Geschichte der französischen Literatur im XVII. Jahrhundert, Volume 4

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Popular passages

Page 145 - Sur tous mes frères morts se faisant un passage; Et de sang tout couvert échauffant le carnage Songe aux cris des vainqueurs, songe aux cris des mourants, Dans la flamme étouffés sous le fer expirants.
Page 276 - Maudit soit le premier dont la verve insensée Dans les bornes d'un vers renferma sa pensée, Et, donnant à ses mots une étroite prison, Voulut avec la rime enchaîner la raison ! Sans ce métier fatal au repos de ma vie, Mes jours, pleins de loisir, couleraient sans envie.
Page 248 - In right, though proud oppression will not hear me ! Priu. Have you not wrong'd me ? Jaff. Could my nature e'er Have brook'd injustice or the doing wrongs, I need not now thus low have bent myself To gain a hearing from a cruel father...
Page 146 - Son fils seul avec moi réservé pour les fers*. Mais que ne peut un fils? Je respire, je sers.
Page 169 - Errant de mers en mers, et moins roi que pirate , Conservant pour tous biens le nom de Mithridate , Apprenez que, suivi d'un nom si glorieux, Partout de l'univers j'attacherais les yeux...
Page 291 - L'on se donne à Paris, sans se parler, comme un rendez-vous public, mais fort exact, tous les soirs au Cours ou aux Tuileries, pour se regarder au visage et se désapprouver les uns les autres.
Page 294 - Le peuple n'a guère d'esprit, et les grands n'ont point d'âme : celui-là a un bon fond, et n'a point de dehors ; ceux-ci n'ont que des dehors et qu'une simple superficie. Faut-il opter ? Je ne balance pas : je veux être peuple.
Page 199 - Loin du trône nourri, de ce fatal honneur, Hélas! vous ignorez le charme empoisonneur; De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse. Bientôt ils vous diront que les plus saintes lois, Maîtresses du vil peuple^ obéissent aux rois; Qu'un roi n'a d'autre frein que sa volonté même...
Page 195 - Cependant mon amour pour notre nation A rempli ce palais de filles de Sion : Jeunes et tendres fleurs, par le sort agitées, Sous un ciel étranger comme moi transplantées. Dans un lieu séparé de profanes témoins, Je mets à les former mon étude et mes soins ; Et c'est là que, fuyant l'orgueil du diadème, Lasse de vains honneurs, et me cherchant moi-même, Aux pieds de...
Page 369 - Und der Knecht sprach: Herr, es ist geschehen, was du befohlen hast; es ist aber noch Raum da. Und der Herr sprach zu dem Knechte: Gehe aus auf die Landstraßen und an die Zäune und nöthige sie herein zu kommen, auf daß mein Haus voll werde.

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