 | Pierre Jean Georges Cabanis - Medicine - 1824 - 510 pages
...la physionomie et du geste , ou les signes de la parole et de l'écriture , manifestent au-dehors. Nous concluons, avec la même certitude, que le cerveau...considérant la sensibilité comme une faculté passive, ue conçoivent pas comment juger, raisonner, imaginer, ne peut jamais être autre chose que sentir.... | |
 | Pierre Jean Georges Cabanis - Ethics - 1824 - 600 pages
...idées que le langage de la physionomie et du geste , ou les signes de la parole et de l'écriture, manifestent au dehors. Nous concluons avec la même...qu'il fait organiquement la sécrétion de la pensée (i). (i) INou.s voici à la proposition qui a donné le plus de prise contre Cabanis. Examinons. Il... | |
 | Authors - 1824 - 514 pages
...idées que le langage de la physiono« mie et du geste, ou les signes de la parole et de « l'écriture manifestent au dehors. Nous concluons , « avec la...digère en « quelque sorte les impressions ; qu'il fait organi« quement la sécrétion de la pensée. » Je prie le lecteur de ne pas se laisser séduire... | |
 | Louis Auguste Delalle - Theology - 1838 - 546 pages
...agit sur elles, et bientôt .»les renvoie métamorphosées en idées; d'où nous pouvons con» dure, avec la même certitude, que le cerveau digère en quelque » sorte les impressions, et fait organiquement la sécrétion de la » pensée '. » Messieurs, il ya dans ce langage autant... | |
 | Pierre Jean Georges Cabanis - Mind and body - 1844 - 794 pages
...idées , que le langage de la physionomie et du geste ou les signes de la parole et de l'écriture manifestent au dehors. Nous concluons avec la même...qu'il fait organiquement la sécrétion de la pensée (1). (I) Cette phrase est restée célèbre. Nous nous croyons dispensé de réfuter une théorie qui... | |
 | Pierre J. G. Cabinis - 1844 - 792 pages
...idées , que le langage de la physionomie et du geste ou les signes de la parole et de l'écriture manifestent au dehors. Nous concluons avec la même...qu'il fait organiquement la sécrétion de la pensée (1). (I) Cette phrase est restée célèbre. Noua nous croyons dispensé de réfuter une théorie qui... | |
 | Denis Frayssinous - Apologetics - 1846 - 486 pages
...sur elles, et bientôt les renvoie métamorpho» sées en idées ; d'où nous pouvons conclure , » avec la même certitude, que le cerveau digère » en quelque sorte les impressions , et fait or» ganiquement la sécrétion de la pensée (1). » Messieurs, il ya dans ce langage autant... | |
 | Louis Auguste Delalle (bp. of Rodez.) - 1848 - 570 pages
...agit sur elles, et bientôt » les renvoie métamorphosées en idées ; d'où nous pouvons con» dure, avec la même certitude, que le cerveau digère en quelque » sorte les impressions, et fait organiquement la sécrétion de la » pensée '. » Messieurs, il ya dans ce langage autant... | |
 | Michel Nicolas - Philosophy - 1849 - 350 pages
...physionomie et du geste , ou les signes de la » parole et de l'écriture manifestent au-dehors. » Nous concluons avec la même certitude , que » le cerveau digère en quelque sorte les impres» sions, qu'il fait organiquement de la sécrétion » la pensée (1). » De Locke à Cabanis,... | |
 | Michel Nicolas - Philosophy - 1849 - 344 pages
...physionomie et du geste , ou les signes de la » parole et de l'écriture manifestent au-dehors. » Nous concluons avec la même certitude , que » le cerveau digère en quelque sorte les impres» sions, qu'il fait organiquement de la sécrétion » la pensée (1). » De Locke h Cabanis... | |
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... cerveau par l'entremise des nerfs-, elles sont « alors isolées et sans cohérence. Le viscère entre en action , il agit sur « elles, et bientôt il les renvoie métamorphosées en idées que le langage «de la physionomie et du geste, ou les signes... 
