Histoire Ancienne Des Egyptiens, Des Carthaginois, Des Assyriens, Des Babyloniens, Des Medes Et Des Perses, Des Macedoniens, Des Grecs, Volume 11, Issue 1freres Estienne, 1757 - 394 pages |
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Histoire ancienne des Egyptiens, des Carthaginois, des Assyriens ..., Volume 11 Charles Rollin No preview available - 1789 |
Common terms and phrases
affez aiant ainfi Anciens Apelle Architectes Arts Athénes auffi avoient avoit bâtimens boiffeau c'eft C'eſt C'étoit cens chant chofe Cicéron Cithare citoiens compofée confidérable Conful cùm déclamation deffein devoit différens diftingua effe efprit enfuite eſt étoient étoit faifoient faifoit faloit fans fecond fecours felon fens fentir fervir fervoient feul fiécle fimple flute foient foin foit foixante foldats fomme font fous fouvent ftatues fuccès fuite fujet gefte Grecs guerre habiles hommes inftrumens ipfa jufqu'à jufte l'art l'hiftoire laiffer lontems maniére marbre ment moien Muficiens Mufique n'avoit n'eft néceffaire Olympiade ouvrages paffer paffions paroit Peinture perfonne Périclès peuple Phidias Plin plufieurs Plutarque poéfie Polybe Polycléte Polygnote pouvoit Praxitéle prefque premiére Prince Protogéne quæ quàm Quintil raifon raport refte Rofcius Romains Rome s'eft Sculpture Sicyone tableau talens Tarquin l'Ancien temple tems Terpandre théatre tion troupes ufage vifage Vitruve vûe Zeuxis
Popular passages
Page 45 - J'ai formé le projet de donner au mont Athos la forme d'un homme qui tient en sa main gauche une grande ville et en sa droite une coupe qui reçoit les eaux de tous les fleuves qui découlent de cette montagne pour les verser dans la mer.
Page 103 - Grèce à l'envi fit autrefois à sa louange , étoit encore souillé de la terre d'où il avoit été tiré. Alors toute la compagnie comparant l'un avec l'autre, eut honte d'avoir jugé si avantageusement du premier, et convint que l'ancien paroissoit animé, et le nouveau un bloc de marbre sans expression.
Page 233 - On dit qu'il prenoit une fois plus de ceux qui venoient à lui pour apprendre à jouer de la flûte ( ou de la Cithare ) après avoir eu un autre maître.
Page 103 - Ange , qui étoit plus sincère que les grands artistes ne sont ordinairement, avoit prié instamment la comtesse Isabelle, après qu'il lui eut fait présent de son Cupidon, et qu'il eut vu l'autre, qu'on ne montrât l'ancien que le dernier, afin que les connoisseurs pussent juger en les voyant, de combien, en ces sortes d'ouvrages, les anciens l'emportent sur les modernes.
Page 148 - ... avant Jésus-Christ que la peinture sortit de sa longue enfance : Timagoras de Chalcis fut vainqueur au premier concours de peinture à Delphes; et Panéus d'Athènes, quelques années avant la guerre du Péloponèse , se plaça au premier rang des peintres de son temps par son tableau de la fameuse journée de Marathon, où les Athéniens défirent en bataille rangée toute l'armée des Perses : dans ce tableau les principaux chefs des deux armées étaient représentés de grandeur naturelle...
Page 53 - ... à peu près de la même manière que le Labyrinthe bâti par Dédale dans l'île de Crète , fi le tombeau étoit tel que Varron l'a décrit dans un pafîage que Pline raporte.
Page 222 - Après cela on le met au lit , & quand on le croit allez remis de fa première danfe , on le tire du lit par le même air pour une danfe nouvelle.
Page 177 - ... s'étant embarqué , quelque tems après la mort d'Alexandre , pour une ville de la Grèce , fut malheureufement jette par la tempête du côté d'Alexandrie , où le nouveau Roi ne lui fit aucun accueil. Outre cette mortification à laquelle il devoit s'attendre , il y trouva des envieux aflez malins pour chercher à le faire tomber dans un piège.
Page 179 - On l'accufa quelque tems après devant le prince d'avoir tramé avec Théodote la conjuration , qui avoit éclaté contre lui dans la ville de Tyr. Ce fut un autre peintre de réputation , nommé Antiphile , qui fe porta pour délateur. L'accufation n?avoit pas la moindre vraifemblance. Apelle n'avoit point été à Tyr : il n*avoit jamais vu Théodote : il n...
Page 147 - Il eft impoffible d'imiter avec les pierres & les morceaux de verre , dont les Anciens fe font fervi pour peindre en Mofaïque, toutes les beautés & tous les agrémens que le pinceau d'un habile homme met dans un tableau, où il eft maître de voiler les couleurs, & de faire fur chaque point phyfique tout ce qu'il imagine, tant par rapport aux traits que par rapport aux teintes. En effet...