L'art et la vie de Stendhal, Volume 1Germer Baillière, 1868 - 535 pages |
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... amour . Il ana- lysait tout expliquant physiologiquement les causes de telle ambition , de telle ruse , de telle sottise ou de telle haine , etc. - - Aussi se plaît - on en le lisant , à voir jouer devant soi les ressorts de toutes les ...
... amour . Il ana- lysait tout expliquant physiologiquement les causes de telle ambition , de telle ruse , de telle sottise ou de telle haine , etc. - - Aussi se plaît - on en le lisant , à voir jouer devant soi les ressorts de toutes les ...
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... amour . Habile dans les relations mondaines à dissimuler sa tendresse , il prêchait volontiers l'amour - goût ; mais il était capable aussi d'amour passionné . Ses bio- graphes en citent des exemples sur lesquels nous reviendrons . Son ...
... amour . Habile dans les relations mondaines à dissimuler sa tendresse , il prêchait volontiers l'amour - goût ; mais il était capable aussi d'amour passionné . Ses bio- graphes en citent des exemples sur lesquels nous reviendrons . Son ...
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... amour platonique est - il done , après tout , un idéal bien sain ? H. Beyle était un homme complet , non un jésuite ; il avait des sens souvent impérieux ; mais son amour , relevé par un sentiment vif , embelli par son esprit aimable ...
... amour platonique est - il done , après tout , un idéal bien sain ? H. Beyle était un homme complet , non un jésuite ; il avait des sens souvent impérieux ; mais son amour , relevé par un sentiment vif , embelli par son esprit aimable ...
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... amour à l'italienne , c'est - à - dire l'amour facile , mélange inégal de volupté raffinée et de sentiment tendre , étaient ses plaisirs habituels , ses besoins ordinaires APERÇU GÉNÉRAL . 27 17.
... amour à l'italienne , c'est - à - dire l'amour facile , mélange inégal de volupté raffinée et de sentiment tendre , étaient ses plaisirs habituels , ses besoins ordinaires APERÇU GÉNÉRAL . 27 17.
Page 28
... amour passionné qu'il vouait à l'Italie , et dans l'Italie à Milan , n'était pas seulement instinctif ; il était , au contraire , profondément senti et réfléchi . Comme Montesquieu qu'il avait beaucoup étudié , Stendhal attachait une 28 ...
... amour passionné qu'il vouait à l'Italie , et dans l'Italie à Milan , n'était pas seulement instinctif ; il était , au contraire , profondément senti et réfléchi . Comme Montesquieu qu'il avait beaucoup étudié , Stendhal attachait une 28 ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 472 - Rien n'est si insupportable à l'homme que d'être dans un plein repos, sans passions, sans affaire, sans divertissement, sans application. Il sent alors son néant, son abandon, son insuffisance, sa dépendance, son impuissance, son vide. Incontinent il sortira du fond de son âme l'ennui, la noirceur, la tristesse, le chagrin, le dépit, le désespoir.
Page 12 - Tant qu'on ne s'est pas adressé sur un auteur un certain nombre de questions et qu'on n'ya pas répondu, ne fût-ce que pour soi seul et tout bas, on n'est pas sûr de le tenir tout entier, quand même ces questions sembleraient le plus 5 étrangères à la nature de ses écrits: — Que pensait-il en religion?
Page 215 - Le romanticisme est l'art de présenter aux [peuples les œuvres littéraires qui, dans l'état actuel de leurs habitudes et de leurs croyances, sont susceptibles de leur donner le plus de plaisir possible.
Page 184 - Mais mon âme, à moi, est un feu qui souffre s'il ne flambe pas. Il me faut trois ou quatre pieds cubes d'idées nouvelles par jour, comme il faut du charbon à un bateau à vapeur.
Page 431 - Vous êtes un lâche ! Dès que j'eus compris que je pouvais sauver ce maladroit, cela devint un devoir pour moi. Je me serais méprisé moi-même si je ne me fusse pas jeté...
Page 299 - C'étaient d'honnêtes gens , qui riaient comme les autres avec leurs amis : et quand ils ont fait leurs lois et leurs traités de politique, c'a été en se jouant et pour se divertir.
Page 60 - Tout m'étonnait dans cette liberté tant souhaitée, et à laquelle j'arrivais enfin. Les charmes que j'y trouvais n'étaient pas ceux que j'avais rêvés, ces compagnons si gais, si aimables, si nobles, que je m'étais figurés je ne les trouvais pas, mais à leur place des polissons très égoïstes.
Page 374 - L'admiration ; 2° On se dit : « quel plaisir de lui donner des baisers, d'en recevoir ! etc.
Page 203 - LO-GIQUE n'était pas oubliée. « Sa conduite, après tout, disait-il, est raisonnable. Elle aimait le whist, elle ne l'aime plus; tant pis pour moi si j'aime encore le whist. Elle est d'un pays où le ridicule est le plus grand de tous les malheurs. Aimer à son âge est ridicule. Il ya dix-huit mois qu'elle risque ce malheur pour moi.
Page 448 - Rien n'est si impétueux que ses désirs, rien de si caché que ses desseins, rien de si habile que ses conduites ; ses souplesses ne se peuvent représenter, ses transformations passent celles des métamorphoses, et ses raffinements ceux de la chimie.