529 TABLE DES MATIERES. A. B BE', perfuadé de l'abus de la pluralité des Bénéfices, tant A qu'il n'en avoit point, & les accumulant enfuite. V. 192. Pourquoi un Abbe de grande piété lit la Clélie ; & le Juge- ment qu'il en porte. I. 469. Satire contre les Abbés attribuéc à Defpréaux. I. 339. Caractère de l'Abbé, qui parle dans les Parallèles de Perrault. III. 183. 284. Abeillard. De qui Difciple & de quelle Secte; condamné au Abéli. (Louis) Défenfeur de la fauffe Attrition; quelle forte I. 433. Abide. Folie fingulière d'un Homme de cette Ville. I. 83. 361. Comparé à Du Pelletier. I. 161. Défié de traduire un Abondance. Ce qu'elle apprit aux Hommes. I. 390. Les Anciens vivres. Où, quand & par qui fe trouve au milieu de la Famine. I. 2-4. dans le Difcours, Exceffive, appauvrit la Matiè re. II. 109. A quel genre d'Eloquence elle convient. IV. 301. Remarque à ce fujet fur le Texte de Longin. IV. 522. Abfolution du Prêtre quand elle ne juftifie pas. I. 427. 432. Inu- tile fans Amour de Dieu commencé. I. 435. Academia. Harangue d'Omer Talon en faveur de Ranus. III. 123. Académie de la Crufca. III. 57. Françoife, louée à divers égards. III. 65. 66. 71. Ce qui donna lieu à sa naillance. III. 194. Son établissement, honorable au Cardinal de Richelieu. III. 64. Louis XIV. s'en déclare Protecteur, & la place au Louvre. III. 64. Ufage fingulier de cette Compagnie. III. 63. Elle préfère La Fontaine à Defpréaux. III. 66. Ce qui en arrive. III. 64. Offre une place à Defpréaux. III. 63. & facrifie ses ref- fentimens aux intérêts de fon Protecteur. III. 66. Confultée Accens des Grecs & des Latins, plus marqués que les nôtres, con- tribuoient à l'Harmonie de leurs Langues. IV. 117. Accidens. Si Ariftote a cru qu'ils puffent exifter fans la Subftan- Acclamations des Auditeurs, preuve douteufe de l'excellence, ne Accords. De quelle conféquence ils font en Mufique. IV. 374. Acelli. Voiés, Cailli. Achaz, Roi de Juda. Ce que c'êtoit que fon Cadran. III. 251. 124. 125. Achille, Comment il doit être répréfenté. I. 364. Cenfure des in- jures qu'il dit à Agamemnon. V. 200.& du Cheval qui lui parle. V. 196. Son Apparition fur fon tombeau décrite par différens Poëtes. IV. 320. 311. Sa Mémoire confervée par la Poëfie, I. 278. Comparé à Louis XIV. II. 45. Actes de la Tragédie. S'il eft néceffaire ou raisonnable qu'il y en Acteur faifant des Signes de Croix fur le Théâtre. I. 190. Acteurs excellens échus à Racine. I. 358. On leur attribuoit le Action du Poëme Epique, fi elle doit être heureuse & louable. II. 531 108. de la Tragédie; fon unité & fa durée. II. 71. Où celle du. Lutrin commence. II. 197. y Actions conduifent à la poffeffion de Dieu.1.430.de Despréaux plus belles que fes Poëfies. V. 195. Adam I. 170. Pourquoi créé. I. 452. Dans quel cas fe fût ennuïć dans le Paradis Terreftre I. 173. Comment il reçut Eve. I.. 452. N'ofe la foupçonner d'imposture. I. 291. Ce qui le perdit. I. 291. Séduit par l'Equivoque, fe croit égal à Dieu. I. 241 2. Comment il vendit la Nature au Démon. I. 291. fon bonheur, avant fa chute. I. 292. Suites de fa chute. I. 242. 193. Addition aux Mémoires de l'Hiftoire de Louis XI. par Naude. III. 28. Admirateur. Titre redouté des Lecteurs. I. 261. fade; Trait qui le caractérise. I. 384. Chagrin qu'un Ecrivain a d'être seul fon Admirateur. I. 269. Admirateurs des Anciens. En quoi ils en font confifter l'excellence. V. 205. Admiration excitée par le Sublime de Corneille. III. 372. Les Hommes ne peuvent fouffrir qu'on leur en demande, quand ils en ont III.4. N'eft point recherchée par les Ecrivains fincères. III. 69. pour les Livres Sacrés ne s'étend pas toujours jufqu'au Stile. III. 477. Admiration. Paffion Tragique de l'invention de Corneille, éloge qu'en fait Saint-Evremond. III. 373. Adolefcence, fon goût & fes inclinations. II. 132. Adone (L') Poëme Epique du Cavalier Marin. II. 451. Adreffe (") n'entre point dans l'idée de l'Honneur. I. 215. merveilleuse de l'Equivoque. I. 252. des louanges. III. 162. pour faire lire Adrien Empereur, qualifié d'une manière extravagante. III. 377. V. 201-4. Adverbes bifarrement emploïés. III. 39. Adula, Adulle, Montagne où le Rhin prend fa fource. I. 308. Adultère. son ancienneté. I. 168 -9. 