Œuvres de Monsieur de Fontenelle: des académies, françoise, des sciences, des belles-lettres, de Londres, de Nancy, de Berlin & de Rome, Volume 11Chez B. Brunet, 1766 |
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Page 59
... aussi loin qu'il foit poffible ; mais je ne le connois pas tant fur les Ouvrages d'agrément , parce qu'ils demandent la connoiffance de la Langue dans laquelle ils font écrits.Sans doute la Pfyché de la Fontaine devenue Angloife , aura ...
... aussi loin qu'il foit poffible ; mais je ne le connois pas tant fur les Ouvrages d'agrément , parce qu'ils demandent la connoiffance de la Langue dans laquelle ils font écrits.Sans doute la Pfyché de la Fontaine devenue Angloife , aura ...
Page 86
... aussi fameux par le nombre de vos années , que vous l'êtes déja par vos talens fupérieurs ; j'y prendrai en mon particulier une part infinie , ne fouhaitant que de trouver les occa- fions de vous convaincre de ma par- faite estime ...
... aussi fameux par le nombre de vos années , que vous l'êtes déja par vos talens fupérieurs ; j'y prendrai en mon particulier une part infinie , ne fouhaitant que de trouver les occa- fions de vous convaincre de ma par- faite estime ...
Page 190
... aussi an- cienne , que l'honneur que j'ai d'être connu de vous , & le profond respect avec lequel je fuis , & c . RÉPONSE . SI j'avois pu affifter , comme je l'au- rois défiré , à votre réception , j'aurois opiné qu'on vous eût donné ...
... aussi an- cienne , que l'honneur que j'ai d'être connu de vous , & le profond respect avec lequel je fuis , & c . RÉPONSE . SI j'avois pu affifter , comme je l'au- rois défiré , à votre réception , j'aurois opiné qu'on vous eût donné ...
Page 216
... aussi vivement qu'elles le méri- tent . Je puis bien vous affurer que j'en fens tout le prix , & le fentirai tou- jours ; mais je ne l'écrirai peut - être pas auffi fouvent que je devrois , & vous avez même la bonté de me promettre de l ...
... aussi vivement qu'elles le méri- tent . Je puis bien vous affurer que j'en fens tout le prix , & le fentirai tou- jours ; mais je ne l'écrirai peut - être pas auffi fouvent que je devrois , & vous avez même la bonté de me promettre de l ...
Page 230
... Je ne vous en dirai pas davantage , Madame ; aussi- bien vous ne croirez de tout ceci que ce que votre coeur en fentira ; mais pour cette fois j'efpere bien être d'ac- cord avec lui . AVIS SUR LE MORCEAU SUIVANT . Il fut lu par 230 LETTRES.
... Je ne vous en dirai pas davantage , Madame ; aussi- bien vous ne croirez de tout ceci que ce que votre coeur en fentira ; mais pour cette fois j'efpere bien être d'ac- cord avec lui . AVIS SUR LE MORCEAU SUIVANT . Il fut lu par 230 LETTRES.
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Académie affez affurer ainfi Amours auffi auroit avez avoit bonté c'eft c'eſt c'étoit Cardinal DE FLEURY caufe ceffe chofe coeur connoiffances crois d'Iris déja Difcours dire efprit eft vrai eſt étoient étoit fans favez favoir fecret femble fens fentimens fentiment fera feroit fervir feul fieur fincere flatte foin foit font Fontenelle fouhaite foupirs fouvent Françoife ftyle fuis fuivant fujet fur-tout Géométrie grace Iris j'ai j'avois j'en j'étois jour jufqu'à l'Abbé Trublet l'Académie des Sciences l'ame des bêtes l'Amour l'efprit l'honneur là-deffus laiffe LETTRE long-temps m'en Madame de Forgeville Madame de Marfilly Madame de Tencin Mademoiſelle maniere Marquès Meffieurs ment mérite Monfieur MONSEIGNEUR n'eft n'en occafion Ouvrage paffer pareffeux paroît penfe perfonne perfuadé peut-être Philofophie plaifir plufieurs poffible préfent prefque premiere queftion raifon reconnoiffance refpect refte réponſe rien Rouen s'eft talens teffe Thomas Corneille tion Tircis Trublet voudrois ZÉPHIR