| Alfred de Musset - 1841 - 456 pages
...balaie ainsi le sable , De quel deuil le Seigneur veut-il donc nous vêtir ? XVII. Hélas ! Marietta , tu nous restais encore. Lorsque, sur le sillon, l'oiseau...chante à l'aurore, Le laboureur s'arrête, et, le Iront en sueur, Aspire dans l'air pur un souffle de bonheur. Ainsi nous consolait ta voix fraîche... | |
| Alfred de Musset - French poetry - 1849 - 428 pages
...encore. Lorsque , sur le sillon , l'oiseau cbante à l'aurore , Le laboureur s'arrête, et, le fronten sueur, Aspire dans l'air pur un souffle de bonheur....ta voix fraîche et sonore , Et tes chants dans les cieux emportaient la douleur. • » • XVIII. Ce qu'il nous faut pleurer sur sa tombe hâtive, Ce... | |
| Alfred de Musset - 1852 - 306 pages
...pas, balaye ainsi le sable, De quel deuil le Seigneur veut-il donc nous vêtir? Hélas I Marietta, tu nous restais encore, Lorsque, sur le sillon, l'oiseau...Aspire dans l'air pur un souffle de bonheur. Ainsi nous consolai! ta voix fraîche et sonore, Et tes chants dans les cieux emportaient la douleur. Ce qu'il... | |
| Alfred de Musset - 1857 - 300 pages
...balaye ainsi le sahle, De quel deuil le Seigneur veut-il donc nous vêtir? XVII Hélas ! Marietta, tu nous restais encore ; Lorsque, sur le sillon, l'oiseau...tes chants dans les cicux emportaient la douleur. XVIII Ce qu'il nous faut pleurer sur ta tombe hâtive, Ce n'est pas l'art divin, ni ses savants secrets... | |
| Alfred de Musset - 1859 - 340 pages
...balaye ainsi le sable, De quel deuil le Seigneur veut-il donc nous vêtir? XVII Hélas ! Marietta, tu nous restais encore. Lorsque, sur le sillon, l'oiseau...ta voix fraîche et sonore, Et tes chants dans les cieux emportaient la douleur. A LA MALIBRAN. . IQ3 XVIII Ce qu'il nous faut pleurer sur ta tombe hâtive,... | |
| Alfred de Musset - 1860 - 300 pages
...encoie. Lorsque, sur le sillon, l'oiseau chante à l'auiore, 8. Le laboureur s'arrête, et, le Iront en sueur, Aspire dans l'air pur un souffle de bonheur....ta voix fraîche et sonore, Et tes chants dans les cieux emportaient la douleur. XVIII Ce qu'il nous tant pleurer sur ta tombe hâtive, Ce n'est pas l'art... | |
| Countess Anaïs de BASSANVILLE - 1862 - 350 pages
...faucheur aveugle, affamé de pâluro, Sur les meilleurs de nous ose porter la main ? Hélas ! Marietta, tu nous restais encore. Lorsque sur le sillon l'oiseau...ta voix fraîche et sonore, Et tes chants dans les cieux emportaient la douleur. Ah ! tu vivrais encor sans cette âme indomptable ; Ce fut là ton seul... | |
| Eugène Crépet - French poetry - 1863 - 778 pages
...le Seigneur veut-il donc nous vêtir? XVII Hélas! Marietta, tu nous restais encore. Lorsque, sur Je sillon, l'oiseau chante à l'aurore, Le laboureur...ta voix fraîche et sonore, Et tes chants dans les cieux emportaient la douleur. xvin Ce qu'il nous faut pleurer sur ta tombe hâtive, Ce n'est pas l'art... | |
| Alfred de Musset - 1866 - 394 pages
...pas, balaye ainsi le sable, De quel deuil le Seigneur veut-il donc nous vêtir? XVII Hélas! Marietta, tu nous restais encore. Lorsque, sur le sillon, l'oiseau chante à l'aurore, Le laboureur s'arrête, ct, le front en sueur, Aspire dans l'air pur un souffle de bonheur. Ainsi nous consolait ta voix fraîche... | |
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