Histoire de la langue française, jusqu'à la fin du xvi.e siècle

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Ernest Thorin, 1881 - French language - 534 pages
 

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Popular passages

Page 422 - Félicité passée Qui ne peux revenir : Tourment de ma pensée, Que n'ai-je, en te perdant, perdu le souvenir!
Page 537 - Recherches pour servir à l'histoire de la peinture et de la sculpture chrétiennes en Orient avant la querelle des Iconoclastes, par M.
Page 406 - H. escoule tous les jours de nos mains et depuis que je vis s'est altéré de moitié. Nous disons qu'il est à cette heure parfaict.
Page 404 - En cette practique des hommes, j'entends y comprendre, et principalement, ceux qui ne vivent qu'en la mémoire des livres. Il practiquera, par le moyen des histoires, ces grandes âmes des meilleurs siècles.
Page 371 - Assez long temps; mais il le vous rongea Souvent, et tant, qu'à la parfin tout rompt, Et le lyon de s'en aller fut prompt, Disant en soy : « Nul plaisir (en efiect) Ne se perd point quelque part où soit faict.
Page 291 - O jour trois fois heureux ! Que béni soit le Ciel qui te rend à mes vœux, Toi qui de Benjamin comme moi descendue...
Page 404 - C'est à mon gré, entre toutes, la matière à laquelle nos esprits s'appliquent de plus diverse mesure...
Page 326 - Mais ou sont les neigee d'antan ! La royne Blanche comme ung lys, Qui chantoit a voix de sereine ; Berthe au grand pied, Bietris, Allys; Harembourges, qui tint le Mayne, Et Jehanne, la bonne Lorraine, Qu'Anglois bruslerent a Rouen; Ou sont-ilz, Vierge souveraine? . . . Mais ou sont les neiges d'antan ! ENVOI.
Page 370 - Adonc le rat, sans serpe ne Cousteau, Y arriva joyeux et esbaudy, Et du lyon (pour vray) ne s'est gaudy, Mais despita chatz, chates et chatons, Et prisa fort ratz, rates et ratons. Dont il avoit trouvé temps favorable...
Page 325 - Tous mes souhaitz en les priant d'aler Oultre la mer, sans faire demourance, Et à France de me recommander. Or nous doint Dieu bonne paix sans tarder! Adonc auray loisir, mais qu'ainsi soit, De veoir France, que mon cueur amer doit. Paix est trésor qu'on ne peut trop louer, Je hé guerre, point ne la doy priser; Destourbé m'a longtemps, soit tort ou droit, De veoir France, que mon cueur amer doit.

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