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Elégie; Caractère de ce Poëme. II. 40-3. Ce qu'en dit la Frefnaie-Vauquelin. II. 40. Quel en doit être le Stile; Despréaux expliqué à ce fujet. II. 41. Eft ennemie de l'Enflure. II. 42. L'Antiquité en fournit de beaux Modèles. II. 43. Elégies du lems cenfurées. I. 18. Quels en font les défauts effentiels. III. 378. Les Elégies de la Comteffe de La Sufe,de Voiture,de Sarrafin louées; Celles de Madame de Villedieu leur font fupérieures.

III. 377.

Elévation d'Efprit. Voïés, Audace dans les Penfées.

Elévation d'esprit naturelle, Image de la Grandeur de l'Ame. IV. 253. Remarques fur cet endroit de la Traduction de Longin. IV. 495-6. Si elle differe de la Grandeur d'Ame. IV. 253.

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Elien ; ce qu'il dit des Ouvrages d'Homère. III. 230. Mal entendu par Perrault. III. 234-6. Ce qu'il dit de Zoile mal traduit par Defpréaux. III. 269. Promefle d'une nouvelle Traduction de

cet Auteur. III. 270.

Elocution; Combien elle a de parties. VI. 26. Le Sublime de l'Elocution. III. 420.

Eloge; Groffier, par qui avalé fans dégoût. I, 189.- -Impofteur, qui il bleffe. I. 383.- Ennuïeux; Son Privilége. I. 107.-Flateur, à craindre. II. 148, Eloges donnés aux Ecrivains vi vans ne prouvent pas l'excellence de leurs Ouvrages. III. 302. Elomire Hipocondre; De qui & contre qui eft cette Comédie.

1. 134.

Eloquence; Son but. V. 77. Si elle peut fe paffer de l'Art. IV. 36. Si Longin l'a confondue avec le Sublime. IV. 57 -8.

Grande ou Sublime; Sa Perfection, Objet du Traité de Longin. IV. 101-32. 221.285. 288. 293. 324. 327. 337. En quoi elle confifte, IV. 108. Dépeinte par Quintilien. IV. 102. 217-8. Genre Sublime d'Eloquence, différent du Sublime. IV. 101. 108. Avec des défauts, préférable au Médiocre parfait. IV. 126. Eft imparfaitement dépeint par Rolli. IV. 127. Son caractère chés Démosthène, Pindare, Sophocle, Corneille & Boffuet. IV. 130-1. Vébèmente, la plus parfaite de toutes;

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Son Caractère. IV. 123-4.
Fleurie; Son Caractère. IV.
127-30. Hiperide, Yon, Bachilide, Racine & Fléchier y ex-
cellent. IV. 130. Eloquence caractérisée en mal. I. 390. Prête
fon fecours à l'Equivoque. I. 245. Attaquée par Goisbant Du
Bois & le P. Lamy. III. 187-8. Par Fourchot. IV. 95. Dé-
fendue par M. de Silleri Evêque de Soiffons, le Docteur Ar-
nauld, & le P. Bouhours. III. 188. Et par Gibert. III. 188. IV.
95. Eloquence des Harangueurs du tems. I. 127. Ce que l'Elo-
quence a de plus difficile. V. 399.

Emilie, dans Cinna; Ce qui la fait applaudir. III. 530.
Empedocle, Poëte & Philofophe Grec; Avoit mis la Phifique en
Vers; De qui Difciple & Contemporain. IV. 324.

Emulation forme les Génies Sublimes. III. 171.

Enée, immortalisé par la Poëfie. I. 278. dans la Caverne
avec Didon. III. 284. Son Bouclier cenfuré, & mal justifié,
IV 165-72. V. 195.

Encide de Virgile; Ce qu'en penfoit Stace. III. 381. A quelles
conditions permis à Ch. Perrault de la critiquer. III. 381.
Défaut de fès fecond & troisième Livres. III. 503. Virgile feul
en êtoit mécontent. III. 536. Traduite en Vers par Perrin. I. 365.
Par Segrais; Jugement fur cette Traduction. II. 165. Le feptiè
me Livre, en Vers burlesques par Brébanf. I. 375.

Enfer, par qui traité d'épouvantail des Femmes & des Enfans.

