Jean Louis: ou La fille trouvée, Volume 2, Parts 3-4Hubert, 1822 |
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... . --- - Mon enfant , répondit le père Granivel , j'ai compté sur ta discré- tion et ta sagesse ; nous allons ren- trer par la barrière d'Enfer ; je te con- duirai au couvent des Ursulines , où j'ai annoncé que JEAN LOUIS . 243.
... . --- - Mon enfant , répondit le père Granivel , j'ai compté sur ta discré- tion et ta sagesse ; nous allons ren- trer par la barrière d'Enfer ; je te con- duirai au couvent des Ursulines , où j'ai annoncé que JEAN LOUIS . 243.
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ou La fille trouvée Honoré de Balzac. duirai au couvent des Ursulines , où j'ai annoncé que je t'amènerais ; songe à ne jamais parler de ta famille , et à garder le silence sur ton nom . Tu es désormais la sœur Marie , fille na- turelle ...
ou La fille trouvée Honoré de Balzac. duirai au couvent des Ursulines , où j'ai annoncé que je t'amènerais ; songe à ne jamais parler de ta famille , et à garder le silence sur ton nom . Tu es désormais la sœur Marie , fille na- turelle ...
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... Ursulines ; et le père Granivel , après l'avoir confiée aux soins de l'abbesse , se réfugia dans sa forêt , où il défia le pouvoir et ses alguazils de le trouver . FIN DU TROISIÈME VOLUME . JEAN LOUIS , OU LA FILLE TROUVÉE . IV . JEAN ...
... Ursulines ; et le père Granivel , après l'avoir confiée aux soins de l'abbesse , se réfugia dans sa forêt , où il défia le pouvoir et ses alguazils de le trouver . FIN DU TROISIÈME VOLUME . JEAN LOUIS , OU LA FILLE TROUVÉE . IV . JEAN ...
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ou La fille trouvée Honoré de Balzac. duirai au couvent des Ursulines, où j'ai annoncé que je t'amènerais; songe à ne jamais parler de ta famille, et à garder le silence sur ton nom. Tu es désormais la sœur Marie, fille naturelle de M ...
ou La fille trouvée Honoré de Balzac. duirai au couvent des Ursulines, où j'ai annoncé que je t'amènerais; songe à ne jamais parler de ta famille, et à garder le silence sur ton nom. Tu es désormais la sœur Marie, fille naturelle de M ...
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... Ursulines , et se remirent de leurs fatigues en dormant du sommeil des justes ! ... Je faux , car Jean Louis ne ferma pas l'oeil , et re- garda toute la nuit le portail du cou- vent qui contenait sa bien - aimée , et Jean il forma cent ...
... Ursulines , et se remirent de leurs fatigues en dormant du sommeil des justes ! ... Je faux , car Jean Louis ne ferma pas l'oeil , et re- garda toute la nuit le portail du cou- vent qui contenait sa bien - aimée , et Jean il forma cent ...
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Common terms and phrases
Adieu aimé alguazils amant amour arrive Bastille bonheur bras bruit cent chère chose clerc cœur colonel Conciergerie Courot Courottin cousine couvent cria deuil devant Dieu dire discours dit-il douce duc de Parthenay Duroc Enfin époux Ernes Ernestine Fanchette femme frère Hélas heures homme j'ai jamais joie jolie jour Justine l'Américain l'amour l'avocat l'hôtel de Parthenay l'oncle Barnabé laisse larmes lecteur Léo Léonie de Parthenay long-temps madame mademoiselle de Parthenay Maïco main malheur marquis de Vandeuil marquise ment messieurs monseigneur monsieur Granivel mort n'ai nabé neveu oncle os frontal parler Parthe pauvre pense père Granivel philosophie Plaidanon pleurant poison prit Pyrrhon pyrrhonien regard répondit reprit reste rhonien rien rottin s'écria Jean Louis s'écrie sais sera seul silence sort soubrette sourire thenay tion Ursulines vais valet veux vieillard voilà voix yeux сс כג ככ כל כל
Popular passages
Page 158 - Mais elle était du monde où les plus belles choses Ont le pire destin, Et, rosé, elle a vécu ce que vivent les rosés, L'espace d'un matin.
