...témérités d'autrefois de cette femme, aujourd'hui si prudente, et ces souvenirs le transportaient. Puis, avec l'esprit d'observation qui ne l'abandonnait...Elle est d'un pays où le ridicule est le plus grand de tous les malheurs. Aimer à son âge est ridicule. Il ya dix-huit mois qu'elle risque ce malheur...

...transportaient. Puis, avec l'esprit d'observation qui ne l'abandonnait jamais, il détaillait tons les petits symptômes, toutes les indications d'indifférence...Elle est d'un pays où le ridicule est le plus grand de tous les malheurs. Aimer à son âge est ridicule. Il ya dix-huit mois qu'elle risque ce malheur...

...témérités d'autrefois de cetle femme, aujourd'hui si prudente, et ces souvenirs le transportaient. Puis, avec l'esprit d'observation qui ne l'abandonnait...ne l'aime plus; tant pis pour moi si j'aime encore lewhist. Elle est d'un pays où le ridicule est le plus grand de tous les malheurs. Aimer à son âge...

...témérités d'autrefois de cette femme ujourd'hui si prudente, et ses souvenirs le transl'Ortaient. Puis, avec l'esprit d'observation qui ne l'abandonnait...pas oubliée. « Sa conduite, après tout, disaitil, estraisonnable. Elle aimait le whist,elle ne l'aime plus ; tant pis pour moi si j'aime encore le whist....

...aujourd'hui si prudente, et ses souvenirs le transportaient. Puis, avec l'esprit d'observation'qui ne l'abandonnait jamais, il détaillait tous les petits...croissante qu'il avait dû remarquer. La LO-GIQUE n'était pasoubliée. « Sa conduite, après tout, disaitil, est raisonnable. Elle aimait le whist, elle ne...

...témérités d'autrefois de cette femme aujourd'hui si prudente et ses souvenirs le transportaient; puis, avec l'esprit d'observation qui ne l'abandonnait...symptômes, toutes les indications d'indifférence qu'il avait dû remarquer. « — Sa conduite, après tout, disait-il, est raisonnable : elle aimait...

...témérités d'autrefois de cette femme aujourd'hui si prudente et ses souvenirs le transportaient; puis, avec l'esprit d'observation qui ne l'abandonnait...symptômes, toutes les indications d'indifférence qu'il avait dû remarquer. « — Sa conduite, après tout, disait-il, est raisonnable : elle aimait...

...cherche à tout expliquer. Il prétexte donc à son ami Prosper Mérimée : « Sa conduite après tout est raisonnable ; elle aimait le whist, elle ne l'aime...plus. Tant pis pour moi, ;si j'aime encore le whist. » La comtesse Curial ne conserve pas de Stendhal un mauvais souvenir. Loin de là. Tandis qu'elle...

...fidèle. Il vient de rompre avec Menta et il confie son chagrin à Mérimée. « Sa conduite, après tout, est raisonnable; elle aimait le whist, elle ne l'aime plus. Tant pis pour moi si j'aime encore le whist1! » Est-ce une pose? Peut-être. En tout cas, ce ton dégagé et cet air de plaisanter avec...

...témérités d'autrefois de cette femme, aujourd'hui si prudente, et ces souvenirs* le transportaient. Puis, avec l'esprit d'observation qui ne l'abandonnait...d'indifférence croissante qu'il avait dû remarquer. La LO-GIOUE n'était pas oubliée. « Sa conduite, après tout, disait-il, est raisonnable. Elle aimait...