I. 76.

Enflure; fi pardonnable aux Poëtes Tragiques. I V. 135. Repro-
chée à Virgile. IV. 137. 165 -72. Difficile à éviter. IV. 139.
142. 160. 237. Si elle vient de la force ou de la foibleffe de
P'Elprit. IV. 145-1. Elle eft de deux fortes; En quoi cha-
cune confifte. IV. 142. Exemples d'Enflure. IV. 144 - 72. Au-
tres cités par Longin. IV. 244-6. Elle eft froide. IV. 177-8.
Auffi vicieuse dans le Difcours que dans le Corps. IV. 228. N'a
qu'un faux dehors. IV. 229. Remarques fur cet endroit de la
Traduction de Longin. IV. 474. Elle eft le défaut ordinaire des
Poëtes Tragiques. III. 491. On la reproche justement à Bal-
zac. III. 312. Injustement à l'Ode fur Namur. V. 205.
Enguien (Le Comte d'); Vainqueur à Cérifolles. I. 197.
Enjambemens, reprochés aux Vers de la X. Satire. 1. * 435.
Ennemis; On s'en fait de ceux même qu'on divertit par la Satire
I, 108. de Defpréaux, tournés en ridicule. I. 281-2.
Utilité de leur jaloufie. I. 356-64. Leur triomphe ne doit
pas empêcher qu'on ne corrige ce qu'ils reprennent. V. 160-1.
La Vertu louable, même en eux. V. 133.

Ennius; Caufe de la chute de fes Ouvrages, III, 303-4. Justifié
contre le reproche d'Enflure. IV. 227.

Ennui (Peinture de l' ), d'un Homme, qu'il endort. I. 423.
Enthousiasme naturel; L'Ode n'en eft que la Peinture. II. 188-9.

Ce qu'il eft, felon les Idées ordinaires; Il en eft de bien des
fortes. II. 189. 192. Quelle espèce d'Ordre le produit ; Ce que
c'eft que l'Enthousiasme des Poëtes; & comment il eft pro-
duit. II. 192 - 3.

Envie remplit les Hommes. I. 320. Par qui justifiée. 1. 255. S'op-
pofe en vain au bonheur de nôtre Poëte. I. 330. S'attache aux
Vrais Génies; & pourquoi le Ciel le permet. I. 361.
Epanophore, Figure de Rhétorique. IV. 347.
Epictete; Sa Conftance Sublime. IV. 254.

Epigramme. Caractère de ce petit Poëme; Nous le bornons trop;
Défauts des Epigrammes Modernes. II. 49-50. Son vrai tour
trouvé avant Ronfard. III. 307. La meilleure des Epigrammes

Françoifes felon Defpréaux. V. 114. Epigrammes ; 150. fur un même fujet par Brébeuf. I. 375.-. Rapportées du Chevalier de Cailli. I. 51. Sur la Champmeflé. V. 68. de l'Abbé de Chaulicu. V. 60. de Lainez. V. 131. de La Monnoie. V. 1512. de Linière. 1. 35. 156. 270. V. 64. de Martial, & ce qu'elle a fait faire à Defpréaux. I. 299. de l'Abbé de Mancroix. III. 192. Sur Perrault & Defpréaux. V. 141. de Racine. I. 361. V. 81. de Mellin de Saint-Gelais. III. 308. Du P. Vavasseur. V. 163 -4. Epigrammes du Duc de Montaufier, louées par Ménage. I. 149. de Peyrarède eftimées. III. 375. Epigramme X. de Defpréaux juftement cenfurée & parodiée contre lui. V. 201-2. 203-4. Hiftoire des Epigrammes XIV. XV. & XLVII. I. 152. 258. Où les Epigrammes prennent naiflance. V. 114-5. Epifode de la Nuit & de la Molesse dans le Lutrin; Son Eloge. II. 211. Sa Critique. II. 227.

Epitaphes rapportées; de Barbier de la Rivière Evêque de Langres. V. 138. de Ch. de Bourgueville. V. 174. de Joachim Du Bellay. III. 304. de l'Abbé Abeille. V. 59.

