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" Mme de Longueville, et nous aurons dit adieu à ces rêves de nos heures de loisir, que caressa notre jeunesse, et qui nous ont accompagné jusqu'au terme de l'âge mûr. Nous l'avouons : nous ne quittons pas sans regret cet aimable et généreux commerce.... "
Revue suisse - Page 138
1856
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La Correspondance littéraire: Critique, Beaux-arts, Érudition, Volume 1

1857 - 300 pages
...bénédiction dont la belle pécheresse n'a plus besoin depuis 177 ans : a Posons la plume, dit-il, et mettons fin à ces peintures d'une société à...caressa notre jeunesse, et qui nous ont accompagné jusqu'au terme de l'âge mûr... Soyez bénies, en nous séparant, muses gracieuses ou sévères, mais...
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Madame de Hautefort et Madame de Chevreuse: nouvelles études sur les femmes ...

Victor Cousin - France - 1856 - 562 pages
...en Champagne, puis à Melun, puis à Paris, et la Reine Anne d'Autriche en posa la première pierre. Posons la plume, et mettons fin à ces peintures d'une...hommes ne reverra plus. Encore quelques pages sur M"' e de Longueville, et nous aurons dit adieu à ces rêves de nos heures de loisir, que caressa notre...
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Causeries du samedi: deuxième série des causeries littéraires

Armand Ferrard - 1857 - 416 pages
...élan soudain vers la beauté invisible et infinie? — « Posons la plume, dit en finissant M. Cousin, et mettons fin à ces peintures d'une société à...jamais évanouie, et de femmes que l'œil des hommes ne revcrra plus. Encore quelques pages sur madame de Longueville, et nous aurons dit adieu à ces rêves...
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Causeries du samedi: deuxième série des causeries littéraires

Armand comte de Pontmartin - French literature - 1859 - 420 pages
...élan soudain vers la beauté invisible et infinie? — « Posons la plume, dit en finissant M. Cousin, et mettons fin à ces peintures d'une société à...hommes ne reverra plus. Encore quelques pages sur madame de Longueville, et nous aurons dit adieu à ces rêves de nos heures de loisir, que caressa...
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Causeries du samedi

Armand De Pontmartin - Critica - 1859 - 434 pages
...invisible et infinie? — « Posons la plume, dit en finissant SI. Cousin, et mettons fin à ces peintu-es d'une société à jamais évanouie, et de femmes...des hommes ne reverra plus. Encore quelques pages sur«madame de Longueville, et nous aurons dit adieu à ces rêves de nos heures de loisir, que caressa...
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Les livres nouveaux, essais critiques sur la littérature contemporaine

Édouard Marie comte de Barthélemy - 1859 - 442 pages
...première série des études sur les femmes illustres du XVII* siècle : « Posons la plume et mêlions fin à ces « peintures d'une société à jamais...évanouie, et de femmes « que l'œil des hommes ne verra plus. Encore quelques « pages sur Mme de Longueville, et nous aurons dit adieu « à ces rôves...
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Les livres nouveaux, essais critiques sur la littérature contemporaine

Édouard Marie comte de Barthélemy - 1859 - 444 pages
...première série des études sur les femmes illustres du XVII" siècle : « Posons la plume et mettons lin à ces « peintures d'une société à jamais évanouie, et de femmes « que l'œil des hommes ne verra plus. Encore quelques « pages sur Mme de Longueville, et nous aurons dit adieu a à ces rêves...
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Lettres de madame Swetchine, Volume 2

Madame Swetchine (Anne-Sophie) - Catholic converts - 1862 - 558 pages
...regard jeté sur l'ancien home'. Le goût que j'ai pour l'Italie, me dites-vous, est déraisonnable. Eh à jamais évanouie, et de femmes que l'œil des hommes...caressa notre jeunesse, et qui nous ont accompagné jusqu'au terme de l'âge mûr. Nous l'avouons : nous ne quittons pas sans regret cet aimable et généreux...
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Lettres de Madame Swetchine, Volume 2

Madame Swetchine (Anne-Sophie) - 1862 - 556 pages
...regard jeté sur l'ancien home! Le goût que j'ai pour l'Italie, me dites-vous, est déraisonnable. Eh à jamais évanouie, et de femmes que l'œil des hommes ne reverra plus. Encore quelques pages sur Mmo de Longueville , et nous aurons dit adieu à ces rêves de nos heures de loisir, que caressa notre...
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Nouveaux samedis

Armand comte de Pontmartin - French literature - 1867 - 384 pages
...temps. Il aurait dû, selon nous, en rester à sa magnifique péroraison de Madame de Hautefort : « Posons la plume, et mettons fin à ces peintures d'une...de femmes que l'œil des hommes ne reverra plus... Soyez bénies, en nous séparant, Muses gracieuses ou sévéres, mais toujours nobles et grandes, qui...
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