Revue d'histoire littéraire de la France, Volume 18Maurice Tourneux A. Colin, 1911 - French literature |
From inside the book
Results 1-5 of 70
Page 17
... morale de la 2o partie . Mais que signifient ces mots : « la fin qui dans la réalité a été la plus remplie » ? D'abord , j'y ai vu une 1. Correspondance , III , 11 ; voir aussi II , 251 ; éd . Conard , II , 291 . Rev. D'Hist . Littér ...
... morale de la 2o partie . Mais que signifient ces mots : « la fin qui dans la réalité a été la plus remplie » ? D'abord , j'y ai vu une 1. Correspondance , III , 11 ; voir aussi II , 251 ; éd . Conard , II , 291 . Rev. D'Hist . Littér ...
Page 109
... morale et de la politique + » . ROUSSEAU souligne tout ce passage , met en face : « ‹ à réf : » ( = à réfuter ) , et commence à écrire : « à ce compte il n'y a de véri- ( ( - table .... » ; plus tard , il a ajouté : probité que chez les ...
... morale et de la politique + » . ROUSSEAU souligne tout ce passage , met en face : « ‹ à réf : » ( = à réfuter ) , et commence à écrire : « à ce compte il n'y a de véri- ( ( - table .... » ; plus tard , il a ajouté : probité que chez les ...
Page 111
... morale utile » . ROUSSEAU met en face un trait horizontal . » . P. 241 , note . HELVETIUS : « Il faut bien que les hommes sentent con- fusément que l'esprit est le premier des dons , puisque l'envie permet à chacun d'être le panégyriste ...
... morale utile » . ROUSSEAU met en face un trait horizontal . » . P. 241 , note . HELVETIUS : « Il faut bien que les hommes sentent con- fusément que l'esprit est le premier des dons , puisque l'envie permet à chacun d'être le panégyriste ...
Page 115
... morale qu'en matiere d'esprit , c'est l'intérêt personnel qui dicte le jugement des particuliers et l'intérêt général qui dicte celui des nations ... je considérerai la probité et l'esprit à différents égards , ... et prenant toujours l ...
... morale qu'en matiere d'esprit , c'est l'intérêt personnel qui dicte le jugement des particuliers et l'intérêt général qui dicte celui des nations ... je considérerai la probité et l'esprit à différents égards , ... et prenant toujours l ...
Page 242
... morale et littéraire pour donner à leur témoi- gnage une plus efficace autorité . Le plus jeune , Auguste - François Robert , né à Paris le 21 février 1813 et attaché aux bureaux du Domaine privé ' , avait publié dans la Revue de Paris ...
... morale et littéraire pour donner à leur témoi- gnage une plus efficace autorité . Le plus jeune , Auguste - François Robert , né à Paris le 21 février 1813 et attaché aux bureaux du Domaine privé ' , avait publié dans la Revue de Paris ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
André Chaumeix août assez avril Balzac Bovary Bruyère Charpentier Chateaubriand cher chevalier Chevassu Chopin chose cœur Comédie-Française conte Corresp critique D'HIST d'Hoffmann décembre Delille Dieu dire discours drame écrit édition Émile Émile Faguet Emma femme Fénelon février Flaubert française Garassus Gaston Deschamps gens George Sand Giraud Guérin HELVETIUS Henri Henri de Régnier homme j'ai Jacques janvier Jean jour Journal juin Jules l'abbé l'auteur l'édition l'esprit Lamartine Leconte de Lisle Léon lettres inédites Lévy littéraire littérature livre Louis Madame Bovary Malherbe manuscrit mars Maurice Maurice de Guérin Mélodrame Mémoires ment Molière Monsieur morale Morellet mort Musset novembre octobre Odéon œuvre Pantomime parler passé Paul pensée philosophie pièce poème poésie poète première publié raison Rambervillers reste Revue rien Robert de Flers roman Rousseau saint scène semaine dramatique sentiments sera seulement sœur texte théâtre Théophile tion trouve Victor Vigny Voltaire Wronski XVIIe siècle Yonville
Popular passages
Page 66 - Agréez, mon général, l'expression de la haute considération avec laquelle j'ai l'honneur d'être votre très humble et très obéissant serviteur.
Page 111 - Chacun, dit-on, concourt au bien public pour son intérêt; mais d'où vient donc que le juste y concourt à son préjudice? Qu'est-ce qu'aller à la mort pour son intérêt? Sans doute nul n'agit que pour son bien; mais, s'il n'est un bien moral dont il faut tenir compte, on n'expliquera jamais par l'intérêt propre que les actions des méchants : il est même à croire qu'on ne tentera point d'aller plus loin.
Page 30 - Il ya en moi, littérairement parlant, deux, bonshommes distincts, un qui est épris de gueulades, de lyrisme, de grands vols d'aigle, de toutes les sonorités de la phrase et des sommets de l'idée ; un autre qui fouille et creuse le vrai tant qu'il peut, qui aime à accuser le petit fait aussi puissamment que le grand, qui voudrait vous faire sentir presque matériellement les choses qu'il reproduit.
Page 16 - Tantôt, à 6 heures, au moment où j'écrivais le mot attaque de nerfs, j'étais si emporté, je gueulais si fort et sentais si profondément ce que ma petite femme éprouvait, que j'ai eu peur moi-même d'en avoir une. Je me suis levé de ma table et j'ai ouvert la fenêtre pour me calmer. La tête me tournait. J'ai à présent de grandes douleurs dans les genoux, dans le dos et à la tête.
Page 319 - Hélas! tout ce que les hommes se disent entre eux se ressemble; les idées qu'ils échangent sont presque toujours les mêmes dans toutes leurs conversations; mais, dans l'intérieur de toutes ces machines isolées, quels replis, quels compartiments secrets! C'est tout un monde que chacun porte en lui! un monde ignoré qui naît et qui meurt en silence ! Quelles solitudes que tous ces corps humains!
Page 334 - Croyez-moi, résistez à vos tentations, Dérobez au public ces occupations , Et n'allez point quitter, de quoi que l'on vous somme , Le nom que dans la cour vous avez d'honnête homme , Pour prendre , de la main d'un avide imprimeur, Celui de ridicule et misérable auteur.
Page 110 - Sans doute je ne suis pas libre de ne pas vouloir mon propre bien, je ne suis pas libre de vouloir mon mal; mais ma liberté consiste en cela même que je ne puis vouloir que ce qui m'est convenable, ou que j'estime tel, sans que rien d'étranger à moi me détermine.
Page 414 - Il n'est rien de commun entre la terre et moi. Quand la feuille des bois tombe dans la prairie, Le vent du soir s'élève et l'arrache aux vallons ; Et moi, je suis semblable à la feuille flétrie : Emportez-moi comme elle; orageux aquilons...
Page 333 - Hors qu'un commandement exprès du roi me vienne, De trouver bons les vers dont on se met en peine, Je soutiendrai toujours, morbleu, qu'ils sont mauvais, Et qu'un homme est pendable après les avoir faits. A Clitandre et Acaste qui rient. Par le sangbleu, Messieurs, je ne croyais pas être Si plaisant que je suis.
Page 413 - Tel est le sort commun: bientôt les aquilons Des dépouilles des bois vont joncher les vallons ; De moment en moment la feuille sur la terre En tombant interrompt le rêveur solitaire. Mais ces ruines même ont pour moi des attraits. Là, si mon cœur nourrit quelques profonds regrets , Si quelque souvenir vient rouvrir ma blessure, J'aime à mêler mon deuil au deuil de la nature.