Mémoires de la Société des sciences morales, des lettres et des arts de Seine-et-Oise, Volumes 17-181893 - Seine-et-Oise (France) |
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... date des élections de la garde nationale , que la démis- sion définitive de Berthier rendait nécessaires . Si l'assemblée générale des corps constitués de Ver- sailles et du département était déjà comprimée par l'affluence d'auxiliaires ...
... date des élections de la garde nationale , que la démis- sion définitive de Berthier rendait nécessaires . Si l'assemblée générale des corps constitués de Ver- sailles et du département était déjà comprimée par l'affluence d'auxiliaires ...
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... date de onze heures et demie , onze heures trois quarts , ce qui permettrait difficilement d'admettre que le départ ait eu lieu avant minuit et demi . Or , madame de Tourzel ( 1 ) , qui y était , place tous les préparatifs de la fuite ...
... date de onze heures et demie , onze heures trois quarts , ce qui permettrait difficilement d'admettre que le départ ait eu lieu avant minuit et demi . Or , madame de Tourzel ( 1 ) , qui y était , place tous les préparatifs de la fuite ...
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... date du 13 décembre 1701 ( 1 ) nous donne comme « < ayant « cessé d'être tenues pendant les guerres civiles et « ayant été depuis négligées » , à tel point que Troyes est devenue d'opulente pauvre , et qu'elle est tombée d'une ...
... date du 13 décembre 1701 ( 1 ) nous donne comme « < ayant « cessé d'être tenues pendant les guerres civiles et « ayant été depuis négligées » , à tel point que Troyes est devenue d'opulente pauvre , et qu'elle est tombée d'une ...
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... date ) . La taxe était d'une année du revenu de la foire , pour ceux qui pourraient justifier , par actes , d'une possession centenaire ou d'une possession accordée par lettres patentes ; de deux années de revenu , pour ceux qui prou ...
... date ) . La taxe était d'une année du revenu de la foire , pour ceux qui pourraient justifier , par actes , d'une possession centenaire ou d'une possession accordée par lettres patentes ; de deux années de revenu , pour ceux qui prou ...
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... date certaine , on ne pouvait tenir une foire autrement qu'en vertu d'une possession immé- « moriale qui fit présumer la « concession du Prince » . Diction- naire de Jurisprudence , vo Marché ( Encyclopédie Methodique ) . « ne peuvent ...
... date certaine , on ne pouvait tenir une foire autrement qu'en vertu d'une possession immé- « moriale qui fit présumer la « concession du Prince » . Diction- naire de Jurisprudence , vo Marché ( Encyclopédie Methodique ) . « ne peuvent ...
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Common terms and phrases
acte administrateurs agents Amphitryon Archives de Seine-et-Oise Archives départementales arpents Arzane avaient Bretêche Bretesche brumaire c'était canton de Rambouillet cantonale Carmouche château château de Versailles Chateaubriand cheval citoyen commissaire commune comte conseiller cour dame département Directoire donne et-Oise famille Fayette femme de chambre fief foires Fontaine garde nationale gardes du corps général Hermeray heures Hoche homme Ibid janvier jour juillet juin l'abbé Roy l'agent l'Assemblée ladite Lazare Hoche lettres LIIK livres Louis XVI Madame maire maison Marie-Antoinette mars Masséna membre associé Séance membre titulaire Séance ment Mercy Merlière ministre Mittainville Moïse Molière Monsieur Nadab Nepveu novembre octobre Orcemont paroisse passer Petit-Trianon phrase pièce Pomereu premier président Procès-verbal Raizeux registres reine reste rime plate Rochepont royale sailles Saint-Germain-en-Laye Saint-Nom Sainte-Croix salle salon seigneur Seine-et-Oise seul sieur Société stances terre théâtre tion Trianon trouve Valmartin Vaux-de-Cernay Versailles Ville-d'Avray Villepreux Vittoria Colonna XVIIIe siècle
Popular passages
Page xxxii - où les vieillards sont galants, polis et civils, les jeunes gens au contraire durs, féroces, sans mœurs ni politesse : ils se trouvent affranchis de la passion des femmes dans un âge où l'on commence ailleurs à la sentir ; ils leur préfèrent des repas, des viandes, et des amours ridicules.
Page 258 - Nos destins ténébreux vont sous des lois immenses Que rien ne déconcerte et que rien n'attendrit. Vous ne pouvez avoir de subites clémences Qui dérangent le monde, ô Dieu, tranquille esprit!
Page xxx - Laisse gronder tes envieux : Ils ont beau crier en tous lieux Qu'en vain tu charmes le vulgaire , Que tes vers n'ont rien de plaisant : Si tu savais un peu moins plaire , Tu ne leur déplairais pas tant.
Page 273 - La raison du plus fort est toujours la meilleure : Nous Talions montrer tout à l'heure. Un Agneau se désaltérait Dans le courant d'une onde pure. Un Loup survient à jeun qui cherchait aventure, Et que la faim en ces lieux attirait. Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage ? Dit cet animal plein de rage : Tu seras châtié de ta témérité.
Page xxviii - ... la grande épreuve de toutes vos comédies, c'est le jugement de la Cour; que c'est son goût qu'il faut étudier pour trouver l'art de réussir ; qu'il n'ya point de lieu où les décisions soient si justes ; et, sans mettre en ligne de compte tous les gens savants qui y sont, que, du simple bon sens naturel et du commerce de tout le beau monde, on s'y fait une manière d'esprit qui, sans comparaison, juge plus finement des choses que tout le savoir enrouillé des pédants.
Page 19 - Lorsque, dans le silence de l'abjection, l'on n'entend plus retentir que la chaîne de l'esclave et la voix du délateur, lorsque tout tremble devant le tyran, et qu'il est aussi dangereux d'encourir sa faveur que de mériter sa disgrâce, l'historien paraît, chargé de la vengeance des peuples. C'est en vain que Néron prospère. Tacite est déjà né dans l'empire...
Page 96 - Je reçois avec une vive sensibilité les nouveaux témoignages de l'attachement de l'Assemblée; le vœu de mon cœur est, vous le savez, de ne jamais me séparer d'elle. Je vais me rendre à Paris , avec la reine et mes enfans; je donnerai tous les ordres nécessaires pour que l'Assemblée nationale puisse y continuer ses travaux.
Page xxxii - Les femmes du pays précipitent le déclin de leur beauté par des artifices qu'elles croient servir à les rendre belles : leur coutume est de peindre leurs lèvres, leurs joues...
Page 316 - Qu'est-ce là ? lui dit-il. - Rien. - Quoi ?rien ?- Peu de chose. - Mais encor ? - Le collier dont je suis attaché De ce que vous voyez est peut-être la cause. - Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas Où vous voulez ? - Pas toujours, mais qu'importé ? - Il importe si bien, que de tous vos repas Je ne veux en aucune sorte, Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor.
Page xxxiv - L'on voit * certains animaux farouches , des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs , livides, et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible : ils ont comme une voix articulée ; et quand ils se lèvent sur leurs pieds , ils montrent une face humaine , et en effet ils sont des hommes.