Epithètes; les mauvaises tournées en ridicule. III. 59. Epithètes d'Homère critiquées & juftifiées. I. 356-61. Eloge de celles d'Horace. V. 216. Epithètes compofées de deux mots; Invention de Du Bartas, contraire au Génie de nôtre Langue. III. 306, Epitre, forte de Poëfie. Ce qu'en dit La Frefnaie-Vauquelin. II. 59. Naïve, connue avant Ronjard. III. 307. Epitres de Despréaux. Ie. lue au Roi, Ce qu'il s'en fait répèter. V. 157-8. Qui en a fait changer la fin. I. 261. Dans quelle intention compoféc. I. 262. Sa fin comparée à un morceau de la VIIIe. I. 376-9. Remarques & Jugement fur cette Epître. V. 453-4. 456-7. 459. 463. 468-9. IIe. Pourquoi compofée. I. 280. Remarq. & Jugem. V. 469-70. IIIe. Quand compofée. I. 286. Kenarq. & Jugem. V. 470-6. IVe. Pourquoi tient du Poëme Epique. I. 317. A quelle occafion compofée. I. 298. 370. Critiquée par Linière. I. 182. & par Buffi-Rabutin. I. 300-4.. On prétend fauffement, que l'Idée en eft prife de Martial. I. 299. Remarq. & Jugem. V. 476. 8. Ve. A quelle occafion compofée; L'Idée prife d'Horace. I. 332. Remarq. & lugem. V. 478-9. VIe. A quel âge compofée par l'Auteur. I. 342. Remarq. & Jugem. V. 479-81. VIIe. Ecrite avant la VIe. I. 337. A quelle occafion. I. 346. Reffemble en partie à une de La Frefnaie-Vauquelin. I. 411- 2. Remarq. & Jugem. V. 48: -2. VIIIe. Récitée au Roi ; Quand publiée; Toute de l'invention de l'Auteur. I. 370-1. Remarg. & Jugem. V. 482-3. IXe. Quel en eft le but, & quand compofée; Son mérite. I. 380. Ce que le Docteur Arnauld y blâuoit. V.29. Remarq. & Jugem. V. 483-5. Xe.XIe. & XIIe.

Pourquoi pouvoient n'être pas approuvées; Quand & comment données au Public. I. 395. Pourquoi l'Auteur ne vouloit point répondre aux Critiques que l'on en feroit. I. 396. Travaillées avec foin. I. 396-7. Xe. Pourquoi compofée; Où l'Idée en eft prife; Comment l'Auteur la nommoit. I. 402. Pourquoi il y fait fon Eloge. I. 395. Analife, qu'il en fait. III. 186. Remarq. & Jugem. V. 486-7. Xle. A quelle occafion compofée; Comment Broffette la caractérise. I. 416. Quel en elt le fujet. I. 421. L'Auteur aimoit mieux la brûler, que d'y changer un Vers. I. 422. Remarq. & Jugem. V. 487 - 8. XIle. Extrêmement travaillée. I. 397. L'Auteur auroit voulu l'avoir compofée pour toute Poëfie. I. 398. Son projet justifié. I. 398-401. La plus belle de toutes au jugement de Me. Antoine. I. 417. Quand & pourquoi compofée. I. 424. Remarq. & Jugem. V. 488-9. de La Frefnaie-Vauquelin z

Dans quel goût elles font. I. 106. Epopée. Voies, Poëme Epique.

Equité, Sœur du Véritable Honneur; Règne avec lui; Fuit aux deferts. I. 115. Se retire au Ciel avec fon Frère. I. 227. L'E. quité manque aux Hommes. I. 320. Quand à peine entrevue. I. 245. Equivoque de Langue, dans un Vers; Ce qu'elle occasionne à Defpréaux; Mot dont le Genre eft douteux. 1. 231. 239. Dans quel fens il eft pris dans la XII. Satire. I, 232-3. L'at taquer n'est pas attaquer les Jéfuites. I. 133. Maux que l'Equivoque produit. I. 239. 241-4. 247-8. 290. 252-5. 256. Ses Docteurs caractérisés. I. 255. Où renvoiée. I. 257. L'Equivoque ou Pointe Recherchée de voiture; Fait les delices des Ruelles; Où reléguée. I. 241. V. 209. A qui ne peut plaire. I. 237. A quoi elle fert à ceux qui l'emploient. V. 218. Pourquoi facile à trouver. V. 211. Eft indigne de la Comédie. II. 139.

