Oeuvres choisies d'Antoine-Pierre-Augustin de Piis, Volume 3de l'imprimerie de Brasseur Ainé., 1810 |
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Adieu AGLAÉ aime Alain Allons amour aumusse BAILLI BAYARD Béatrix belle bouquet BOURGUIGNON c'te CAROLINE chante CHARLOTTE charmante château cher cheux chevalier Bayard CHOEUR CHRISTINE cœur courage COURTOIS cousin danse DÉESSES RIVALES demain DESGRAIS dire DOMINIQUE doux drès Ecoute enfans époux est-ce êtes étrier femme fille François Ier frère gn'ya hélas heureux IRIS j'ai j'aime j'allons j'en j'ons JACQUOT ET MICHELETTE Jeannette JULIE JUNON l'Amour LAPIERRE m'en madame main maman MARGUERITE MARQUIS MAURICE meunière MICHEL ET JACQUELINE Minerve Mme DE VIEUX-BOIS Mme GERVAIS Mme LA DUCHESSE Monseigneur monsieur mont Ida moulin n'en peux opéra-comique p'tit panier Pâris pauvre PAYSANS PETIT JEAN PETIT-JEAN peux pas revenir Piis plaisir pomme PRÉCÉDENS Propiac qu'i queuque r'tourne rien ROBERT Rose s'ra SANTEUIL SAVOYARDES SCÈNE VII sera seul SIMONET sœur tendre THÉRÈSE tron v'là vais Vaudeville Vénus veux VICTOR Viendra-t-elle village voilà vois
Popular passages
Page iv - LB lundi 28 juillet 1788 on a représenté pour la première fois les trois Déesses Rivales , ou le Double Jugement de Pâris, divertissement en un acte et en vers , mêlé de musique et de danse ; par M. de Piis , musique de M. de Propiac. Le second titre de cet ouvrage annonce que M. de Piis a changé quelque chose au trait mythologique qui en fait le sujet. Il a excité la curiosité, et il a attiré au Théâtre Italien une grande affluence.
Page 7 - C'est dans cet espoir que je continuerai, MONSEIGNEUR, à vous faire part de mes essais dramatiques : cette liberté-là vous m'avez autorisé à la prendre en me permettant de publier ma Fausse Paysanne sous vos auspices; aussi rien n'égale-t-il ma gratitude à cet égard, si ce n'est le respect avec lequel je suis, MONSEIGNEUR, Votre très-humble et trèsobéissant serviteur. DE pua LE MARQUIS DE SOLANGES, cousin de Julie. Mme DE VIEUX-BOIS, tante de Julie et du Marquis. JULIE DE SAINT-CLAIRE....
Page xiii - D'ailleurs le poète est de très-mauvaise humeur; il sort du sermon d'un de ses amis qui a manqué de mémoire dès l'exorde : ce n'est pas le sermon qu'il regrette, mais bien la collation qui devait le suivre s'il eût été achevé. Quand il apprend que Dominique est comédien, c'est bien pis encore; il entre en fureur, et le chasse en lui reprochant la vie de ses pareils ; il les accuse d'aimer le jeu, la fillette et le carafon. Dominique promet de se venger. Le portier du couvent, à qui la...
Page xiv - Par où voulez-vous que je commence? demande Santeuil. Eh! répond la fausse pénitente, par les sept péchés capitaux. Et voilà qu'elle lui fait toute la confession d'Arlequin, qui ne laisse pas que de paraître étrange dans la bouche d'une femme. Santeuil lui saisit la main et la baise. Elle se fâche , et le menace d'aller le dire au prieur. Faites cela, lui répond-il, moi j'irai le dire à votre mari. Il rentre dans sa chambre; mais Arlequin y entre en...
Page 153 - Savoyardes ou la Continence de Bayard, comédie en un acte, en prose, mêlée d'ariettes (mai 1789). Cette pièce fut assez fraichement accueillie à sa première représentation. » On en peut attribuer la cause au personnage de Bayard, écrit un journaliste...
Page 341 - EN UN ACTE, Représenté pour la première fois sur le théâtre des Troubadour» le 17 ventôse an 8 (mars 1799.) PERSONNAGES.