Oeuvres complettes de J. La Fontaine: précédées d'une nouvelle notice sur sa vie. Fables, Volume 2Crapelet, 1814 - Fables, French |
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Page 106
... malheur à quelque oiseau . Je ne songerai plus que rencontre funeste , Que faucons , que réseaux . Hélas ! dirai - je , il pleut : Mon frère a - t - il tout ce qu'il veut , Bon soupé , bon gîte , et le reste ? Ce discours ébranla le ...
... malheur à quelque oiseau . Je ne songerai plus que rencontre funeste , Que faucons , que réseaux . Hélas ! dirai - je , il pleut : Mon frère a - t - il tout ce qu'il veut , Bon soupé , bon gîte , et le reste ? Ce discours ébranla le ...
Page 108
... malheurs Finiroient par cette aventure ; Mais un fripon d'enfant ( cet âge est sans pitié ) Prit sa fronde , et du coup tua plus d'à moitié La volatile malheureuse , Qui , maudissant sa curiosité , Traînant l'aile , et tirant le pié ...
... malheurs Finiroient par cette aventure ; Mais un fripon d'enfant ( cet âge est sans pitié ) Prit sa fronde , et du coup tua plus d'à moitié La volatile malheureuse , Qui , maudissant sa curiosité , Traînant l'aile , et tirant le pié ...
Page 135
... , manifeste voleur Eut répandu l'alarme en tout le voisinage , Et fait crier sur lui les enfants du village , Un rossignol tomba dans ses mains par malheur . Le héraut du printemps lui demande la vie . Aussi LIVRE IX . 135.
... , manifeste voleur Eut répandu l'alarme en tout le voisinage , Et fait crier sur lui les enfants du village , Un rossignol tomba dans ses mains par malheur . Le héraut du printemps lui demande la vie . Aussi LIVRE IX . 135.
Page 165
... malheurs . Vous ne connoissez pas l'attrait qui vous engage : Je vous parle en ami ; craignez tout . L'autre rit ; Et notre hermite poursuivit : Voyez combien déjà la cour vous rend peu sage . Je crois voir cet aveugle à qui , dans un ...
... malheurs . Vous ne connoissez pas l'attrait qui vous engage : Je vous parle en ami ; craignez tout . L'autre rit ; Et notre hermite poursuivit : Voyez combien déjà la cour vous rend peu sage . Je crois voir cet aveugle à qui , dans un ...
Page 170
... vivre , L'autre de voir , par ce malheur . Consolons - nous tous deux , et reviens dans ta cage . Le perroquet dit : Sire roi , Crois - tu qu'après un tel outrage Je me doive fier à toi ? Tu m'allègues le 170 FABLES .
... vivre , L'autre de voir , par ce malheur . Consolons - nous tous deux , et reviens dans ta cage . Le perroquet dit : Sire roi , Crois - tu qu'après un tel outrage Je me doive fier à toi ? Tu m'allègues le 170 FABLES .
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alloit amant amour animaux Apollon assez avoient avoit Baucis beau belette belle berger bête bois bramin C'étoit cent Cérès cerf charmes chasseur chat Chauve-Souris Chèvre chien chose ciel cieux Cloris Clymène cœur conte coqs corbeau Cormoran crut déesse Dieu dieux dire disoit dit-il doux éléphant encens enfants enfin Eschyle Ésope esprit étoit FABLE VII FABLE XV faisoit femme fille Fortune gazelle gens grace Grenouilles Hélas homme hôtes hymen Iole j'ai J'en jeune jour Jupiter l'ame l'amour l'animal l'autre l'Éléphant L'homme l'oiseau l'ours l'un l'univers laisse lapin Lion logis loup maint maître messieurs mieux Milan mort mouche mouton n'avoit n'en neuf Sœurs par-tout passant peine peuple Philémon Philémon et Baucis Pilpay plaisir pleurs prince qu'un raison Renard rien s'en sage Scythe seroit serpent seul Singe sœurs soins sort souris Styx Télamon Thisbé Tircis Tortue trésor Ulysse veux voilà voleurs yeux
Popular passages
Page 199 - Cela même est un fruit que je goûte aujourd'hui : J'en puis jouir demain, et quelques jours encore ; Je puis enfin compter l'aurore Plus d'une fois sur vos tombeaux.' Le vieillard eut raison : l'un des trois jouvenceaux Se noya dès le port, allant à l'Amérique ; L'autre, afin de monter aux grandes dignités, Dans les emplois de Mars servant la république, Par un coup imprévu vit ses jours emportés ; Le troisième tomba d'un arbre Que lui-même il voulut enter ; Et, pleurés du vieillard,...
Page 111 - Le Gland et la Citrouille. Dieu fait bien ce qu'il fait. Sans en chercher la preuve En tout cet univers, et l'aller parcourant, Dans les citrouilles je la treuve.
Page 22 - Une mouche survient, et des chevaux s'approche, Prétend les animer par son bourdonnement, Pique l'un, pique l'autre, et pense à tout moment Qu'elle fait aller la machine ; S'assied sur le timon, sur le nez du cocher.
Page 199 - De vos jours et des miens se joue également. Nos termes sont pareils par leur courte durée Qui de nous des clartés de la voûte azurée Doit jouir le dernier?
Page 55 - Rien ne pèse tant qu'un secret : Le porter loin est difficile aux dames; Et je sais même sur ce fait Bon nombre d'hommes qui sont femmes.
Page 197 - La terre et le travail de l'homme Font pour les assouvir des efforts superflus Retirez-les : on ne veut plus Cultiver pour eux les campagnes. Nous quittons les cités, nous fuyons aux montagnes ; Nous laissons nos chères compagnes ; Nous ne conversons...
Page 23 - Dame mouche s'en va chanter à leurs oreilles, Et fait cent sottises pareilles. Après bien du travail, le coche arrive au haut. « Respirons maintenant! dit la mouche aussitôt : J'ai tant fait que nos gens sont enfin dans la plaine Ça! messieurs les chevaux, payez-moi de ma peine.
Page 196 - Le personnage en raccourci : Son menton nourrissait une barbe touffue ; Toute sa personne velue Représentait un ours, mais...
Page 45 - Que vous êtes pressante, ô déesse cruelle ! — Vieillard, lui dit la Mort, je ne t'ai point surpris; Tu te plains sans raison de mon impatience Eh ! n'as-tu pas cent ans ? Trouve-moi dans Paris Deux mortels aussi vieux ; trouve-m'en dix en France. Je devais, ce...
Page 24 - J'aurai, le revendant, de l'argent bel et bon. Et qui m'empêchera de mettre en notre étable, Vu le prix dont il est, une vache et son veau, Que je verrai sauter au milieu du troupeau ? Perrette là-dessus saute aussi, transportée. Le lait tombe : adieu veau, vache, cochon, couvée. La dame de ces biens, quittant d'un œil marri Sa fortune ainsi répandue, Va s'excuser à son mari, En grand danger d'être battue.