Histoire des princes de Condé pendant les XVIe et XVIIe siècles, Volume 2Calmann Lévy, 1864 - France |
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Common terms and phrases
advis Altesse Altèze Angoulême archiducs Archives de Belgique armée asseurer assez aultre aussy avaient avecq avoit Bassac bataille bonne Bourbon Bruxelles c'était cardinal catholiques cavalerie ceste ceulx Charente Cœuvres Coligny comte connétable cour cousin d'Andelot D'Aubigné d'Espagne d'Orange desire dict Dieu don Innigo duc d'Anjou dudict Élisabeth ennemis envoyé Espagnols estant esté estoit estre eust faict femme gouverneur guerre Henri Henri III Henri IV huguenots j'ay Jarnac Jazeneuil Jeanne d'Albret jeune prince jour l'amiral l'archiduc l'armée royale l'ennemi ladicte princesse laisser ledict prince lettres ligueurs Loire Marie de Clèves Mayenne ment mesme mille hommes Monsieur Montmorency Montpensier n'avait n'était Navarre nonce paix pape passer Pecquius Pièces et documents Pisani Poitou pouvait prince de Condé princesse de Condé protestants qu'ilz quoy réformés Reine religion reste Rochelle royaume s'était Saintonge sçavoir seroit sieur Spinola ther Thou tion très-humble Triac troupes Villeroy Virey Vostre Altèze Voyez Pièces
Popular passages
Page 163 - ... nous; je le juge par l'envie que vous avez de combattre; mais pourtant nous devons tous croire que l'événement...
Page 514 - ... à l'ambassadeur les impressions que lui avait laissées son entretien avec son souverain : « Vous m'avez hier parlé franchement et clairement, lui dit-il ; j'en veux faire autant à vostre endroit, et vous dis comme de moy-mesme qu'il ya de la passion, et que si l'on veult remédier au fait de la princesse, il y aura moyen...
Page 397 - ... de Cavaignes les bons offices que vous faictes pour nous en affaires qui nous concernent et la peine que vous y prenez tous les jours, combien que la seule rétribution qui vous attend du Ciel, comme à tous ceulx qui...
Page 251 - Revenez , mes plaisirs , ma dame est revenue ; Et les vœux que j'ai faits pour revoir ses beaux yeux, Rendant par mes soupirs ma douleur reconnue * , Ont eu grâce des cieux. Les voici de retour ces astres adorables Où prend mon océan son flux et son reflux ; Soucis , retirez-vous , cherchez les misérables : Je ne vous connais plus.
Page 111 - dit-il à Monsieur, le peuple de Bourges, si « mal affectionné à ceux de ma religion; il s'y « pourroit trouver quelque coquin , qui faisant « semblant de viser ailleurs , me donnerait dans « la tête; le coquin seroit pendu, mais cependant « le prince de Condé seroit mort ; je vous prie « Monsieur que je ne fasse pas pendre de coquin...
Page 164 - Pour vous, je ne vous dis autre chose, sinon que vous êtes du sang de Bourbon, et vive Dieu! je vous ferai voir que je suis votre aîné. — Et nous, répondirent ces princes, que nous sommes de bons cadets.
Page 68 - Domptant la douleur, il se retourne vers les gens d'armes, et montrant tantôt ses membres meurtris, tantôt la devise : Doux le péril pour Christ et la patrie, que sa cornette faisait flotter au vent : Voici, noblesse française, s'écrie-t-il, voici le moment désiré! Souvenez -vous en quel état Louis de Bourbon entre au combat pour Christ et la patrie!
Page 565 - ... En écrivant le même jour à la duchesse d'Angoulême, il lui disait aussi, en parlant de la princesse : « Une saincte Thérèse et les plus religieuses vierges du monde eussent succombé à tant de persuasions; ce qui fait que je pardonne librement à sa simplicité, et ne veux laisser pour cela de l'aymer et chérir, comme Dieu et la raison me commandent. J'espère qu'ayant esté une heure avec elle, de luy remettre sy bien l'esprit, qu'elle et moyen demeurerons contents (l).
Page 248 - Je ne vous ay point appeliez comme faisoient mes prédécesseurs pour vous faire approuver leurs volontez ; je vous ay assemblez pour recevoir vos conseils, pour les crere, pour les suivre, bref, pour me mettre en tutelle entre vos mains : envie qui ne prend guère aux roys, aux barbes grises et aux victorieux.
Page 245 - Bassompierre, je te veux parler en ami. Je suis devenu non-seulement amoureux, mais furieux et outré de mademoiselle de Montmorency. Si tu l'épouses, et qu'elle t'aime, je te haïrai ; si elle m'aimoit , tu me haïrois.