...montrant qu'elles pouvaient partager avec « les hommes le prix de la gloire et de la « vertu..v « C'était aussi une amorce pour le mariage , « que...pendant l'hiver , « de faire le tour de la place tous nus , en « chantant une chanson faite contre eux, et « qui disait qu'ils étaient punis avec...

...» mais par une nécessité plus forte encore: » celle de l'amour. Non content de cela, Ly» curgue attacha au célibat une note d'infamie : » les célibataires...obligeaient, pendant l'hiver, de faire le tour « de la place lous nus, en chantant une chan» son faite contre eux, et qui disait qu'ils » étaient punis avec...

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...jeunes gens, qui se sentaient attirés non par cette nécessité géométrique dont parle Platon (49) , mais par une nécessité plus forte encore , celle...étaient punis avec justice pour avoir désobéi aux lois (50). Dans leur vieillesse , ils étaient privés des honneurs et des égards respectueux que les jeunes...

...des combats gymniques des jeunes filles (qui se livraient à ces jeux dans une nudité complète), et les magistrats les obligeaient, pendant l'hiver, de faire le toUr de la place tout nus, ?n chantant une chanson faite con(1) Après la mort de Charlemngne, leur frère Louls-le-Débonnaire...

...méprisés dans toute la Grèce, mais plus particulièrement à Sparte. « Lycurgue, dit Plutarque, attacha au célibat une note d'infamie : les célibataires étaient exclus des combats gymniques des filles, et les magistrats les obligeaient, pendant l'hiver, de faire le tour de la place tout nus,...

...méprisés dans toute la Grèce, mais plus particulièrement à Sparte. « Lycurgue, dit Plutarque, attacha au célibat une note d'infamie : les célibataires étaient exclus des combats gymniques des filles, et les magistrats les obligeaient, pendant l'hiver, de faire le tour de la place tout nus,...

...métrique dont parlo Platon, mais par une néces» site plus forte encore, celle de l'amour. Non con» tent de cela, Lycurgue attacha au célibat une » note...exclus » des combats gymniques de ces filles, et les ma» gistrats les obligeaient, pendant l'hiver, défaire » le tour de la place tout nus, en chantant...

...détester le célibat en l'entachant d'infamie. Les célibataires étaient exclus des combats gymniques des filles et les magistrats les obligeaient, pendant l'hiver, de faire le tour de la place publique, tout nus, en chantant une chanson blessante pour eux et qui exprimait qu'ils étaient punis...