Le problème moral dans la philosophie de Spinoza et dans l'histoire du spinozisme |
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Common terms and phrases
absolue abstrait actes action adéquate affirmation c'est-à-dire cause choses comprendre conception concevoir conçu connaissance conscience conséquent d'être Descartes déterminer développement Dieu distinction divine doctrine doit dualisme Encyclopädie essence essentielle éternelle expression rationnelle extérieure Fichte fini fond force forme frère Adrien Goethe Hégel hommes humaine Ibid idéal idées identité immanente immédiatement individuelle intell Kant Kuno Fischer l'Absolu l'acte l'action l'affirmation l'âme l'entendement l'esprit l'essence l'État l'Être infini l'existence l'homme l'idéalisme l'idée l'identité l'individu l'Infini l'intelligence l'objet l'unité l'univers Leibniz liberté libre arbitre limites logique loppement lui-même ment métaphysique monde moniste nature naturelle Naturphilosophie néces nécessaire nécessité négation notion Novalis objet ontologique panthéisme particulier pensée pensée spéculative Platon pose principe produit prop puissance pure qu'une raison rapport rationnel réalité réel relation Religion rien savoir Schelling Schleiermacher science sens sentiment seulement simple subjective substance sujet suprême Taine Tence tendance théisme tielle tion Ueber unité universelle vérité vertu volonté vrai
Popular passages
Page ix - Ainsi toute la philosophie est comme un arbre, dont les racines sont la métaphysique , le tronc est la physique , et les branches qui sortent de ce tronc sont toutes les autres sciences...
Page 427 - Le vice et la vertu sont des produits comme le vitriol et le sucre, et toute donnée complexe naît par la rencontre d'autres données plus simples dont elle dépend.
Page ix - ... l'esprit dépend si fort du tempérament et de la disposition des organes du corps que, s'il est possible de trouver quelque moyen qui rende communément les hommes plus sages et plus habiles qu'ils n'ont été jusqu'ici, je crois que c'est dans la médecine qu'on doit le chercher.
Page 17 - J'entends par Dieu un être absolument infini, c'est-à-dire une substance constituée par une infinité d'attributs dont chacun exprime une essence éternelle et infinie.
Page 92 - Oui, ajoutet-il avec force, il est d'un homme sage d'user des choses de la vie et d'en jouir autant que possible, de la réparer par une nourriture modérée et agréable, de charmer ses sens du parfum et de l'éclat verdoyant des plantes, d'orner même son vêtement, de jouir de la musique, des jeux, des spectacles, et de tous les divertissements que chacun peut se donner sans dommage pour personne...
Page 17 - J'entends par substance ce qui est en soi et est conçu par soi, c'est-à-dire ce dont le concept peut être formé sans avoir besoin du concept d'une autre chose.
Page 412 - Pauvre mais satisfait, pensif et retiré, Esprit subtil et creux , moins lu que célébré , Caché sous le manteau de Descartes son maître , Marchant à pas comptés , s'approcha du Grand Être. « Pardonnez-moi , dit-il , en lui parlant tout bas ; Moi je pense , entre nous , que vous n'existez pas.
Page ix - Et j'avais toujours un extrême désir d'apprendre à distinguer le vrai d'avec le faux, pour voir clair en mes actions et marcher avec assurance en cette vie.
Page 127 - Per hoc cognoscimus quod in Deo manemus et Deus manet in nobis, quod de spiritu suo dedit nobis, Hamburg!
Page 164 - Dieu et de toutes choses, et pour lui, cesser de pâtir, c'est cesser d'être. Au contraire, l'âme du sage peut à peine être troublée. Possédant, par une sorte de nécessité éternelle, la conscience de soi-même et de Dieu et des choses, jamais il ne cesse d'être, et la véritable paix de l'âme, il la possède pour toujours.