Histoire des Girondins et des massacres de septembre, Volume 1Dentu, 1860 - French Revolution, 1789-1792 (Assemblée Nationale) |
What people are saying - Write a review
We haven't found any reviews in the usual places.
Other editions - View all
Common terms and phrases
10 août adresses amis arrêté arriva assez aurait avaient avant avons Barbaroux Brissot c'était cents chose citoyens clubs comité Commune Conciergerie conduite Conseil Convention coup cour déclaration décret demande départements député dernier devant dire disait dit-il donner effet enfin faisait faubourg Fayette femme fond force forme garde nationale général gens Girondins heures Histoire hommes Ibid j'ai Jacobins jours jugement juillet juin jusqu'à l'Assemblée laisser législative lettre liberté lieu livre Louis XVI madame Roland main maire Mandat mari Marseillais Mémoires ment mille ministre mois monarchie Moniteur mort moyen municipalité n'avait n'était nommé octobre ordre parler passer patrie patriotes pendant personne Petion peuple philosophie place porte pouvait pouvoir premier présent prison projet public publique qu'un quatre Ræderer raison rapport reine reste révolution révolutionnaire rien Robespierre royale s'était séance sections sentiments septembre serait seul sort suivant tion tribunal trouve Tuileries Varenne venait Vergniaud voulait
Popular passages
Page 382 - Tremblez, tyrans, et vous, perfides. L'opprobre de tous les partis ; Tremblez ! vos projets parricides, Vont enfin recevoir leur prix ! Tout est soldat pour vous combattre ; S'ils tombent, nos jeunes héros.
Page 383 - Nous entrerons dans la carrière Quand nos aînés n'y seront plus ; Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leurs vertus ! Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil, Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre ! .... Aux armes, citoyens ! etc.
Page 382 - Amour sacré de la Patrie, Conduis, soutiens nos bras vengeurs ; Liberté, liberté chérie, Combats avec tes défenseurs : Sous nos drapeaux que la victoire Accoure à tes mâles accents ; Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire ! Aux armes, citoyens! formez vos bataillons ! Marcbons, qu'un sang impur abreuve nos sillons!
Page 381 - Français, pour nous, ah ! quel outrage ! Quels transports il doit exciter ! C'est nous qu'on ose méditer De rendre à l'antique esclavage ! Aux armes, citoyens ! etc. Quoi ! ces cohortes étrangères Feraient la loi dans nos foyers...
Page 120 - Par un reste d'indulgence, nous aurions désiré pouvoir vous demander la suspension de Louis XVI tant qu'existe le danger de la patrie; mais la Constitution s'y oppose. Louis XVI invoque sans cesse la Constitution ; nous l'invoquons à notre tour et nous demandons sa déchéance. « Cette grande mesure une fois portée, comme il est très-douteux que la nation puisse avoir confiance en la dynastie actuelle, nous demandons que des ministres...
Page 128 - Vraiment, puisqu'on crie tant sur ces fichues Lettres, je me repens bien de n'en avoir pas dit davantage. Va, va, Pascal, laisse-moi faire! tu as un chapitre sur les prophéties, où il n'ya pas l'ombre du bon sens ; attends, attends!
Page 251 - Français, disait la proclamation, n'auront pas appris sans douleur qu'une multitude égarée par quelques factieux est venue à main armée dans l'habitation du roi, a traîné du canon jusque dans la salle des Gardes, a enfoncé les portes de son appartement à coups de hache, et là, abusant...
Page 446 - ... un drapeau rouge, et en même temps les officiers municipaux requerront les chefs des gardes nationales, des troupes réglées et des maréchaussées, de prêter main-forte.
Page 78 - Ravage se lait; mais le lendemain matin , on s'aperçoit qu'on lui avait attaché à la queue un assignat de cent sous avec un petit billet où étaient écrits ces mots : On peut corrompre Ravage avec un assignat de cent sous et un paquet de pieds de mouton.
Page 205 - Tudieu ! tout Parisiens que vous êtes, vous n'y voyez pas plus loin que votre nez, ou vous manquez de vigueur pour faire marcher votre assemblée ! Ce ne sont pas nos représentants qui ont fait la révolution; à part une quinzaine, le reste est au-dessous d'elle : c'est l'opinion publique, c'est le peuple , qui va toujours bien quand cette opinion le dirige avec justesse. C'est à Paris qu'est le siége de cette opinion : achevez donc votre ouvrage, ou attendez-vous de l'arroser de votre sang.