égard. V. 210.
Fade (Le), inféparable du Faux. I. 388.

Faerne (Gabriel), Auteur de Fables en Vers Latins. III. 193.
Fagon Gui Crefcent), Premier Médecin du Roi. I. 192. Son
Eloge; Comment il êtoit vêtu en êté. V. 46.

Faim, quand inconnue aux Animaux. I. 292. V. 472.

Fainéant (Roi), méprifable. I. 273.

Fainéantife, ruine des Sciences. IV. 443.

Famille; La Dévotion permet tout, pour l'avancer. I. 229.

Famine de 1661. I. 275.

Fanatique, tranquille dans le Péché. I. 430.

Faquin; Son alliance recherchée par le Noble. I. 94. vil contrefait le Vertueux. I. 214. V. 434.

le plus

Farces, le jouoient en plein air. II. 139. Quel effet elles duifent fur les Spectateurs. V. 66. 7.

pro

Fard; Quand inventé, I. 390. Son ufage. I, 179. Devient géné

ral. I. 390. S'il eft reproché mal-à propos aux Devotes. I 437.
V, 419-30.

Faret (Nicolas), Ami de Saint-Amant ; Son Eloge. II. 12.
Fat; Effets de fa Compagnie. I. 73. Doit mourir dans son obf-
curité. I. 146. Obligation qu'il a à la Satire. I. 154. Il donne
quelquefois un bon avis. II. 149.

Fatigue; Compagne du Repos. I. 421. Quelle est la plus rude.

I. 422.

Fatras; Sorte d'ancienne Poësie. II. 458.

Faulaires, quand parurent dans le Monde. I. 443. Emploi fingu-
lier de ce mot, critiqué. I. 445.

Fauffeté des Fictions; à quoi tend. I. 384.

Fautes. L'Amour propre en rend la connoiffance pénible. I. 481-2.
des Auteurs du premier ordre doivent être relevées. I. 222.
dans un Ouvrage, font ce qui frappe le plus. IV. 396.
Se peuvent excufer dans le Sublime. IV. 409. Sont rares chés
les Grands Maîtres de l'Antiquité. IV. 410. & n'ont pas nui
chés eux au Sublime. IV. 411.

Faux (Le); Ne peut plaire qu'un tems I. lxiij. III. 16. Com-
ment eft pris pour le Vrai. I. 245. Allégorie fur fon origine.
I. 389-91. V. 484-5.

Faux-Brave; En quoi il met l'Honneur. I. 215.

Faux-Brillans; Comment introduits dans nôtre Poëfie. II. 13.
Peuvent faire valoir un Ouvrage. III. 302-3. Y font quelque-
fois bien placés. V. 210.

Faux-Caton; fon Portrait. I. 235.

Faux Délicat, rend criminelles des chofes innocentes. I. 464.
Faux-Honneur; Fable allégorique à fon fujet. I. 223. V. 432-3. Son
Portrait. I. 224. Son éclat ; Sa fuite. I. 225. Maux qu'il produit.
I. 225-7. Infpire peut-être ceux qui le cenfurent, 1. 227.
Faux-Nobles. I. 197 -8.

Faux-Zèle; fes excès. I. 251. Détefté par l'Eglife. I. 252.
Feinte nuifible. I. 290.

Femmes; Leurs Careffes à leurs Maris, suspectes. I. 168.

Ele-

vées dans la Piété ; Quel danger elles courent, en entrant dans
le Monde. I. 175-6. Vont plus loin que le Roman. I. 178. Com-
ment le Mariage change les Femmes. I. 189. Leurs rufes pour
arriver à leurs fins. I. 191. Elles font un fujet inépuisable de
Satire. I. 205. Méprifent l'Honneur. I. 206. Sont Maîtresses à
Paris; Avantages que la Coûtume leut y donne. I. 209 - 10.
Il eft plus avantageux d'écrire contre que pour elles. I. *
Elles ont êté injuftement maltraitées par les Poëtes Satiriques. I.
* 434. Pourquoi il faut avoir une Femme. I, 4+6. Quelle
doit être l'union des Femmes & des Maris. I. 445. Elles font
faites pour plaire; Quels Hommes en jugent mal. I. 448. Cel-
les qui font méprifables, ne deshonorent point les autres,

433-4.

597 1. 449. Obligation, que l'on a aux Femmes. I. 450. Quelle eft la caufe de leurs dérèglemens. I. 451-2. Ce qu'elles font fouffrir à leurs Maris en plaidant en féparation.I.209-10. Femmes mariées, ne font point le fujet ordinaire des Plaifanteries de nos Comédies. III. 92. Comment les petites Femmes paroiffent grandes. 1. 390. Femmes Athées. 1. 206. V. 230.1. Différens Caractères des Femmes. I. 168-70. 178-9. 188. 198. 204. 206-8.441. 450. Femmes, mauvaises Mères. 1. 207. Plus favantes en Chicane que Rollet. I. 211. de Qualité; Ce qui leur déplaita dans l'Apologie des Femmes; Le travail leur convient comme aux autres. I. 446 7. Les Femmes, pourquoi irritées contre Defpréaux. V. 109. Femmes de bien, fages, fidèles. 1. 170. 436-7. 449-50. 452-3. Difcernement des Femmes en fait d'Eloquence & de Poefie. II. 313. Belles Femmes appellées le mal des ieux par Hérodote. IV. 287. Examen de la Critique, que Longin fait de ce trait. IV. 483.

