Leur taille , leur figure , leur maintien , sont soignés sans recherche , mais avec l'air tention que pourrait y donner la mère la plus vaine de la beauté de ses filles. Une de ces petites se tenait mal ; la maîtresse n'eut qu'à la nommer pour qu'elle... Oeuvres de Madame de Souza - Page 93by Adélaïde Marie Émilie (Filleul) Sousa Botelho Mourāo e Vasconcellos (comtesse Flahaut, marqueza do) - 1843 - 477 pagesFull view - About this book
| Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Souza-Botelho - 1798 - 250 pages
...; la maîtresse n'eut qu'à la nommer pour qu'elle se redressât bien vite ; & il me parut que fii c'était un défaut dans lequel elle retombait souvent, la religieuse avait pris la même habitude de la reprentlre , sans humeur & sans négligence , ce qui parvient toujours à corriger. Toutes travaillaient... | |
| Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Souza-Botelho - 1821 - 480 pages
...la mère la plus vaine de la beauté de s.es filles. Une de ces petitesse tenait mal; la maîtresse n'eut qu'à la nommer, pour qu'elle se redressât bien vite ; et il me parut que si c'était un défaut dans lequel elle retombait souvent, la religieuse avait pris la même... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1840 - 524 pages
...la mère la plus vaine de la beauté de ses filles. Une de ces petites se tenait mal ; la maîtresse n'eut qu'à la nommer pour qu'elle se redressât bien vite; et il me partit que si c'était un défaut dans lequel elle retombait souvent, la religieuse avait pris la même... | |
| Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Sousa-Botelho - French fiction - 1845 - 526 pages
...la mère la plus vaine de la beauté de ses filles. Une de ces petites se tenait mal ; la maîtresse n'eut qu'à la nommer pour qu'elle se redressât bien vite ; et il me parut que si c'était un défaut dans lequel elle retombait souvent, la religieuse avait pris la même... | |
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