Précis historiques: bulletin des missions belges de la Compagnie de Jésus1877 |
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... sentiments de l'Europe chrétienne et le repos général . » - Les négociations . suivent leur cours , en attendant la Conférence . La Turquie semble vouloir prendre les devants en octroyant une Constitution . 29. Nouvelle étape dans la ...
... sentiments de l'Europe chrétienne et le repos général . » - Les négociations . suivent leur cours , en attendant la Conférence . La Turquie semble vouloir prendre les devants en octroyant une Constitution . 29. Nouvelle étape dans la ...
Page 64
... sentiments les plus chrétiens , A ses derniers moments , on l'entendit répéter à plusieurs reprises : Intendo di morire cattolico , apostolico , romano et papale . Le même jour est décédé à Cannes le comte LOUIS DE MERODE . Le nom de de ...
... sentiments les plus chrétiens , A ses derniers moments , on l'entendit répéter à plusieurs reprises : Intendo di morire cattolico , apostolico , romano et papale . Le même jour est décédé à Cannes le comte LOUIS DE MERODE . Le nom de de ...
Page 89
... sentiment d'Amédée Thierry , dans l'Histoire d'Attila ; et la Chronique de saint Prosper d'Aqui- taine semble l'appuyer , quand elle nous dit qu'Aétius dut rassem- bler une armée à la hâte raptim . Ce général n'avait , en passant les ...
... sentiment d'Amédée Thierry , dans l'Histoire d'Attila ; et la Chronique de saint Prosper d'Aqui- taine semble l'appuyer , quand elle nous dit qu'Aétius dut rassem- bler une armée à la hâte raptim . Ce général n'avait , en passant les ...
Page 98
... sentiments devaient être éternels , tant ils étaient spontanés et universels . Ils se tra- duisaient en vers et en prose sur toutes les scènes de la capitale : au théâtre de la rue de Chartres , comme à l'Odéon , à l'Opéra et partout ...
... sentiments devaient être éternels , tant ils étaient spontanés et universels . Ils se tra- duisaient en vers et en prose sur toutes les scènes de la capitale : au théâtre de la rue de Chartres , comme à l'Odéon , à l'Opéra et partout ...
Page 189
... sentiment qu'il a embrassé . En adoptant cette manière de traiter son sujet et en le traitant comme il l'a fait , M. l'abbé Fouard nous a donné non pas seulement une œuvre de science , à la hauteur de tout ce que l'érudition 189.
... sentiment qu'il a embrassé . En adoptant cette manière de traiter son sujet et en le traitant comme il l'a fait , M. l'abbé Fouard nous a donné non pas seulement une œuvre de science , à la hauteur de tout ce que l'érudition 189.
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 417 - Un mal qui répand la terreur, Mal que le ciel en sa fureur Inventa pour punir les crimes de la terre, La peste (puisqu'il faut l'appeler par son nom), Capable d'enrichir en un jour l'Achéron, Faisait aux animaux la guerre.
Page 404 - Le chêne un jour dit au roseau : "Vous avez bien sujet d'accuser la nature : Un roitelet pour vous est un pesant fardeau. Le moindre vent qui d'aventure Fait rider la face de l'eau Vous oblige à baisser la tête : Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête.
Page 410 - Grippeminaud leur dit : Mes enfants, approchez, Approchez, je suis sourd, les ans en sont la cause. L'un et l'autre approcha, ne craignant nulle chose. Aussitôt qu'à portée il vit les contestants, Grippeminaud, le bon apôtre, Jetant des deux côtés la griffe en même temps, Mit les plaideurs d'accord en croquant l'un et l'autre.
Page 486 - Qu'un ami véritable est une douce chose ! Il cherche vos besoins au fond de votre cœur; II vous épargne la pudeur De les lui découvrir vous-même Un songe, un rien, tout lui fait peur Quand il s'agit de ce qu'il aime.
Page 486 - Quel plaisir at-il eu depuis qu'il est au monde ? En est-il un plus pauvre en la machine ronde ? Point de pain quelquefois, et jamais de repos.
Page 480 - J'aime le jeu, l'amour, les livres, la musique, La ville et la campagne, enfin tout ; il n'est rien Qui ne me soit souverain bien, Jusqu'au sombre plaisir d'un cœur mélancolique.
Page 482 - L'Arbre étant pris pour juge, Ce fut bien pis encore : il servait de refuge Contre le chaud, la pluie et la fureur des vents ; Pour nous seuls il ornait les jardins et les champs. L'ombrage n'était pas le seul bien q'u'il sût faire : II courbait sous les fruits. Cependant, pour salaire, Un rustre l'abattait, c'était là son loyer, Quoique, pendant tout l'an, libéral...
Page 411 - Grégoire, Que gagnez-vous par an ? — Par an ! ma foi, monsieur, Dit avec un ton de rieur Le gaillard savetier, ce n'est point ma manière De compter de la sorte ; et je n'entasse guère Un jour sur l'autre : il suffit qu'à la fin J'attrape le bout de l'année ; Chaque jour amène son pain.
Page 405 - Je définis la cour un pays où les gens, Tristes, gais, prêts à tout, à tout indifférents, Sont ce qu'il plaît au prince, ou, s'ils ne peuvent l'être, Tâchent au moins de le paraître. Peuple caméléon, peuple singe du maître ; On dirait qu'un esprit anime mille corps : C'est bien là que les gens sont de simples ressorts.
Page 407 - J'ai dévoré force moutons. Que m'avaient-ils fait? Nulle offense; Même il m'est arrivé quelquefois de manger Le berger. Je me dévouerai donc, s'il le faut; mais je pense Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi ; Car on doit souhaiter, selon toute justice, Que le plus coupable périsse.