443. Affectation; du angage, à qui appartient. I. 258. Stile, Défaut de Balzac. III. 312. & de Voiture. III. 161. Affiches de Livres, abondantes à Paris. I. 17 250. dans le Affronts. Pourquoi il n'en eft point qu'on doive fouffrir. I. 342. Afrania, Plaideufe Romaine. I. 210 - 1. Afrique (Hiftoire d') traduite de l'Italien de Birago, par l'Abbé de Pure. I. 44. Agamemnon. HOMERE lui donne la tête & les ïeux de Jupiter. I. 309. La manière dont Achille le traite cenfuiée. V. 200. Age. Ses changemens changent les Mœurs & le Goût. I. 322. II. 131. doit être aflorti pour le Mariage. I. 45'2. lier d'an Chien de Louis XIV. III. 256. fingu Ages -d'or, décrit & loué. I. 223 -4. 292. 442. 293.443. Agefilas, Roi de Lacédémone. Maxime & Bon-Mot de ce Roi. I. 220. Tragicomédie de Corneille cenfurée par Defpréaux. I. 152. II. 381. juttifiée par le P. Tournemine. II. 384. Agnès (La Belle) Voïés, Sorel. Agnès de Sainte Thècle ( La Mere.) Voïés, Racine. Agnus Dei. Ce que l'Ariofte entend par là. III. 92. Agofta, prife par le Maréchal de Vivonne. III, 64. Agréable outré fait le Puéril & le Froid. IV. 191. Agrément, Le terme d'agrément mal emploïé par Defpréaux. III. 172. Pour qui les Agrémens font étrangers 1, 215. De quelle nature font les Agrêmens de l'Equivoque. I. 239. Ajax, avec quel avantage combat contre Hector. I. 317. Hector Aieules, l'incertitude de leur vertu diminue l'avantage de la Naiflance. I. 92. Cette Penfée expliquée, cenfurée, & justifiée autant qu'elle peut l'être. V. 322-3. Aieux. Comment les Nobles vendent leurs Aïeux. I. 94. de Aimon (Les Quatre Fils) Leur Cheval. Leur Roman. I. 89. 90. Ainai, Abbaïe à Lion; ce qu'elle êtoit autrefois. I. 21. Air, de l'Enfer, par qui trouvé groffier & provincial. III. 38. Alain. Qui ce nom défigne dans le Lutrin. II. 242. V. 141 - 2. Alamanni (Luigi) Poëte Epique Italien. I. 152. Alaric, Poëme Epique de George Scuderi, cenfuré. I. 48. II, 1 10. III. 224. Albert le Grand, Commentateur d'Aristote. III. 120. Albret (Henri d') Roi de Navarre, époufe Marguerite de Va. foutenue innocente par Platon, & par Dacier & fa Femme. I. 249. V. 162. Alcide. Voiés, Hercule. Alcidiane La Jeune) Roman de Gomberville. I. 469. Alcoran plein de Comparaisons femblables à celles d'Homère. III. 295. Quelle loüange on y donne ordinairement à Dieu. III. 409. Alove (Defcription d'une) II, 190. Aldroand. Ce qu'il dit de l'âge des Chiens. III. 256. Alençon (Charles Duc d') premier Mari de Marguerite de Va lois V. 211.. A-l'entour, Autour. Remarques fùr l'ufage de ces mots. I. 336. Alexandre le Grand. Sa délicatefle au fujet de fes Portraits. 1. 7. fe croïoit un Dieu. I. 124. Sa Réponse à Darius. III. 428. à Parménion. III. 486. IV. 256. Remarque fur cet endroit de la Traduction de Longin. IV. 497. Entreprise digne d'Alexandre. I. 272. Il fait faire fous fes ieux une Edition d'Homère, & la copie toute de fa main. III. 237-8. De quel poids eft fon témoignage en faveur de ce Poëte. III. 374. Réponse généreuse que lui fait un Pirate. I. 219. Sa mort. III. 237. Ce qu'il cherchoit & ce qu'il fuïoit dans le cours de fes Conquêtes. I. 325. Traité d'écervelé & de fougueux L'Angéli; pourquoi ? I. 123-4. Avec raifon. V. 321. 322. Pourquoi digne des Petites Maifons. I. 124. Comparé à Pirrhus. Î. 272. à Louis XIV. I, 266. II. 108. 419. à Cefar. II. 108.. Tragédie de Racine; Anecdote à ce fujet. I. 70. Jugement ridicule fur cette Pièce. I. 69. Alfana. Ce que fignifie ce Mot. I. 89. Alfane, Cheval de Gradaffe. Erreur de Defpréaux à ce sujet. I. 89. Alger forcée à demander la paix à Louis XIV. HI. 70. Alidor. A qui Defpréaux & Furetière en veulent fous ce nom. I 150-1. Alinde, Tragédie de La Menardière. II. 9. V. 154. Allégorie, fi l'on doit la bannir de la Poësie. II. 105 -6. Allemagne. Savans de ce Païs travaillant à prouver qu'il n'y a point eu d'Homère. III. 230. Allemand. Le François de Chapelain pris pour de l'Allemand. III. 46. Allemands batus à Turkein. I. 383. à Seneff. I. 392. Alliances de Defpréaux. I. 413. Alliés contre la France batus à Seneff, & forcés de lever les Siéges de Saint-Omer & d'Oudenarde. I 383. Allufions; fades,à quoi elles fervent à ceux qui les emploient. Ridicules de Marot à des Noms propres. V. V. 210. 211-2. Aloïde (Les) Qui ils êtoient, & ce qu'en difent Homère, Vir |