Histoire parlementaire de la révolution française: ou, Journal des assemblées nationales, depuis 1789 jusqu'en 1815, Volumes 33-34Paulin, 1837 - France |
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... publique , on ne voit rien qui autorise l'affreuse réputation qu'on lui a faite . Mais , après la loi dont il s'agit , tout le mal que l'on a dit semble justifié . En effet , tous les usages , tous les principes de la justice y sont mis ...
... publique , on ne voit rien qui autorise l'affreuse réputation qu'on lui a faite . Mais , après la loi dont il s'agit , tout le mal que l'on a dit semble justifié . En effet , tous les usages , tous les principes de la justice y sont mis ...
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... publique par la majorité conventionnelle . Ainsi , lors du renouvellement du comité de salut public , après le 31 mai , il n'en fit point d'abord partie . Ce ne fut que le 27 juillet qu'il y entra en remplacement de Gasparin . Il ...
... publique par la majorité conventionnelle . Ainsi , lors du renouvellement du comité de salut public , après le 31 mai , il n'en fit point d'abord partie . Ce ne fut que le 27 juillet qu'il y entra en remplacement de Gasparin . Il ...
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... publique , sinon à demander un second 31 mai contre la partie corrompue de la Convention , du moins à l'approuver et l'appuyer lorsque ses amis et lui en donneraient le signal . Un tel système ne pouvait avoir qu'une fâcheuse issue . La ...
... publique , sinon à demander un second 31 mai contre la partie corrompue de la Convention , du moins à l'approuver et l'appuyer lorsque ses amis et lui en donneraient le signal . Un tel système ne pouvait avoir qu'une fâcheuse issue . La ...
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... publique ; si la République française doit fonder son indépendance sur la charrue et ses productions , nous devons prouver aujourd'hui que l'intérêt du législateur est de fa- voriser les cultivateurs avant toutes les classes oiseuses de ...
... publique ; si la République française doit fonder son indépendance sur la charrue et ses productions , nous devons prouver aujourd'hui que l'intérêt du législateur est de fa- voriser les cultivateurs avant toutes les classes oiseuses de ...
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... publique pour être maître et pour être avare ; le moine créa des hôpitaux pour envahir des successions et pour dominer par les suites mêmes de la reconnaissance ; le despo- tisme seconda ces pieuses usurpations , et joignit les ...
... publique pour être maître et pour être avare ; le moine créa des hôpitaux pour envahir des successions et pour dominer par les suites mêmes de la reconnaissance ; le despo- tisme seconda ces pieuses usurpations , et joignit les ...
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Common terms and phrases
22 prairial 9 thermidor accusés agens amis anglais applaudit armées arrêté assassins attaquer Autrichiens avaient Barrère Billaud Billaud-Varennes Bourdon de l'Oise calomnie Chaumette ci-devant Clairfait club des Jacobins Collot Collot-d'Herbois comité de salut comité de sûreté comité révolutionnaire commissaire Commune complices conseil général conspirateurs contre-révolutionnaires Convention nationale Couthon crime Danton décret défenseurs demande dénoncer départemens députation despotisme discours district division enfans ennemis factions floréal force Fouché fripons gouvernement révolutionnaire Hanriot Hébert heures hommes j'ai Jacobins justice l'accusateur l'aristocratie l'armée l'école de Mars l'ennemi Léonard Bourdon liberté Lignes raturées loi de prairial membres du comité ment mère de Dieu messidor Note des auteurs opprimés patrie patriotes perfides poste présent président principes publique rapport représentans du peuple représentation nationale républicains République révolution Robespierre Saint-Just salut public sauver scélérats séance sect section sera seul société sûreté générale Tallien tion toyens traîtres tribunal révolutionnaire tribune tyrans Vadier vertu Vifs applaudissemens
Popular passages
Page 184 - ne pourront juger en moindre nombre que celui de sept. » 4. Le tribunal révolutionnaire est institué pour punir les ennemis du peuple. > 5. Les ennemis du peuple sont ceux qui cherchent à anéantir la liberté publique, soit par la force, soit par la ruse. » 6. Sont réputés ennemis du peuple ceux qui auront provoqué le
Page 184 - 7. La peine portée contre tous les délits dont la connaissance appartient au tribunal révolutionnaire, est la mort. » 8. La preuve nécessaire pour condamner les ennemis du peuple, est toute espèce de documens, soit matérielle, soit morale, soit verbale, soit écrite, qui peut naturellement obtenir
Page 184 - 9. Tout citoyen a le droit de saisir et de traduire devant les magistrats les conspirateurs et les contre-révolutionnaires. Il est tenu de les dénoncer dès qu'il les connaît. • 10. Nul ne pourra traduire personne au tribunal révolutionnaire , si ce n'est la Convention nationale, le comité de salut public, le comité de
Page 103 - thermidor), portant nomination des membres et jurés du tribunal révolutionnaire. « La Convention nationale, après avoir entendu le rapport de ses comités de salut public, de sûreté générale et de législation, décrète : » Art. 1". Les fonctions de membres et de jurés du tribunal
Page 184 - de tout esprit juste et raisonnable. La règle des jugemens, est la conscience des jurés éclairés par l'amour de la patrie; leur but, le triomphe de la République et la ruine de ses ennemis; la procédure, les moyens simples que le
Page 446 - Ce discours que vous venez d'entendre, leur dit-il. est mon testament de mort. Je l'ai vu aujourd'hui ; la ligue des méchants est tellement forte que je ne puis pas espérer de lui échapper. Je succombe sans regret ; je vous laisse ma mémoire ; elle vous sera chère, et vous la défendrez.
Page 435 - l'examen le plus réfléchi des comités. Je demande donc qu'il leur soit renvoyé. > Robespierre. « Quoi ! j'aurai eu le courage de venir déposer dans le sein de la Convention des vérités que je crois nécessaires au salut de la patrie, et l'on renverrait mon discours à l'examen des membres que j'accuse !
Page 405 - les lieux publics propageaient chaque jour ce système ; il y en avait dans le lieu des séances du tribunal révolutionnaire, dans les lieux où les ennemis de la patrie expient leurs forfaits; ils disaient : Voilà des malheureux condamnés; qui est-ce qui en est la cause? Robespierre. On s'est attaché particulièrement à
Page 74 - président du tribunal révolutionnaire, établi à Paris par la loi du 10 mars 1793, sans aucun recours au tribunal de cassation, et encore en vertu des pouvoirs délégués au tribunal par la loi du 5 avril de la même année, assisté de F. Girard, de qui nous avons reçu serment de
Page 122 - Plus ils se dépêchent de terminer ma carrière ici-bas, plus je veux me hâter de la remplir d'actions utiles au bonheur de mes semblables. Je leur laisserai du moins un testament dont la lecture fera frémir les tyrans et tous leurs complices. Je révélerai peut-être des secrets redoutables qu'une sorte de prudence pusillanime m'aurait déterminé à voiler.