Madame de Choiseul et son temps: étude sur la société française à la fin du XVIIIe siècle |
From inside the book
Results 1-5 of 33
Page x
... sentiments , la grâce de son esprit , le rang éminent qu'elle occupait à la Cour de Louis XV , auraient dû faire tirer de son obscurité 1 . » C'est cette lacune historique que nous allons es- sayer de combler aujourd'hui . Réduite à ...
... sentiments , la grâce de son esprit , le rang éminent qu'elle occupait à la Cour de Louis XV , auraient dû faire tirer de son obscurité 1 . » C'est cette lacune historique que nous allons es- sayer de combler aujourd'hui . Réduite à ...
Page 32
... sentiments de la religion , peut - être même parce que j'en étais pénétré , je n'eus pas la moindre idée d'entrer dans le ministère ecclésiastique ' . >> Il n'en conserva pas moins le nom d'abbé , pareil en cela à beaucoup d'autres ...
... sentiments de la religion , peut - être même parce que j'en étais pénétré , je n'eus pas la moindre idée d'entrer dans le ministère ecclésiastique ' . >> Il n'en conserva pas moins le nom d'abbé , pareil en cela à beaucoup d'autres ...
Page 39
... sentiments . Une dernière raison qui suffirait seule , à nos yeux , pour faire absoudre Mme de Choiseul de sa liaison avec Mme du Deffand , c'est que , sans cette intimité et le commerce assidu de lettres dont elle fut l'occasion , on n ...
... sentiments . Une dernière raison qui suffirait seule , à nos yeux , pour faire absoudre Mme de Choiseul de sa liaison avec Mme du Deffand , c'est que , sans cette intimité et le commerce assidu de lettres dont elle fut l'occasion , on n ...
Page 51
... Sentiment de l'amitié dominant dans la correspondance entre Mm de Choiseul et Me du Deffand . - Colloque au sujet de l'amitié entre Mme du Deffand et Pont de Veyle.- Plaintes de Mme du Deffand sur l'indifférence des cœurs.- Réponses de ...
... Sentiment de l'amitié dominant dans la correspondance entre Mm de Choiseul et Me du Deffand . - Colloque au sujet de l'amitié entre Mme du Deffand et Pont de Veyle.- Plaintes de Mme du Deffand sur l'indifférence des cœurs.- Réponses de ...
Page 57
... sentiments dont l'expression domine le plus dans la correspondance entre Mme de Choiseul et Mme du Deffand , c'est le sentiment de l'amitié . On dirait une véritable adoration mutuelle , que toute la variété des formes employées pour la ...
... sentiments dont l'expression domine le plus dans la correspondance entre Mme de Choiseul et Mme du Deffand , c'est le sentiment de l'amitié . On dirait une véritable adoration mutuelle , que toute la variété des formes employées pour la ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
aime amie amis années appelle arrivée aurait avaient Barry C'était caractère cause célèbre Chanteloup CHAPITRE chère chose cœur correspondance coup Cour d'elle d'être dames demande dernier détails devait dire disait donne duc de Choiseul duchesse de Choiseul écrit époque esprit faisait femme fille général gens haut heures hommes idées j'ai jeune jouir jour juger jusqu'à l'abbé Barthélemy l'autre l'esprit l'un laisser lettre lieu livres Louis XV lui-même maison mari Mémoires ment mieux ministre Mme de Choiseul Mme du Deffand Mme Geoffrin monde morale mort n'avait n'en n'était nouvelle parler particulier passer pendant pensée personne petits peut-être philosophe place plaisir porte pouvait premier présentation président propos qu'un rapporte règne remarquable reste rien s'en s'est s'était salon secret sentiments serait seul société sorte souper soupers suivant sujet tard tenir tion touchant traits trouve venir vérité Versailles vivait Voltaire voyage vrai Walpole XVIIIe siècle
Popular passages
Page 111 - Je vous aurais envoyé beaucoup plus loin, si ce n'était l'estime particulière que j'ai pour madame la duchesse de Choiseul dont la santé m'est fort intéressante. Prenez garde que votre conduite ne me fasse prendre un autre parti. Sur ce, je prie Dieu, mon cousin, qu'il vous ait en sa sainte garde.
Page 197 - Sire, Le jour de la Pentecôte approche, où Votre Majesté a résolu de communier. Quoique je ne doute pas qu'elle ne songe sérieusement à ce qu'elle a promis à Dieu, comme elle m'a commandé de l'en faire souvenir, voici le temps que je me sens le plus obligé de le faire. Songez, Sire, que vous ne pouvez être véritablement converti, si vous ne travaillez à ôter de votre cœur, non seulement le péché, mais la cause qui vous y porte.
Page 138 - Être avec des gens qu'on aime, cela suffit : rêver, leur parler, ne leur parler point, penser à eux, penser à des choses plus indifférentes, mais auprès d'eux, tout est égal.
Page 67 - Dites-moi, ma chère petite-fille, le grand-papa est-il remonté mercredi, après m'avoir mise dans mon carrcsse? at-il parlé de moi? qu'en at-il dit et de quel ton? Il me semble qu'il commence à n'être plus honteux de moi, et c'est déjà un grand point de ne plus blesser l'amour-propre des gens dont on veut être aimé!...
Page 66 - ... d'abord été chez monseigneur, qu'il a frappé de toutes ses forces à la porte, que personne n'a répondu ; qu'il a été par toute la ville sans trouver ni rien apprendre de monseigneur. Le duc prend le parti d'aller à l'appartement dudit...
Page 76 - Ses maîtresses, quelquefois une fille de l'Opéra, souvent madame la duchesse de Berry, et une douzaine d'hommes, tantôt les uns, tantôt les autres, que sans façon il ne nommait jamais autrement que ses roués.
Page 76 - C'était en ces séances où chacun était repassé, les ministres et les familiers tout au moins comme les autres, avec une liberté qui était licence effrénée. Les galanteries passées et présentes de la cour et de la ville sans ménagement ; les vieux contes, les disputes, les plaisanteries, les ridicules, rien ni personne n'était épargné.
Page 89 - Je sais bien qu'on lui reproche quelques bagatelles au sujet de son mari, mais ce sont des affaires de famille dont je ne me mêle pas ; et, d'ailleurs, il n'est pas mal qu'on ait une faute à réparer, cela engage à faire de grands efforts pour forcer le public à l'estime et à l'admiration, et assurément son vilain mari n'aurait fait aucune des grandes choses que ma Catherine fait tous les jours.
Page 54 - J'arrive de la messe; une femme de mes amies entre presque aussitôt que moi; elle est en habit; mon très-petit cabinet est rempli de la vastitude de son panier. Elle veut que je continue : « Je n'en ferai rien, madame ; je ne serai pas assez mon ennemie pour me priver du plaisir de vous voir et de vous entendre... » Enfin elle est partie ; reprenons ma lettre ; mais on vient me dire que le courrier de Paris va partir : « Il demande si madame n'a rien à lui ordonner.
Page 152 - L'Abbé, le Marquis de Castellane ont eu de moi des soins infinis ; j'ai joui de la plus grande liberté ; c'est le ton de la maison. Point de compliments ; on ne se lève pour personne, on reste chez soi, on va dans le salon, on cause avec qui l'on veut ; les uns vont à la promenade, les autres restent dans la maison ; on est dixhuit ou vingt à table ; les premiers arrivés s'y placent : on y arrive à l'heure qu'on veut, on n'attend personne. Au sortir de table, on reçoit les lettres de la poste,...