Histoire de la chute de l'Empire romain et du déclin de la civilisation, de l'an 250 à l'an 1000 |
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Alaric Arabes armée armes attaques avaient barbares bataille Bélisaire bientôt Bourguignons calamités Carloman Carlovingiens Charlemagne Charles Charles-le-Chauve chefs Chilpéric Chosroès chrétiens civilisation Clovis comte conquête conservé Constantin Constantinople couronne Danois Danube défense désert empereurs empire ennemis esclaves évêques femme fils force frère frontières Gaules Genséric Gépides Germanie Goths gouvernement Grecs guerres civiles hommes Illyrique invasions Italie Justinien khalife l'Afrique l'an l'Arabie l'armée l'Église l'empereur l'empire d'Occident l'empire romain l'histoire l'Italie l'Occident l'Orient laissé lois Lombards long-temps Lothaire Louis Mahomet ment mille moeurs monarchie monarque mort mourut musulmans n'avait n'était nation Neustrie Normands Ostrogoths Othon Pannonie partage pays pendant Pépin père Persans Perse peuples population pouvait pouvoir première presque princes provinces race ravages règne religion reste richesses rois Rollon Rome royaume s'était saint Sarrasins Saxons seigneurs semblait sentiment seulement siècle soldats souverain Stilichon Théodoric Théodose tion trône trouvait Valentinien Vandales vertus victoire villes Visigoths Vitigès Xe siècle
Popular passages
Page 234 - Je vous ai déjà dit que nos trai« tés me confèrent ces villes, c'est pourquoi je ne « veux point les rendre. » Un autre député lui dit : « Ton neveu te prie de lui faire remettre la criminelle (( Frédégonde , qui a fait périr un grand nombre de « rois, pour qu'il venge sur elle la mort de son père, « de son oncle et de ses cousins.
Page 250 - Romains et à adopter leur langage , fit place au duc héréditaire d'Austrasie , capitaine de ses leudes , ou d'hommes qui s'étaient volontairement dévoués à un service également héréditaire , moyennant quelque concession de terres. Ce duc était secondé par tous les autres ducs , qui combattaient pour l'aristocratie, contre la royauté et contre le peuple ; sa victoire fut signalée par un second triomphe de la langue teutonique sur la latine , et par le rétablissement des diètes ou assemblées...
Page 192 - vengez avec constance la mort de mon père et « de ma mère. » Les trois fils jurèrent de servir le ressentiment de leur mère; ils attaquèrent les Bourguignons, et les ayant défaits, dans un combat, ils arrêtèrent saint Sigismond, qui...
Page 326 - comme une paroi immobile , comme un mur de glace , » contre lequel les Arabes armés à la légère venaient se briser » sans y faire aucune impression. Ces derniers avançaient et » reculaient avec rapidité : mais cependant l'épée des Germains
Page 352 - Rome , dit le moine d'Angoulême , son historiographe , des maîtres de l'art de la grammaire et de celui du calcul , et il les conduisit en France , en leur ordonnant d'y répandre le goût des lettres ; car , avant le seigneur Charles , il n'y avait en France aucune étude des arts libéraux.
Page 249 - ... et qu'après qu'on lui eut coupé les lèvres et la langue , il n'en parlait qu'avec plus d'éloquence. Privé de ses yeux et mutilé de tous ses membres , saint Léger était déjà vénéré par les peuples comme un martyr.
Page 170 - Alaric sur ses projets par la conférence d'Amboise , il assembla , en 607 , l'armée de ses Francs au Champ-^de-Mars : « Je ne puis souffrir, leur dit-il, que ces Ariens « possèdent la meilleure partie des Gaules. Allons « sur eux; et quand, avec l'aide de Dieu, nous « les aurons vaincus, nous réduirons leurs terres (1) Cassiodori Epistolœ.
Page 13 - Sur ses bords septentrionaux et orientaux, quelques colonies grecques conservaient une indépendance douteuse sous la protection de l'empire. Un prince grec régnait à Caffa sur le Bosphore Cimmérien ; des colonies grecques dans le pays des Lases et la Colchide étaient tour à tour sujettes ou tributaires.
Page 187 - ... rachetée que par leur respect pour les prêtres. Mais cette haute vénération pour l'Église , et leur sévère orthodoxie , d'autant plus facile à conserver que , ne faisant aucune étude , et ne disputant jamais sur la foi , ils ne connaissaient pas même les questions controversées , leur donnèrent dans le clergé de puissants auxiliaires. Les Francs se montrèrent disposés à haïr les ariens, à les combattre et les dépouiller sans les entendre; les évêques , en retour, ne se montrèrent...
Page 438 - Ces bateliers , dit-il , ne voient personne ; mais , au milieu de la nuit, une voix horrible les appelle à leur mystérieux office ; ils trouvent au rivage des bateaux inconnus prêts à partir ; ils sentent le poids des âmes qui y entrent l'une après l'autre , et qui font descendre à fleur d'eau le bord du bateau. Cependant ils ne voient rien encore.