Femmes Savantes de Molière. Quelles Dames en font les Originaux; Defpréaux y corrige deux Vers. V. 23 - 4. V. 143-4 Particularité au fujet de cette Pièce, I. 143 4. 171.

Fenelon (François de Salignac de La Mothe), Archevêque de Cambrai. Ce qu'il penfoit du Récit de Théramène. III. 495. Feftin de Pierre. Hiftoire de cette Comédie. I. 63 - 4.

Feu; fon domicile. III. 148. Inconvéniens du Feu à Paris. I.

103.

Feuillet (Nicolas ), Prédicateur outré; Son Eloge. I. 157.
Févret (Charles), célèbre Jurifconfulte V. 256 -7.

Fiction; Enrichiffement néceflaire à la Poëfie Epique. II. 94. S'il eft néceffaire de la puifer dans le Siftême Païen. II. 97. Si elle peut trouver place dans des Sujets connus récens. II. 99. 101.Si dans les Sujets Chretiens. II. 102 - 3. 106.313.473. III. 512. Quel eft le but de la Fiction. I. 384.

Fierté de cœur ; A qui elle convient. V. 111.
Fiefque (Jean-Louis, Comte de ). I. 351.

Fieubet, Premier Président de Toulouse. III. 140.
Fièvre, fa Peinture. I. 290. 384.

Figures dans le Difcours; Comment elles font une des Sources du Sublime. IV. 104. 247. 327. 338. 447.494. III. 480. Elles font de deux fortes. IV. 247. Les Figures & le Sublime fe foutiennent mutuellement. IV. 336. Les Figures feules indifpofent l'Auditeur. IV. 337. Remarques fur la Traduction de cet endroit de Longin. IV. 337.436. Par quel moïen on voile les Figures. IV. 338. Remarques fur cet endroit du Texte de Longin. IV. 537. Exemple de cette précaution de l'Orateur. IV. 339. Effet du concours des Figures. IV. 346-7. A quoi elles fervent dans le Difcours. IV. 378-9. Quand elles font blâmables. V. 155. Hardies; Ne doivent être emploïées que

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dans la Paffion. I. 417. Remarques fur cet endroit de la Tra-
duction de Longin. IV. 574. Règle à ce fujet. III. 490. Elles
foat communes dans le Langage des Orientaux. III. 29 1. Quand
& comment elles perdent le nom de Figures. III. 406. Elles
font inutiles à la Religion. III. 476-7. Ne font qu'un Nom
honorable donné par les Grammairiens aux Fautes des An.
ciens. III. 329. Elles font plus familières à la Poëfie qu'à la
Profe. V. 155. Combien elles doivent être multipliées & diver-
fifiées dans un Poëme Epique. II. 115.

Figures fortes, familières à Defpréaux, non rares dans Horace,
fréquentes dans Juvénal. V. 206-7.

Financiers; Leurs Sentimens. I. 129. 328. Ce qui les engraisse.
I. 328.

Flandres, conquife en partie. I. 311.

Flaterie, commune parmi les Hommes. I. 320. Depuis quand. I.

-

Fleuves; Pourquoi les Grecs leur offroient leur poil. III. 327.
•Anciens; Quel Article on doit mettre à leurs Noms. II.
114. de flames. IV. 409. Remarques sur la Traduction de
cet endroit de Longin. IV. 567.

Florider, Comédien célèbre, I. 70. Anecdote à fon fajet. V. 84.

Flot, qui recule épouvanté; Ce qu'il en faut penfer, III, 491.
507. V. 511-20.

Flute, de quelle manière les Anciens en jouoient, V, 466.

Foi; Source de l'Amour de Dieu. I. 430. Sans lui, n'est rien. I.

Fontange; Ce que c'eft & fon origine. I. 189.

Fontenelle (M. de), Ami de Bafnage de Beauval. III. 345. Loué
par Le Clerc. III, 467. Ecrit pour la défense de Thomas Corneille,
& revendique l'Opéra de Bellerophon. V.6.120-8.

Force, fauffe Vertu fans la Juftice. I. 218. Moïen d'en donner

au Difcours. IV. 312. Remarques fur cet endroit de la Traduc-

tion de Longin. IV. 528. Les Auteurs doivent confulter leurs for

ces. I. 4.

-

Formes Matérielles. III. 124. Subftantielles. III, 136-8.
Fortune; Son Caprice. I. 31. En guerre avec l'Honneur. I. 36.
Arrigante, pourquoi affecte la Pompe. I. 390.

Fouquet (Nicolas), Surintendant des Finances. I. 130.

Fourbe (La) gouverne les Hommes. I. 214. Par qui convertie

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