Les écrivains français: leur vie et leurs oeuvres, ou, Histoire de la littérature française |
From inside the book
Results 1-5 of 100
Page 18
... dans le monde nouveau des idées ; avec André Chénier dans le monde nouveau de la poésie . Notre siècle n'aura - t - il pas aussi à nous fournir un grand théâtre de faits littéraires ; parlons d'abord des morts : 18 INTRODUCTION .
... dans le monde nouveau des idées ; avec André Chénier dans le monde nouveau de la poésie . Notre siècle n'aura - t - il pas aussi à nous fournir un grand théâtre de faits littéraires ; parlons d'abord des morts : 18 INTRODUCTION .
Page 19
... théâtre de faits littéraires ; parlons d'abord des morts : Madame de Staël , Chateaubriand , Benjamin Constant , La- mennais , Béranger , Casimir Delavigne , Charles Nodier , Paul - Louis Courrier , Honoré Balzac , Alfred de Musset ...
... théâtre de faits littéraires ; parlons d'abord des morts : Madame de Staël , Chateaubriand , Benjamin Constant , La- mennais , Béranger , Casimir Delavigne , Charles Nodier , Paul - Louis Courrier , Honoré Balzac , Alfred de Musset ...
Page 24
... théâtre de son occupation et de ses conquêtes . Les Celtes ou Gaulois ont planté dans l'ancien terri- toire des Gaules l'idiome celtique ; les Romains y ont greffé la langue latine ; les Francs y ont déposé le lan- gage tudesque ou ...
... théâtre de son occupation et de ses conquêtes . Les Celtes ou Gaulois ont planté dans l'ancien terri- toire des Gaules l'idiome celtique ; les Romains y ont greffé la langue latine ; les Francs y ont déposé le lan- gage tudesque ou ...
Page 25
... théâtre de leurs con- quêtes ; mais il est plus facile de soumettre les hommes par les armes que de les asservir à la forme de leurs idées , surtout quand on est barbare et qu'on n'a soi- même d'autre supériorité que celle de la force ...
... théâtre de leurs con- quêtes ; mais il est plus facile de soumettre les hommes par les armes que de les asservir à la forme de leurs idées , surtout quand on est barbare et qu'on n'a soi- même d'autre supériorité que celle de la force ...
Page 56
... même qu'il les ignore . Assimilé à l'existence des princes et des seigneurs dont il était l'hôte , l'ami , le familier , il n'a peint que le côté 1 I brillant du moyen âge . Simple spectateur au théâtre du 56 ! XIVE SIÈCLE .
... même qu'il les ignore . Assimilé à l'existence des princes et des seigneurs dont il était l'hôte , l'ami , le familier , il n'a peint que le côté 1 I brillant du moyen âge . Simple spectateur au théâtre du 56 ! XIVE SIÈCLE .
Other editions - View all
Les Ecrivains Francais: Leur Vie Et Leurs Oeuvres, Ou, Histoire de la ... P. Barrere No preview available - 2013 |
Les Écrivains Français: Leur Vie Et Leurs OEuvres, ou Histoire de la ... P. Barrère No preview available - 2018 |
Common terms and phrases
admirable aimait ALCESTE amour auteurs beau Bellay Blaise Pascal Boileau Bossuet c'était Calvin caractère chants chose Clément Marot cœur comédie comédiens Commines Corneille cour critique Despréaux devait Dieu dire dit-il donner écrit écrivains esprit fable femme Fénelon fille Fontaine française François Ier Froissart Genest génie gloire goût homme humaine idées j'ai Jean Racine Jésuites jeune jeunesse Joachim du Bellay jour jugement l'art l'auteur l'Église l'esprit l'histoire laissé langue latin lettres littéraire littérature livre Louis XIV lui-même madame de Maintenon madame de Sévigné madame Guyon maître Malherbe Marot Massillon Mathurin Régnier ment mœurs Molière monde monsieur Montaigne mort mourut n'avait n'était naquit ORONTE parle Pascal passer passion pauvre pensée père philosophie pièce poëme poésie poëte Port-Royal pourtant premier prince Rabelais Racine raison religieuses rien Roman Ronsard saint satire scène seigneur sentiment seul sorte style succès sujet surtout Tartufe théâtre tion tragédie trouve Voltaire XVIIe siècle
Popular passages
Page 244 - L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser; une vapeur, une goutte d'eau suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Page 243 - Que l'homme contemple donc la nature entière dans sa haute et pleine majesté; qu'il éloigne sa vue des objets bas qui l'environnent. Qu'il regarde cette éclatante lumière, mise comme une lampe éternelle pour éclairer l'univers; que la terre lui paraisse comme un point au prix du vaste tour que cet astre décrit et qu'il s'étonna de ce que ce vaste tour lui-même n'est qu'une pointe très délicate à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent.
Page 445 - ... laissait rien à la fortune de ce qu'il pouvait lui ôter par conseil et par prévoyance; mais au reste si vigilant et si prêt à tout, qu'il n'a jamais manqué les occasions qu'elle lui a présentées; enfin un de ces esprits remuants et audacieux qui semblent être nés pour changer le monde.
Page 299 - Cependant, sur le dos de la plaine liquide, S'élève à gros bouillons une montagne humide ; L'onde approche, se brise, et vomit à nos yeux, Parmi des flots d'écume, un monstre furieux.
Page 286 - Grâce aux dieux! Mon malheur passe mon espérance. Oui, je te loue, ô ciel! de ta persévérance. Appliqué sans relâche au soin de me punir, Au comble des douleurs tu m'as fait parvenir.
Page 298 - Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler.
Page 358 - Moquons-nous donc de cette chicane où ils veulent assujettir le goût du public, et ne consultons dans une comédie que l'effet qu'elle fait sur nous. Laissons-nous aller de bonne foi aux choses qui nous prennent par les entrailles, et ne cherchons point de raisonnements pour nous empêcher d'avoir du plaisir.
Page 372 - Si le roi m'avait donné Paris sa grand' ville, Et qu'il me fallût quitter L'amour de ma mie; Je dirais au roi Henri : Reprenez votre Paris, J'aime mieux ma mie, au gué, J'aime mieux ma mie.
Page 420 - Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage ? Dit cet animal plein de rage : Tu seras châtié de ta témérité. - Sire, répond l'agneau, que Votre Majesté Ne se mette pas en colère ; Mais plutôt qu'elle considère Que je me vas désaltérant Dans le courant, Plus de vingt pas au-dessous d'Elle, Et que par conséquent, en aucune façon, Je ne puis troubler sa boisson.
Page 243 - Mais si notre vue s'arrête là, que l'imagination passe outre: elle se lassera plutôt de concevoir que la nature de fournir.