Histoire de la peinture flamande et hollandaise, Volume 1 |
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... nations de produits trop nombreux , il faut remercier le destin , lorsque , au milieu de ses expéditions intellectuelles , on débarque sur une terre vierge que n'a point appauvrie une longue oc- cupation , que la présence de la foule n ...
... nations de produits trop nombreux , il faut remercier le destin , lorsque , au milieu de ses expéditions intellectuelles , on débarque sur une terre vierge que n'a point appauvrie une longue oc- cupation , que la présence de la foule n ...
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... nations voisines ont donc négligé , délaissé l'histoire de la peinture flamande , quoique les tableaux eux - mêmes continuassent d'obtenir les plus glo- rieux éloges . Un autre motif s'opposait à ce qu'on en rédigeât les an- nales : l ...
... nations voisines ont donc négligé , délaissé l'histoire de la peinture flamande , quoique les tableaux eux - mêmes continuassent d'obtenir les plus glo- rieux éloges . Un autre motif s'opposait à ce qu'on en rédigeât les an- nales : l ...
Page 67
... nation comme de vivantes églogues . La grille en fer ouvrage porte habituellement les noms de fantaisie donnés à ces bucoliques séjours . Ils s'ac cordent supérieurement avec les objets qu'ils dési- gnent : Belle - vue , Paix des champs ...
... nation comme de vivantes églogues . La grille en fer ouvrage porte habituellement les noms de fantaisie donnés à ces bucoliques séjours . Ils s'ac cordent supérieurement avec les objets qu'ils dési- gnent : Belle - vue , Paix des champs ...
Page 71
... nations vers l'industrie ou les conquêtes . « Il faut bien , dit Montesquieu , qu'ils se procurent ce que le terrain leur refuse . La fertilité d'un pays , ajoute - t - il , donne , avec l'aisance , la mollesse et un certain amour pour ...
... nations vers l'industrie ou les conquêtes . « Il faut bien , dit Montesquieu , qu'ils se procurent ce que le terrain leur refuse . La fertilité d'un pays , ajoute - t - il , donne , avec l'aisance , la mollesse et un certain amour pour ...
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... nations destructrices font des maux qui durent plus qu'elles , il y a des nations industrieuses qui font des biens qui ne finissent pas même avec elles . » Le sol qu'un peuple habite possède , on le voit , une double causalité , par sa ...
... nations destructrices font des maux qui durent plus qu'elles , il y a des nations industrieuses qui font des biens qui ne finissent pas même avec elles . » Le sol qu'un peuple habite possède , on le voit , une double causalité , par sa ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 71 - LA stérilité des terres rend les hommes industrieux, sobres , endurcis au travail , courageux , propres à la guerre ; il faut bien qu'ils se procurent ce que le terrain leur refuse. La fertilité d'un pays donne, avec l'aisance, la mollesse, et un certain amour pour la conservation de la vie.
Page 159 - Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais en autant de parcelles qu'il se pourrait et qu'il serait requis pour les mieux résoudre. Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus, aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés, et supposant même de l'ordre entre ceux qui ne se précèdent point naturellement les uns les autres.
Page 320 - J'ai connu un commis des bureaux de Versailles, né avec beaucoup d'esprit, qui disait : « Je suis bien malheureux, je n'ai pas le temps d'avoir du goût » Dans une ville telle que Paris, peuplée de plus de six cent mille personnes, je ne crois pas qu'il y en ait trois mille qui aient le goût des beaux-arts. Qu'on représente un chef-d'œuvre dramatique, ce qui est si rare, et qui doit l'être, on dit : Tout Paris est enchanté ; mais on en imprime trois mille exemplaires tout au plus. Parcourez...
Page 24 - ... cardinaux. Malheureusement l'art était alors en décadence; il tombait plus bas tous les jours , le mauvais goût et la recherche le précipitaient loin de ces hautes régions où planent les sveltes fées de l'idéal. Un manque absolu de naturel dans la forme et dans l'expression, la vigueur hyperbolique des muscles, les postures étranges des corps, le jeu affecté de la lumière prenaient peu à peu la place du beau et du vrai; la foule ne s'enthousiasmait que pour un vain éclat, pour une...
Page 7 - Entre deux de ses enfants qui se tracassent, c'est moi qu'elle regarde. Celui qui pleure, si c'est du poids de l'énorme tête que vous lui avez faite, il a raison. On dit que vous vous mêlez de littérature* ; Dieu veuille que vous soyez meilleur en belles-lettres qu'en peinture ! Si vous avez la manie d'écrire, écrivez en prose, en vers, comme il vous plaira ; mais ne peignez pas ; ou si, par délassement, vous passez d'une muse à l'autre, mettez les productions de celle-ci dans votre cabinet...
Page 154 - ... dans la mobilité des idées de l'intelligence humaine. Tous les changements qui s'opèrent dans la condition de l'homme,, toutes les transformations qu'elle a subies , dérivent...
Page 219 - ... qu'on ne doit pas mettre la main aux ouvrages de la commune, si l'on n'a pas le projet de les faire correspondre à la grande âme que composent les âmes de tous les citoyens unis dans une même volonté.
Page 22 - ... et montait si vite que l'on eut à craindre sérieusement une seconde édition du déluge. Beaucoup de pièces suivirent celle-là , toutes écrites par Van Mander: l'histoire de Nabuchodonosor , le jugement de Salomon et divers autres récits bibliques lui en fournirent les sujets. Le plus brillant de tous ces drames montra aux spectateurs la reine de Saba, visitant le roi des juifs; on le mit en scène durant la pentecôte; des chameaux , plusieurs bêtes non moins rares et cinquante acteurs...
Page 39 - On a écrit les révolutions des empires ; comment n'at-on jamais pensé à écrire les révolutions des arts, à chercher dans la nature les causes physiques et morales de leur naissance, de leur accroissement, de leur splendeur et de leur décadence? Nous allons en faire l'essai sur la partie la plus brillante de la...
Page 130 - De même, l'homme qui ne peut gouverner ses passions ni les contenir par crainte des lois, quoique excusable à cause de l'infirmité de sa nature, ne peut cependant jouir de la paix de l'âme ni de la connaissance et de l'amour de Dieu, et il est nécessaire qu'il périsse.