 L'éducation des Spartiates s'étendait » jusqu'aux hommes faits : on ne laissait à personne » la liberté de vivre à son gré. La ville même était » comme un camp où l'on menait le genre de vie » prescrit par la loi, où chacun savait ce qu'il...  Les vies des hommes illustres - Page 165by Plutarchus - 1844Full view - About this book
 | Plutarch - Biography - 1830 - 540 pages
...des Spartiates s'étendait jusqu'aux hommes faits : on ne laissait a personne la liberté de vivre à son gré. La ville même était comme un camp, où...qu'ils n'avaient rien à faire, ils surveillaient les enfans, leur enseignaient quelque chose d'utile, ou s'instruisaient eux-mêmes auprès des vieillards.... | |
 | Académie des sciences morales et politiques (France) - 1848 - 428 pages
...Politique, tiv. II, chap. vu. sait à personne, dit il (1), la liberté de vivre à son gré; la ville était comme un camp où l'on menait le genre de vie prescrit par la loi. » Si nous ajoutons maintenant à cette rndesse, à cette vie uniforme des hommes, le relâchement... | |
 | Alphonse Grün - Communism - 1849 - 62 pages
...esclaves. « On ne laissait à personne, dit Plutarque, la liberté de vivre à son gré ; la ville était comme un camp où l'on menait le genre de vie prescrit par la loi. » Sparte n'était, en réalité, qu'une caserne de soldats féroces. « Au fond, dit judicieusement... | |
 | Constitutional history - 1849 - 450 pages
...Plutarque : « On ne laissait à personne, dit-il (2), la liberté de vivre à son gré ; la ville était comme un camp où l'on menait le genre de vie prescrit par la loi. » Si nous ajoutons maintenant à cette rudesse , à cette vie uniforme des hommes, le relâchement... | |
 | Victor Alexis Désiré Dalloz - Law - 1850 - 782 pages
...Politique, liv. 2, ch. 10, qui donne la préférence an système Cretois). 2Í4 215 'util : « La ville était comme un camp où l'on menait le genre de vie...par la loi, où chacun savait ce qu'il devait faire, où tous étaient persuadés qu'ils n'étaient pas à eux, mais à la patrie > (Vie de Lycurgue, n.... | |
 | Fernand Coyteux - 1855 - 610 pages
...esclaves. Audirede Plutarque, «on ne laissait à personne la liberté de vivre à son gré ; la ville était comme un camp où l'on menait le genre de vie prescrit par la loi » Je suis loin d'être engoué de la société Spartiate. Je ne la présenterai point comme modèle,... | |
 | Léon comte de Givodan - Aristocracy (Social class) - 1861 - 780 pages
...Spartiates s'étendait » jusqu'aux hommes faits : on ne laissait à personne » la liberté de vivre à son gré. La ville même était » comme un camp où...d'utile » ou s'instruisaient eux-mêmes auprès des vieil» lards ; car une des plus belles et des plus heu» reuses institutions de Lycurgue, c'était... | |
 | Victor Alexis Désiré Dalloz, Armand Dalloz - Law - 1870 - 694 pages
...Lycurgue, a marqué le caractère de ta république de Sparte avec vérité : « La ville, dit-il, était comme un camp, où l'on menait le genre de...par la loi, où chacun savait ce qu'il devait faire, où tous étaient persuadés qu'ils n'étaient pas à eux, mais à la patrie. » Nous savons par Aristote... | |
 | Victor Alexis Désiré Dalloz - Law - 1870 - 362 pages
...Lycurgue, a marqué le caractère de la république de Sparte avec vérité : « La ville, dit-il, était comme un camp, où l'on menait le genre de...par la loi, où chacun savait ce qu'il devait faire, où tous étaient persuadés qu'ils n'étaient pas à eux, mais à la patrie. » Nous savons par Aristote... | |
 | Adolphe Franck - Communism - 1871 - 152 pages
...Plutarque : « On ne laissait à personne . ditil (2), la liberté de vivre à son gré ; la ville était comme un camp où l'on menait le genre de vie prescrit par la loi. » Si nous ajoutons maintenant à cette rudesse, à cette vie uniforme des hommes, le relâchement... | |
| |
