La loi des suspects: lettres adressées à M. Waldeck-Rousseau |
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... haut : « Le roi a craint les seigneurs et a voulu des garçons de bou- » ; et Voltaire dit dans le Siècle de Louis XIV : « ... Des citoyens qui se seraient crus toutefois honorés d'être les domestiques de certains grands seigneurs sont ...
... haut : « Le roi a craint les seigneurs et a voulu des garçons de bou- » ; et Voltaire dit dans le Siècle de Louis XIV : « ... Des citoyens qui se seraient crus toutefois honorés d'être les domestiques de certains grands seigneurs sont ...
Page 149
... qu'il y ait , dans les collèges religieux , trop de fils de fonctionnaires , et j'ai recueilli , là - dessus , d'assez haut , d'étranges doléances . « Ce n'est pas tant la proportion de vos élèves dans nos grandes TROISIÈME LETTRE . 149.
... qu'il y ait , dans les collèges religieux , trop de fils de fonctionnaires , et j'ai recueilli , là - dessus , d'assez haut , d'étranges doléances . « Ce n'est pas tant la proportion de vos élèves dans nos grandes TROISIÈME LETTRE . 149.
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... haut intérêt de savoir quels fruits elle a donnés dans les écoles centrales de l'an III , œuvre es- sentielle de la Révolution pour l'enseignement secondaire . >> M. Albert Duruy en a fait l'histoire dans son livre sur l'Instruction ...
... haut intérêt de savoir quels fruits elle a donnés dans les écoles centrales de l'an III , œuvre es- sentielle de la Révolution pour l'enseignement secondaire . >> M. Albert Duruy en a fait l'histoire dans son livre sur l'Instruction ...
Page 186
... haut ensei- gnement . L'État est dans son rôle et dans son droit . Les hommes que nous avons vus impuis- sants dans l'élaboration des plans scolaires , Lakanal , Barère , Fourcroy , sont ici dans le légitime exercice de leur ...
... haut ensei- gnement . L'État est dans son rôle et dans son droit . Les hommes que nous avons vus impuis- sants dans l'élaboration des plans scolaires , Lakanal , Barère , Fourcroy , sont ici dans le légitime exercice de leur ...
Page 205
... . de Salvandy qui commença de l'abandonner dans son projet de 1847 . M. Guizot , dont , j'imagine , vous ne renierez pas le haut et large esprit , à peine arrivé au pouvoir , en 1832 , soucieux des promesses de la TROISIÈME LETTRE . 205.
... . de Salvandy qui commença de l'abandonner dans son projet de 1847 . M. Guizot , dont , j'imagine , vous ne renierez pas le haut et large esprit , à peine arrivé au pouvoir , en 1832 , soucieux des promesses de la TROISIÈME LETTRE . 205.
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La Loi des Suspects: Lettres Adressées À M. Waldeck-Rousseau, Président du ... Albert de Mun No preview available - 2016 |
Common terms and phrases
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Popular passages
Page 142 - Tous les citoyens étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.
Page 156 - Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même, et reste aussi libre qu'auparavant!
Page 156 - A l'instant, au lieu de la personne particulière de chaque contractant, cet acte d'association produit un corps moral et collectif, composé d'autant de membres que l'assemblée a de voix, lequel reçoit de ce même acte son unité, son moi commun, sa vie et sa volonté.
Page 156 - Chacun de nous met en commun sa personne et toute sa puissance sous la suprême direction de la volonté générale; et nous recevons en corps chaque membre comme partie indivisible du tout 24.
Page 303 - La garantie des droits de l'homme et du citoyen nécessite une force publique; cette force est donc instituée pour l'avantage de tous, et non pour l'utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée.
Page 157 - État quand il est passif, Souverain quand il est actif, Puissance en le comparant à ses semblables. A l'égard des associés, ils prennent collectivement le nom de Peuple, et s^appellent en particulier Citoyens, comme participants à l'autorité souveraine, et Sujets, comme soumis aux lois de l'État.
Page 158 - Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité, sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen ni sujet fidèle.
Page 237 - Vous ne savez guère ce que vous dédaignez ; j'ai vu les plus honnêtes gens près d'en être accablés. Croyez qu'il n'ya pas de plate méchanceté, pas d'horreurs, pas de conte absurde, qu'on ne fasse adopter aux oisifs d'une grande ville en s'y prenant bien ; et nous avons ici des gens d'une adresse!...
Page 255 - Il est vrai que tout le livre portait sur un fondement faux. On attribuait adroitement à toute la société les opinions extravagantes de plusieurs jésuites espagnols et flamands. On les aurait déterrées aussi bien chez des casuistes dominicains et franciscains ; mais c'était aux seuls jésuites qu'on en voulait. On tâchait , dans ces lettres, de prouver qu'ils avaient un dessein formé de corrompre !es mœurs des hommes ; dessein qu'aucune secte , aucune société n'a jamais eu et ne peut...