;

Erafme; N'a pas parlé avantageufement de Cicéron. II, 308. S'il a dit autant de mal des Anciens que Ch. Perrault. III. 365. Eratosthène, comparé à Archiloque. IV. 397.

Ericeyra (le Comte d'), traduit en Vers Portugais l'Art Poëti

que; Pourquoi fa Traduction non imprimée. I. Iviij. III. 168. Erreur; Attraits & pouvoir que lui donne l'Hérésie. I. 249. Maintien les Dogmes de l'Equivoque. I. 255. Sous quels ha bits vient cenfurer les Pièces de Molière. I. 360. Faux rang, qu'elle donne aux Conquérans. I. 273. Erreur attribuée à la vérité fuprême. I. 247. fortement attaquée par Despréaux. I. 8c. Comment les Devots font remplis d'Erreurs ; Comment ils les croient légitimes. 1. 202 - 3. Les Hommes y font abandonnés par Dieu. 1. 291.

Efchile perfectionne la Tragédie. II. 76. Caractère de fon Stile. IV. 137.

IV. 137. Expreffion puérile de ce Poëte. IV. 240. Il à quelques Images nobles & héroïques, dont un Exemple; mais il a fouvent des Penfées rudes & groffières. IV. 3 19-20. Jugement qu'en porte Quintilien. II. 77.

Efcobar (François) Jéfuite; Fameux Cafuifle. II. 423. Espagnols battus à Seneff. 1. 292. Spectateurs tranquilles de la prife de Luxembourg. I. 70. Fanfarons, devenus humbles.

1. 159.

Efprit; En quoi il confifte. V. 21. Comparé à un Jardin. I. 418, Il en faut de plus d'une forte. 1. 180. Mis à la place du Sentiment & de la Raifon. III. 207. Quel eft celui qui plaît le plus. I. 389. Comment il laffe ailément. I. 389. Par qui mis au rang des Biens. I. 328. Ne garantit pas toujours du mauvais Goût regnant. V. 212. Né chagrin; par où plaît. 1. 388. Efprit médiocre plus utile quelquefois que le plus habile Homme. III. 218. Le plus droit; faux à quelque égard. I. 387. Sublime; Son malheur en écrivant. 1. 49. Humain; en quoi s'eft le plus groffièrement équivoqué. I 232 La vafte étendue de fes vues. IV. 407. Efprit foulé fous les piés ; Hiperbole vicicule. IV. 414. Remarq. fur cet endroit de la Trad. de Longin. IV. 414. 570. L'Esprit et le partage des Riches. I. 130. Tour d'Esprit à la mode, peut faire valoir un Ouvrage. III. 303. Traits d'Efprit déplacés; leur effet. IV. 211. Le Saint-Esprit, n'a point emploïé l'Art dans les Narrations de l'Ecriture; Comment il a voulu gagner les Hommes. III. 471. Efprit de Charité & de Paix, marque des vrais Chretiens. I. 481. Efprits frivoles ailément dupes des Flateurs. I. 382. Ce qu'ils doivent admirer. I. 369. Décadence des Efprits; ce qui la cause felon Longin. III. 358.

IV. 435.

Efting (Maifon d'); Quelles font fes Armes, & de qui elle les tient. I. 88. V. 186-7.

V. 190-1.

Eftienne (Henri I.), Célèbre Imprimeur,Père de Charles Eftienne. (Robert) Frère de Charles. V. 191.— -(Charles), Imprimeur & Médecin; Ce qu'il dit de la Mufcade; Son Eloge. V. 190-1. (Henri II.) Neveu de Charles. V. 190. Marie fa Fille à Cafaubon. V. 149. L'un des plus habiles Hommes pour le Grec. III. 330. Ne rend pas bien une Penfée de Pindare. III. 332. Sa Verfion du commencement de la I. Ode de Pindare; En a fait une Edition, avec les Fragmens des Liriques Grecs. III. 347. (Nicole) Fille de Charles; A qui

mariée. V. 191.

Etat de la Question; Soin que les Anciens Rhéteurs ont pris d'enfeigner à le fixer. III. 479.

Ethopée, Figure de Rhéthorique ; Ce que c'eft. IV. 347.

Etres inanimés; Privilége de la Poëfie à leur égard. V. 155-6.

Tome V

Pp

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