Les écrivains français: leur vie et leurs oeuvres, ou, Histoire de la littérature française |
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... faisait pour relever cette langue devait donc tourner au profit de la domination factice et violente qu'il avait imposée à la plus grande partie de l'Europe . Son édifice politique à deux têtes avait besoin d'être couronné par l'unité d ...
... faisait pour relever cette langue devait donc tourner au profit de la domination factice et violente qu'il avait imposée à la plus grande partie de l'Europe . Son édifice politique à deux têtes avait besoin d'être couronné par l'unité d ...
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... faisait partie d'un ordre de choses auquel Charle- magne comptait bien superposer son génie , l'autorité sans limites de son vaste empire et la majesté renais- sante des formes latines . En cela pourtant il se trompait . Ce qu'il ...
... faisait partie d'un ordre de choses auquel Charle- magne comptait bien superposer son génie , l'autorité sans limites de son vaste empire et la majesté renais- sante des formes latines . En cela pourtant il se trompait . Ce qu'il ...
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... faisait d'ordinaire les frais . Le plang était une complainte composée de grands vers . Le tenson était un dialogue dans lequel deux interlo- cuteurs défendaient , tour à tour , par couplets de même mesure et en rimes semblables , leurs ...
... faisait d'ordinaire les frais . Le plang était une complainte composée de grands vers . Le tenson était un dialogue dans lequel deux interlo- cuteurs défendaient , tour à tour , par couplets de même mesure et en rimes semblables , leurs ...
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... faisait un mauvais curé . La curio- sité qui était le trait dominant de son caractère , l'insa- tiable désir de rechercher les divers princes du monde , leurs cours , leurs fêtes , leurs tournois , l'histoire des châteaux , tout l ...
... faisait un mauvais curé . La curio- sité qui était le trait dominant de son caractère , l'insa- tiable désir de rechercher les divers princes du monde , leurs cours , leurs fêtes , leurs tournois , l'histoire des châteaux , tout l ...
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... faisait rude guerre ; c'étaient des larcins de rôts , de pâtés et de re- liefs de volailles ; mais , un vol plus considérable le fit condamner à être pendu avec cinq de ses compagnons . Tout en avouant que le jeu ne lui plaisait pas ...
... faisait rude guerre ; c'étaient des larcins de rôts , de pâtés et de re- liefs de volailles ; mais , un vol plus considérable le fit condamner à être pendu avec cinq de ses compagnons . Tout en avouant que le jeu ne lui plaisait pas ...
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Les Écrivains Français: Leur Vie Et Leurs Oeuvres, Ou, Histoire de la ... P. Barrere No preview available - 2018 |
Les Ecrivains Francais: Leur Vie Et Leurs Oeuvres, Ou, Histoire de la ... P. Barrere No preview available - 2013 |
Common terms and phrases
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Popular passages
Page 244 - L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser; une vapeur, une goutte d'eau suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Page 243 - Que l'homme contemple donc la nature entière dans sa haute et pleine majesté; qu'il éloigne sa vue des objets bas qui l'environnent. Qu'il regarde cette éclatante lumière, mise comme une lampe éternelle pour éclairer l'univers; que la terre lui paraisse comme un point au prix du vaste tour que cet astre décrit et qu'il s'étonna de ce que ce vaste tour lui-même n'est qu'une pointe très délicate à l'égard de celui que les astres qui roulent dans le firmament embrassent.
Page 445 - ... laissait rien à la fortune de ce qu'il pouvait lui ôter par conseil et par prévoyance; mais au reste si vigilant et si prêt à tout, qu'il n'a jamais manqué les occasions qu'elle lui a présentées; enfin un de ces esprits remuants et audacieux qui semblent être nés pour changer le monde.
Page 299 - Cependant, sur le dos de la plaine liquide, S'élève à gros bouillons une montagne humide ; L'onde approche, se brise, et vomit à nos yeux, Parmi des flots d'écume, un monstre furieux.
Page 286 - Grâce aux dieux! Mon malheur passe mon espérance. Oui, je te loue, ô ciel! de ta persévérance. Appliqué sans relâche au soin de me punir, Au comble des douleurs tu m'as fait parvenir.
Page 298 - Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler.
Page 358 - Moquons-nous donc de cette chicane où ils veulent assujettir le goût du public, et ne consultons dans une comédie que l'effet qu'elle fait sur nous. Laissons-nous aller de bonne foi aux choses qui nous prennent par les entrailles, et ne cherchons point de raisonnements pour nous empêcher d'avoir du plaisir.
Page 372 - Si le roi m'avait donné Paris sa grand' ville, Et qu'il me fallût quitter L'amour de ma mie; Je dirais au roi Henri : Reprenez votre Paris, J'aime mieux ma mie, au gué, J'aime mieux ma mie.
Page 420 - Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage ? Dit cet animal plein de rage : Tu seras châtié de ta témérité. - Sire, répond l'agneau, que Votre Majesté Ne se mette pas en colère ; Mais plutôt qu'elle considère Que je me vas désaltérant Dans le courant, Plus de vingt pas au-dessous d'Elle, Et que par conséquent, en aucune façon, Je ne puis troubler sa boisson.
Page 243 - Mais si notre vue s'arrête là, que l'imagination passe outre: elle se lassera plutôt de concevoir que la nature de fournir.