| Quintin Craufurd - 1815 - 466 pages
...aimait mieux s'en aller à Paris. Ma foi » la colère me monte à la tête; je songeai que c'é» tait la centième sottise qu'il m'avait faite , qu'il « n'avait ni cœur , ni affection , en un mot la me« sure était comble. Je l'ai pris au mot; et quoi.« qu'on m'aie pu dire po.ur lui, je suis demeurée... | |
| Marie de Rabutin-Chantal Sévigné (marq. de.) - 1835 - 706 pages
...qu'il n'avoit ni cœur , ni affection ; eu un mol , la mesure étoit comble. Je l'ai pris au mol , et quoi qu'on m'ait pu dire pour lui , je suis demeurée...les gens selon leurs bons ou mauvais services. Si TOUS le revoyez , ne le recevez point , ne le protégez point, ne me blâmez point, el songez que c'est... | |
| France - 1841 - 764 pages
...n'avoit ni cœur, ni affection ; en un mot, la mesure étoit comble. Je l'ai pris au mot; et quoiqu'on m'ait pu dire pour lui, je suis demeurée ferme comme...justice de traiter les gens selon leurs bons ou mauvais sendees. Si vous le revoyez, ne le recevez point, ne le protégez point, ne me blâmez ]X)int, et songez... | |
| vicomte Joseph-Alexis Walsh - 1842 - 510 pages
...foi ! la colère m'a monté à la tête , je songeai que s'était la centième sottise qu'ilm avait faite ; qu'il n'avait ni cœur ni affection ; en un mot, la mesure était comble. Je le pris au mot, et, quoi qu'on ait pu dire , je suis restée ferme comme un rocher, et il est parti.... | |
| Sébastien Louis Saulnier - 1843 - 958 pages
...son métier, et qu'il .limait mieux s'en aller à Paris. Ma foi! la colère m'a monté à la tête. Je songeai que c'était la centième sottise qu'il...mot, la mesure était comble, je l'ai pris au mot Si vous le revoyez, ne le recevez point, ne le protégez point, ne me blâmez point; songez que c'est... | |
| Marie de Rabutin-Chantal marquise de Sévigné - Authors, French - 1844 - 542 pages
...son métier, et qu'il aimait mieux s'en aller à Paris. Ma foi ! la colère m'a monté à la tête ; je songeai que c'était la centième sottise qu'il...qu'on m'ait pu dire pour lui, je suis demeurée ferme cemme un rocher, et il est parti. C'est une justice de traiter les gens selon leurs bons ou mauvais... | |
| Marie de Rabutin-Chantal marquise de Sévigné - Authors, French - 1844 - 1092 pages
...métier, et qu'il aimait mieux s'en aller à "Paris. Ma foi ! la colère m'a monté à la télé ; je songeai que c'était la centième sottise qu'il m'avait faite; qu'il n'avait ni «rur, ni affection, en un mot, la mesure était comble. Je l'ai pris au mot, et, quoi qu'on m'ait... | |
| Marie de Rabutin-Chantal marquise de Sévigné - 1851 - 696 pages
...son métier, et qu'il aimait mieux s'en aller à Paris. Ma foi, la colère m'a monté à la tête ; je songeai que c'était la centième sottise qu'il...faite; qu'il n'avait ni cœur, ni affection; en un mot, ta mesure était comble. Je l'ai pris au mot, et, quoiqu'on m'ait pu dire pour lui, je suis demeurée... | |
| Antonin Roche - French prose literature - 1854 - 704 pages
...centième sottise qu'il m'avoit faite; qu'il n'avoit ni cœur ni affection; en un mot, la mesure étoit comble. Je l'ai pris au mot, et, quoi qu'on m'ait...services. Si vous le revoyez, ne le recevez point, IIP le protégez point, ne me blâmez point, et songez que c'est le garçon du monde qui aime le moins... | |
| Marie de Rabutin-Chantal marquise de Sévigné - 1857 - 670 pages
...son métier, et qu'il aimait mieux s'en aller à Paris. Ma foi, la colère m'a monté à la tête ; je songeai que c'était la centième sottise qu'il...la mesure était comble. Je l'ai pris au mot, et, quoiqu'on m'ait pu dire pour lui, je suis demeurée ferme comme un rocher, et il est parti. C'est une... | |
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