Page 122 - Jean-Louis fit pour se déterminer si promptement à s'exiler du beau pays de France : nous venons d'exposer cependant que ce fut dans l'espoir de se rendre digne d'épouser sa charmante maîtresse, en faisant disparaître la barrière idéale que la société élevait entre eux. Si vous y voyez d'autres raisons, cherchez-les... Je déclare, à la face du ciel et de la terre, que je m'en tiens à celle que j'ai trouvée dans nos manuscrits... Or, faites tourner bride à votre imagination, et figurez-vous...
Page 138 - Jupin pour chaque état mit deux tables au monde. L'adroit, le vigilant, et le fort sont assis A la première; et les petits Mangent leur reéte à la seconde. LA PERDRIX ET LES COQS L ARMI de certains coqs incivils, peu galants, Toujours en noise et turbulents, Une perdrix était nourrie. Son sexe et l'hospitalité...
Page 153 - Paris dans vingt-quatre heures. Comme les vingt-quatre heures allaient expirer, la majorité de la Convention, qui depuis long-temps se laissait dominer par une douzaine de misérables, trembla pour elle, et la peur lui donna ce qui lui manquait, je veux dire du courage. Elle parla, cria, menaça, tempêta, et finit par mettre hors la loi ses tyrans et les nôtres. Le peuple, loin de faire un pas pour défendre les scélérats qu'on croyait redoutables, montra, par sa joie approbative, combien de...
Page 143 - Le pyrrhonien, brûlé du desir de pérorer en public, avait tant fait et tant dit, qu'il parvint à entrer à la constituante, aidé par son nom déjà célèbre et par celui de son neveu. Le père Granivel, dont les goûts étaient plus tranquilles, ne s'occupa que du soin d'agrandir une fortune déjà fort honnête; il acheta, vendit, racheta et revendit, tant et si bien, qu'il se trouva en quelques années possesseur d'immenses richesses. Ce bonhomme aimait les choses solides ; aussi fit-il de...
Page 63 - Que devant l'or tout s'abaisse et tout tremble ! Tout est soumis, tout cède à ce métal ; Un homme eût-il tous les défauts ensemble...
Page 39 - Mais , ma chère , dit madame de Vandeuil , vous êtes donc philosophe?... — Je tâche d'être juste , et de voir clair moralement. — C'est beau, s'écria La Harpe, étonné de l'expression , en sa qualité de critique. — C'est mieux, répondit-elle, car c'est bien. — Et comment avez-vous trouvé !a cour?
Page 156 - Et que dans une âme vulgaire Jette l'épreuve des revers ; Fais tête au malheur qui t'opprime : Qu'une espérance légitime Te munisse contre le sort. L'air siffle , une horrible tempête Aujourd'hui gronde sur ta tête; Demain tu seras dans le port. Toujours la mer n'est pas en butte Aux ravages des aquilons; Toujours les torrents par leur chute Ne désolent pas nos vallons.
Page 52 - ... augmente l'effervescence ; on ne doute plus du triomphe, le délire est au comble. Ce fut un spectacle magnifique que celui de l'arrivée de cette masse populaire devant la Bastille : chaque visage jaune ou rouge, pâle ou brillant de santé, jeune ou vieux, exprima la haine de l'arbitraire ; chaque oeil mesura les murs épais qui recelaient les victimes des grands, et jusque dans leurs cachots retentit une clameur prolongée : ... Liberté l...
Page 123 - ... terrible. Le duc est grand seigneur, mais les grands seigneurs commencent à n'être plus en odeur de sainteté. Jean-Louis est vilain, mais les vilains lèvent la tête; ils sont cent contre un, et ils ont en conséquence des bras, des jambes, et des têtes à perdre, cent fois plus que la noblesse. Chaque gentilhomme veut conserver; mais chaque roturier veut acquérir. La lutte ne peut être douteuse. Ces réflexions mélancoliques, que Courottin faisait in petto, refroidirent considérablement...