La Loi des suspects: Lettres adressées à M. Waldeck-Rousseau Président du Conseil des Ministres |
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... histoire de France et l'histoire du monde , depuis le temps où , « lorsque la vieille Rome tomba vaincue et sanglante aux pieds des barbares , l'Église romaine recueillit l'esprit humain comme un pauvre enfant aban- donné que , dans le ...
... histoire de France et l'histoire du monde , depuis le temps où , « lorsque la vieille Rome tomba vaincue et sanglante aux pieds des barbares , l'Église romaine recueillit l'esprit humain comme un pauvre enfant aban- donné que , dans le ...
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... : « L'Université les a contrepointés voirement , mais ç'a été pour ce qu'ils faisaient mieux que les autres , témoin l'affluence des >> escoliers qu'ils avaient en leurs collèges . L'histoire se 56 LA LOI DES SUSPECTS .
... : « L'Université les a contrepointés voirement , mais ç'a été pour ce qu'ils faisaient mieux que les autres , témoin l'affluence des >> escoliers qu'ils avaient en leurs collèges . L'histoire se 56 LA LOI DES SUSPECTS .
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... histoire se répète , et , derrière les grands mots , se cachent les mêmes passions . M. le ministre de l'instruction publique par- lant , le 2 décembre , aux instituteurs et institu- trices de Paris , leur disait : « La plus haute vertu ...
... histoire se répète , et , derrière les grands mots , se cachent les mêmes passions . M. le ministre de l'instruction publique par- lant , le 2 décembre , aux instituteurs et institu- trices de Paris , leur disait : « La plus haute vertu ...
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... J'ai sous les yeux , en vous écrivant , deux petits livres de M. A. Penjon , professeur à la Faculté des lettres de Lille : c'est un Précis de philosophie et un Précis d'histoire de la philosophie . Ils ont DEUXIÈME LETTRE . 73.
... J'ai sous les yeux , en vous écrivant , deux petits livres de M. A. Penjon , professeur à la Faculté des lettres de Lille : c'est un Précis de philosophie et un Précis d'histoire de la philosophie . Ils ont DEUXIÈME LETTRE . 73.
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... histoire de la philosophie . Ils ont tous deux la forme et l'apparence d'un manuel , et , dans une note , placée en tête du premier et datée de Douai , juillet 1897 , l'auteur , bien loin de s'en défendre , dit : « Si on prend ce Précis ...
... histoire de la philosophie . Ils ont tous deux la forme et l'apparence d'un manuel , et , dans une note , placée en tête du premier et datée de Douai , juillet 1897 , l'auteur , bien loin de s'en défendre , dit : « Si on prend ce Précis ...
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La Loi des Suspects: Lettres Adressées À M. Waldeck-Rousseau, Président du ... Albert de Mun No preview available - 2016 |
Common terms and phrases
âmes assez association Aulard avez blique c'était catholiques Chambre chose chrétienne citoyens cléricalisme collèges commission de l'enseignement congréganistes Congrégation conscience croyances Déclaration delirium demande député devant dire disait doctrine d'État écoles écoles centrales enfants ennemis enseignement esprits Est-ce fonctionnaires général de Boisdeffre gouvernement hommes institutions j'ai jacobins Jésuites jeunes gens jeunesse jour Jules Jules Ferry Jules Lemaître l'affaire Dreyfus l'École centrale l'Église l'enseignement secondaire l'esprit l'État l'histoire l'instruction publique l'unité l'Université là-dessus Léon Bourgeois lettre Leygues liberté d'enseignement libre livre LOI DES SUSPECTS lycée lycéen maîtres ment Mgr d'Hulst Millerand ministre Monsieur le Président Montlosier n'en nation officiers pable parle parole Pascal Paul Bert Paul THUREAU-DANGIN pensée pensionnats père philosophie politique Président du Conseil principes professeurs projet de loi public question raison religieux répétiteur républicain République reste Révolution rien Rousseau seignement serait seulement siècle stage scolaire tion tique Tityre tolérance tyrannie Voilà Voltaire voulez vrai Yves Guyot
Popular passages
Page 142 - Tous les citoyens étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.
Page 156 - Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même, et reste aussi libre qu'auparavant!
Page 156 - A l'instant, au lieu de la personne particulière de chaque contractant, cet acte d'association produit un corps moral et collectif, composé d'autant de membres que l'assemblée a de voix, lequel reçoit de ce même acte son unité, son moi commun, sa vie et sa volonté.
Page 156 - Chacun de nous met en commun sa personne et toute sa puissance sous la suprême direction de la volonté générale; et nous recevons en corps chaque membre comme partie indivisible du tout 24.
Page 303 - La garantie des droits de l'homme et du citoyen nécessite une force publique; cette force est donc instituée pour l'avantage de tous, et non pour l'utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée.
Page 157 - État quand il est passif, Souverain quand il est actif, Puissance en le comparant à ses semblables. A l'égard des associés, ils prennent collectivement le nom de Peuple, et s^appellent en particulier Citoyens, comme participants à l'autorité souveraine, et Sujets, comme soumis aux lois de l'État.
Page 158 - Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité, sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen ni sujet fidèle.
Page 237 - Vous ne savez guère ce que vous dédaignez ; j'ai vu les plus honnêtes gens près d'en être accablés. Croyez qu'il n'ya pas de plate méchanceté, pas d'horreurs, pas de conte absurde, qu'on ne fasse adopter aux oisifs d'une grande ville en s'y prenant bien ; et nous avons ici des gens d'une adresse!...
Page 255 - Il est vrai que tout le livre portait sur un fondement faux. On attribuait adroitement à toute la société les opinions extravagantes de plusieurs jésuites espagnols et flamands. On les aurait déterrées aussi bien chez des casuistes dominicains et franciscains ; mais c'était aux seuls jésuites qu'on en voulait. On tâchait , dans ces lettres, de prouver qu'ils avaient un dessein formé de corrompre !es mœurs des hommes ; dessein qu'aucune secte , aucune société n'a jamais eu et ne peut...