Mémoires de la Société des sciences morales, des lettres et des arts de Seine-et-Oise, Volumes 17-181893 - Seine-et-Oise (France) |
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Page viii
... devant cette imposante assemblée . Le choix d'un sujet me paraissait une grosse affaire , le sujet choisi , en mener à bien l'étude et le développe- ment une affaire plus délicate encore , et renfermer le tout dans les limites qu ...
... devant cette imposante assemblée . Le choix d'un sujet me paraissait une grosse affaire , le sujet choisi , en mener à bien l'étude et le développe- ment une affaire plus délicate encore , et renfermer le tout dans les limites qu ...
Page xvi
... devant un homme , se soumet- taient au délégué temporel de l'autorité divine . L'obéis- sance ainsi était digne et facile , l'affection et le dé- vouement étaient naturels . Le souverain n'était plus un maître , mais l'humble « ministre ...
... devant un homme , se soumet- taient au délégué temporel de l'autorité divine . L'obéis- sance ainsi était digne et facile , l'affection et le dé- vouement étaient naturels . Le souverain n'était plus un maître , mais l'humble « ministre ...
Page xxii
... devant tout ce monde qu'avait lieu la fameuse cérémonie de la chemise , céré- monie sur laquelle nous reviedrons tout à l'heure à pro- pos d'une anecdote qui , bien plus tard , arriva à Marie- Antoinette . Pour remplir la journée , les ...
... devant tout ce monde qu'avait lieu la fameuse cérémonie de la chemise , céré- monie sur laquelle nous reviedrons tout à l'heure à pro- pos d'une anecdote qui , bien plus tard , arriva à Marie- Antoinette . Pour remplir la journée , les ...
Page xxiv
... devant l'expression salée , pourvu qu'elle fût lancée avec esprit , mais ils haïssaient l'équivoque . Ce plaisir de la conversation on le goûtait encore et peut - être plus dans les promenades de l'après - midi . Les parterres et le ...
... devant l'expression salée , pourvu qu'elle fût lancée avec esprit , mais ils haïssaient l'équivoque . Ce plaisir de la conversation on le goûtait encore et peut - être plus dans les promenades de l'après - midi . Les parterres et le ...
Page xxxi
... devant le roi , Molière revient à la charge : « Le marquis , aujourd'hui , est le plaisant de la co- « médie ; et , comme dans toutes les comédies anciennes , << on voit toujours un valet bouffon qui fait rire les au- « < diteurs , de ...
... devant le roi , Molière revient à la charge : « Le marquis , aujourd'hui , est le plaisant de la co- « médie ; et , comme dans toutes les comédies anciennes , << on voit toujours un valet bouffon qui fait rire les au- « < diteurs , de ...
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Common terms and phrases
acte administrateurs agents Alcmène Amphitryon Archives de Seine-et-Oise Archives départementales arpents Arzane avaient Bretêche Bretesche brumaire c'était canton de Rambouillet cantonale Carmouche château château de Versailles Chateaubriand cheval citoyen commissaire commune comte conseiller cour dame département Directoire donne et-Oise Fayette femme de chambre fief foires Fontaine garde nationale gardes du corps général groupe de rimes Hermeray heures Hoche homme Ibid janvier jour juillet juin l'abbé Roy l'agent l'Assemblée ladite Lazare Hoche lettres livres Louis XVI Madame maire maison Marie-Antoinette mars Masséna membre associé Séance membre titulaire Séance ment Mercy Merlière ministre Mittainville Moïse Molière Monsieur Nadab Nepveu novembre octobre Orcemont paroisse passer Petit-Trianon phrase pièce Pomereu premier président Procès-verbal Raizeux registres reine rime plate Rochepont royale sailles Saint-Germain-en-Laye Saint-Nom Sainte-Croix salle salon seigneur Seine-et-Oise seul sieur Société stances terre théâtre tion Trianon trouve Valmartin Vaux-de-Cernay Versailles Villepreux Vittoria Colonna XVIIIe siècle
Popular passages
Page xxxii - où les vieillards sont galants, polis et civils, les jeunes gens au contraire durs, féroces, sans mœurs ni politesse : ils se trouvent affranchis de la passion des femmes dans un âge où l'on commence ailleurs à la sentir ; ils leur préfèrent des repas, des viandes, et des amours ridicules.
Page 258 - Nos destins ténébreux vont sous des lois immenses Que rien ne déconcerte et que rien n'attendrit. Vous ne pouvez avoir de subites clémences Qui dérangent le monde, ô Dieu, tranquille esprit!
Page xxx - Laisse gronder tes envieux : Ils ont beau crier en tous lieux Qu'en vain tu charmes le vulgaire , Que tes vers n'ont rien de plaisant : Si tu savais un peu moins plaire , Tu ne leur déplairais pas tant.
Page 273 - La raison du plus fort est toujours la meilleure : Nous Talions montrer tout à l'heure. Un Agneau se désaltérait Dans le courant d'une onde pure. Un Loup survient à jeun qui cherchait aventure, Et que la faim en ces lieux attirait. Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage ? Dit cet animal plein de rage : Tu seras châtié de ta témérité.
Page xxviii - ... la grande épreuve de toutes vos comédies, c'est le jugement de la Cour; que c'est son goût qu'il faut étudier pour trouver l'art de réussir ; qu'il n'ya point de lieu où les décisions soient si justes ; et, sans mettre en ligne de compte tous les gens savants qui y sont, que, du simple bon sens naturel et du commerce de tout le beau monde, on s'y fait une manière d'esprit qui, sans comparaison, juge plus finement des choses que tout le savoir enrouillé des pédants.
Page 19 - Lorsque, dans le silence de l'abjection, l'on n'entend plus retentir que la chaîne de l'esclave et la voix du délateur, lorsque tout tremble devant le tyran, et qu'il est aussi dangereux d'encourir sa faveur que de mériter sa disgrâce, l'historien paraît, chargé de la vengeance des peuples. C'est en vain que Néron prospère. Tacite est déjà né dans l'empire...
Page 96 - Je reçois avec une vive sensibilité les nouveaux témoignages de l'attachement de l'Assemblée; le vœu de mon cœur est, vous le savez, de ne jamais me séparer d'elle. Je vais me rendre à Paris , avec la reine et mes enfans; je donnerai tous les ordres nécessaires pour que l'Assemblée nationale puisse y continuer ses travaux.
Page xxxii - Les femmes du pays précipitent le déclin de leur beauté par des artifices qu'elles croient servir à les rendre belles : leur coutume est de peindre leurs lèvres, leurs joues...
Page 316 - Qu'est-ce là ? lui dit-il. - Rien. - Quoi ?rien ?- Peu de chose. - Mais encor ? - Le collier dont je suis attaché De ce que vous voyez est peut-être la cause. - Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas Où vous voulez ? - Pas toujours, mais qu'importé ? - Il importe si bien, que de tous vos repas Je ne veux en aucune sorte, Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor.
Page xxxiv - L'on voit * certains animaux farouches , des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs , livides, et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible : ils ont comme une voix articulée ; et quand ils se lèvent sur leurs pieds , ils montrent une face humaine , et en effet ils sont des hommes.