Histoire de Versailles, Volume 2 |
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9 mètres appartements arriver aujourd'hui avaient avenue baraques bâtiments Bibliothèque caserne centimètres de long chapelle chargé château cheval comte d'Estaing construite cour d'Orléans dames Dauphin députés donner duc de Noailles écuries église élever établissement femmes garde nationale gardes-du-corps gardes-françaises Grand-Commun grille habitants heures hommes hôtel jardin Jeu-de-Paume jour l'Assemblée nationale l'avenue de Sceaux l'église l'hôtel l'ouest à l'est Lafayette Lecointre loger Louis XIV Louvois madame madame de Maintenon madame de Pompadour maire maison Mansart ment ministre Montbauron Montreuil mort municipalité Narbonne nom de rue nommé nord au sud Notre-Dame Parc-aux-Cerfs paroisse passé Petites-Écuries peuple place d'Armes porte Potager premier prince prisonniers quartier Saint-Louis Récollets régiment de Flandres reine reste réunir Révolution Richard royale rue de l'Orangerie rue de Montreuil rue des Chantiers rue Saint-Martin rue Satory s'était sailles saint Saint-Cloud salle Satory Seine-et-Oise sieur sorte Surintendance tion Trianon troupes trouve venait Versailles Vieux-Versailles vint
Popular passages
Page 152 - Dès ce moment, jusqu'à celui où les ennemis auront été chassés du territoire de la République, tous les Français sont en réquisition permanente pour le service des armées. L£S jeunes gens iront au combat; les hommes mariés forgeront les armes et transporteront les subsistances ; les femmes feront des tentes, des habits, et serviront dans les hôpitaux ; les enfants mettront le vieux linge en charpie ; les vieillards se feront porter sur les places publiques pour exciter le courage des...
Page 108 - ... de veiller avec soin sur les fidèles du diocèse qui lui est confié, d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi , et de maintenir de tout son pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée nationale et acceptée par le roi.
Page 220 - Versaille, ô bois, ô portiques, Marbres vivants, berceaux antiques, Par les dieux et les rois Elysée embelli, A ton aspect, dans ma pensée, Comme sur l'herbe aride une fraîche rosée, Coule un peu de calme et d'oubli.
Page 41 - Je suis fort aise d'avoir donné des drapeaux à la garde nationale de Versailles. La nation et l'armée doivent être attachées au roi, comme nous le leur sommes nous-mêmes. J'ai été enchantée de la journée de jeudi.
Page 153 - ... la haine des rois et l'unité de la République. » Les maisons nationales seront converties en casernes, les places publiques en ateliers d'armes, le sol des caves sera lessivé pour en extraire le salpêtre.
Page 153 - Le comité de salut public est chargé de prendre toutes les mesures pour établir, sans délai, une fabrication extraordinaire d'armes de tout genre, qui réponde à l'état et à l'énergie du peuple Français; il est autorisé, en conséquence, à former tous les...
Page 104 - Je reçois avec une vive sensibilité les nouveaux témoignages de l'attachement de l'Assemblée ; le vœu de mon cœur est, vous le savez, de ne jamais me séparer d'elle. Je vais me rendre à Paris, avec la reine et mes enfans; je donnerai tous les ordres nécessaires pour que l'Assemblée nationale puisse y continuer ses travaux.
Page 27 - Rochefoucauld vous aura dit l'idée qu'on avait mise dans la tête des grenadiers, d'aller cette nuit à Versailles; je vous ai mandé de n'être pas inquiet, parce que je comptais sur leur confiance en moi pour détruire ce projet; et je leur dois la justice de dire qu'ils avaient compté me demander la permission, et que plusieurs croyaient faire une démarche très...
Page 282 - Considérant que les maisons de justice et d'arrêts sont remplies; qu'il n'existe dans la ville aucun local propre à recevoir les prisonniers ; que hors les murs et à peu de distance , il en est un qui, par sa position et sa construction , offre à la fois les moyens de retenir les prisonniers et les moyens de les garantir; que par son nom même, il aura encore l'avantage de satisfaire en quelque sorte...
Page 81 - J'avais désiré d'être environné des représentants de la nation, et de pouvoir profiter de leurs conseils au moment où je recevrais M. de Lafayette ; mais il est venu avant vous, et il ne me reste plus rien à vous dire, sinon que je n'ai point eu l'intention de partir, et que je ne m'éloignerai jamais de l'assemblée nationale.