Bulletin de l'Institut national genevois, Volumes 21-22Institut national genevois, 1876 - Science |
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... siècle . Certes , il n'y aurait rien à redire contre ce plaidoyer patrioti- que , émané d'un citoyen de Bâle , que ses études elle - mêmes devaient conduire à exalter les avantages historiques , si l'au- teur s'était borné là et n'avait ...
... siècle . Certes , il n'y aurait rien à redire contre ce plaidoyer patrioti- que , émané d'un citoyen de Bâle , que ses études elle - mêmes devaient conduire à exalter les avantages historiques , si l'au- teur s'était borné là et n'avait ...
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... siècles , soudés ensemble par tant de sang versé sur les champs de bataille , par tant de dangers conjurés en commun , ces confrères peu- vent bien s'aimer dans le lointain , mais doivent se détester lorsqu'ils cultivent en commun tout ...
... siècles , soudés ensemble par tant de sang versé sur les champs de bataille , par tant de dangers conjurés en commun , ces confrères peu- vent bien s'aimer dans le lointain , mais doivent se détester lorsqu'ils cultivent en commun tout ...
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... siècle , il est évident aussi que dans les vocations que l'on a appelées de pré- férence les vocations libérales , les routes tracées et barrica- dées de tous côtés ne peuvent plus être maintenues , que l'on ne pourra plus prescrire à ...
... siècle , il est évident aussi que dans les vocations que l'on a appelées de pré- férence les vocations libérales , les routes tracées et barrica- dées de tous côtés ne peuvent plus être maintenues , que l'on ne pourra plus prescrire à ...
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... siècle en arrière , mais seulement du temps où je faisais moi - même mes études , si je reporte mes yeux seulement de quarante ans en arrière , quelle différence énorme ! « La Prusse , disait mon regretté maître Liebig en 1840 , la ...
... siècle en arrière , mais seulement du temps où je faisais moi - même mes études , si je reporte mes yeux seulement de quarante ans en arrière , quelle différence énorme ! « La Prusse , disait mon regretté maître Liebig en 1840 , la ...
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... siècle dernier et le commence- ment de celui - ci . M. Galiffe a donné connaissance de quelques lettres échangées au siècle dernier entre les syndics de notre ville et leurs représentants à Paris . M. Vuy a lu quelques documents ...
... siècle dernier et le commence- ment de celui - ci . M. Galiffe a donné connaissance de quelques lettres échangées au siècle dernier entre les syndics de notre ville et leurs représentants à Paris . M. Vuy a lu quelques documents ...
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Common terms and phrases
1re qualité année annuelle artistes Blavignac Bons Templiers BOVY Bull canton de Genève Carouge Champel chanson chant chêne Cherbuliez choses citoyens classe productive classe stérile Commugny commune concours Conseils de Prud'hommes cultiver curé de Versoix d'Industrie et d'Agriculture décembre diapason donner EDOUARD études fédérale française général genevois Genthod Gevril homme industrie industrielle Inst j'ai James Fazy jour juin Jury Juste Olivier l'agriculture l'industrie L'INSTITUT NATIONAL GENEVOIS Laigrelet laurier Lég lettre liberté lignes Loge Longchamp maire médaille ment Messieurs milieu d'une couronne mill milliards Mme LANGOUÉ Moglia moyenne municipal musique nickelage nombre ouvriers paroisse passer Pays de Gex Péronne Phylloxera physiocrates pièces Plainpalais poésie poète politique premier présenté Président professeur propriétaires Quesnay question quintaux rapport récolte Registre République reste Rouget de Lisle s'est salaire séance Section de Littérature sera setiers seul siècle Société Suisse romande suivant Tableau économique tion travail Versoix Versoix-la-Ville viande nette
Popular passages
Page 276 - Allons, enfants de la patrie, Le jour de gloire est arrivé! Contre nous, de la Tyrannie L'étendard sanglant est levé (bis) Entendez-vous, dans les campagnes Mugir ces féroces soldats? Ils viennent jusque dans vos bras Égorger vos fils, vos compagnes. Aux armes! citoyens, Formez vos bataillons, Marchons, marchons, Qu'un sang impur abreuve nos sillons!
Page 278 - Amour sacré de la patrie, Conduis, soutiens nos bras vengeurs ! Liberté ! Liberté chérie, Combats avec tes défenseurs ! Sous nos drapeaux, que la victoire Accoure à tes mâles accents ! Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire ! Aux armes, etc.
Page 278 - Nous entrerons dans la carrière Quand nos aînés n'y seront plus ; Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leurs vertus ! Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil, Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre ! .... Aux armes, citoyens ! etc.
Page 280 - A sonné l'heure des combats. Tremblez, ennemis de la France! Rois ivres de sang et d'orgueil, Le peuple souverain s'avance, Tyrans, descendez au cercueil ! La République nous appelle, Sachons vaincre ou sachons périr Un Français doit vivre pour elle, Pour elle un Français doit mourir.
Page 280 - De Barra, de Viala, le sort nous fait envie ; Ils sont morts, mais ils ont vaincu ; Le lâche accablé d'ans n'a point connu la vie ; Qui meurt pour le peuple a vécu.
Page 309 - Maudit! nous sommes les abeilles! Des chalets ombragés de treilles Notre ruche orne le fronton} Nous volons, dans l'azur écloses, Sur la bouche ouverte des rosés Et sur les lèvres de Platon.
Page 280 - Songez à nous aux champs de Mars ; Consacrez dans le sang des rois et des esclaves, Le fer béni par vos vieillards ; Et, rapportant sous la chaumière Des blessures et des vertus, Venez fermer notre paupière, Quand les tyrans ne seront plus.
Page 310 - Nous, dont la lampe, le matin, Au clairon du coq se rallume; Nous tous, qu'un salaire incertain Ramène avant l'aube à l'enclume ; Nous, qui des bras, des pieds, des mains, De tout le corps, luttons sans cesse, Sans abriter nos lendemains Contre le froid de la vieillesse, Aimons-nous, et quand nous pouvons Nous unir pour boire à la ronde , Que le canon se taise ou gronde, Buvons A l'indépendance du monde ! Nos bras , sans relâche tendus.
Page 276 - Français, pour nous, ah ! quel outrage ! Quels transports il doit exciter ! C'est nous qu'on ose méditer De rendre à l'antique esclavage...
Page 311 - Nos bras, sans relâche tendus, Aux flots jaloux, au sol avare. Ravissent leurs trésors perdus, Ce qui nourrit et ce qui pare : Perles, diamants et métaux, Fruit du coteau, grain de la plaine. Pauvres moutons, quels bons manteaux Il se tisse avec notre laine ! Aimons-nous, etc. Quel fruit tirons-nous des labeurs Qui courbent nos maigres échines? Où vont les flots de nos sueurs ? Nous ne sommes que des machines.