 | Jean-Jacques Rousseau - 1782
...Je voyais couler mon fang comme j'aurois vu couler un ruiiïeau, fans fonger feulement que ce fang m'appartînt en aucune forte. Je fentois dans tout...rappelle je ne trouve rien de comparable dans toute l'activité des plaifîrs connus. On me demanda où je demeurois; il Jhe fut impofîîble de le dire.... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - French literature - 1782
...voyois couler mon fang , comme j'aurois vu co\i1er un ruiffeau , fans fonger feulement que ce fang m'appartînt en aucune forte. Je fentois dans tout...rappelle je ne trouve rien de comparable dans toute l'activité des plaifirs connus. On me demanda où je demeurois ; il me fut impoffible de le dire.... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1782
...Je voyois couler mon fang , comme j'aurois vu cou1er un ruiffeau , fans fonger feulement que ce fang m'appartînt en aucune forte. Je fentois dans tout...auquel chaque fois que je me le rappelle je ne trouve riea de comparable dans toute l'a&ivité des plaiflrs connus. On me demanda où je demeurois ; il me... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1782
...cou*-. 1er un ruifleau , fans fonger feulement que ce fang m'appartînt en aucune forte. Je fdntois dans tout mon être un calme raviflant auquel chaque...rappelle je ne trouve rien de comparable dans toute l'activité des plaifirs connus. On me demanda où je demeurois ; il me fut impoffible de le dire.... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - Authors, French - 1782 - 295 pages
...Je voyois couler mon fang , comme j'aurois vu couler un ruiffeau , fans fonger feulement que ce fang m'appartînt en aucune forte. Je fentois dans tout...mon être un calme raviflant auquel chaque fois que IIme- PROMENADE. 33 que je me le rappelle je ne trouve rien de comparable dans toute l'activité des... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1782
...feulement que ce fang m'appartint en aucune forte. Je fentois dans tout mon être un calme ravivant , auquel chaque fois que je me le rappelle je ne trouve rien de comparable dans toute l'activité des connus» lime. PROMENADE; 119i On me demanda où je demeurois ; il me fut impofllble... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - Philosophy of nature - 1783
...Je voyois couler mon fang , comme j'aurois vu couler un ruiffeau, fans fonger feulement que ce fang m'appartînt en aucune forte. Je fentois dans tout mon être un calme raviffant, auquel , chaque fois que je me le rappelle , je ne trouve rien de comparable dans toute... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1817
...seulement que ce sang m'appartînt en aucune sorte. Je sentois dans tout mon être un calme ravissant, auquel, chaque fois que je me le rappelle , je ne trouve rien de comparable dans toute l'activité des plaisirs connus. On me demanda où je demeurois ; il me fut impossible de le dire.... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1819
...seulement que ce sang m'appartînt en aucune sorte. Je sentois dans tout mon être un calme ravissant , auquel , chaque fois que je me le rappelle , je ne trouve rien de comparable dans toute l'activité des plaisirs connus. On me demanda où je demeurois ; il me fut impossible de le dire.... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1824
...seulement que ce sang m'appartînt en aucune sorte. Je sentais dans tout mon être un calme ravissant, auquel chaque fois que je me le rappelle, je ne trouve rien de comparable dans toute l'activité des plaisirs connus. On me demanda où je demeurais; il me fut impossible de le dire. Je... | |
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